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muahahaha (clôturé)
il y a 8 ans
L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel.
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cecil28 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "muahahaha"L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel. bonjour! non , et j'espère jamais ! vous faites une étude sur ce type de pathologie ?
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justfriend85 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "muahahaha"L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel. Pfiou, m'en parlez pas mon brave monsieur, en tant que star adulée je vous dis pas, c'est un calvaire au quotidien tous ces hommes qui me croient amoureuse d'eux. B'jour le post, pas la peine de m'virer j'suis déjà partie....
Modifié il y a 8 ans, le mercredi 27 janvier 2016 à 13:25
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allobroge38 (clôturé)
il y a 8 ans
heu je connais un petomane !!! je suis eroticman !!! mais ze connais pas ta bestiole!!! man !!!
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Citation de "muahahaha"L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel. Vous en savez quelque chose ! Ca sent le vécu !
Modifié il y a 8 ans, le mercredi 27 janvier 2016 à 14:32
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colombine54 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "justfriend85"Citation de "muahahaha"L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel. Pfiou, m'en parlez pas mon brave monsieur, en tant que star adulée je vous dis pas, c'est un calvaire au quotidien tous ces hommes qui me croient amoureuse d'eux. B'jour le post, pas la peine de m'virer j'suis déjà partie.... Oui mais au lit! Tu petes! tout! meme la literie!
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bfox01 (clôturé)
il y a 8 ans
Bonjour a tous , si je ne dit pas de bêtise il y a un film avec une érotomane : (Un frisson dans la nuit) avec clint eastwood :)
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malaguena (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "justfriend85"Citation de "muahahaha"L’érotomanie ou syndrome de Clérambault est la conviction délirante d'être aimé. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels où la haine de l'autre2 est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé »3. Le patient érotomane est persuadé qu'un « admirateur anonyme » lui déclare son affection, souvent par le biais de télépathie, de messages secrets, de regards, de messages dans les médias. Le plus souvent l'objet de cette érotomanie est quelqu'un d'un statut à quelques égards supérieur, une personnalité prestigieuse par exemple, qui ne connaît pas l'érotomane qui lui prête de tels sentiments imaginaires et ne sait même pas qu'il en est l'objet jusqu'à ce que la maladie, ce qui n'arrive pas toujours, vire au harcèlement. Habituellement, le patient lui retourne en effet cette « affection » qu'il lui suppose en lui écrivant, en lui téléphonant et en lui faisant des cadeaux. Même quand ses avances sont rejetées par la personne qui fait l'objet de son délire, personne qu'il n'aime pas toujours2 mais dont il est certain d'être aimé, le sujet souffrant de cette maladie, à cause de cette certitude, ne peut pas comprendre le refus qui lui est opposé. Il imagine en retour que son objet d'« amour » use d'un stratagème pour cacher cet amour interdit au reste du monde4. De là, le délire peut dégénérer jusqu'à une forme de jalousie revendicatrice et au crime passionnel. Pfiou, m'en parlez pas mon brave monsieur, en tant que star adulée je vous dis pas, c'est un calvaire au quotidien tous ces hommes qui me croient amoureuse d'eux. B'jour le post, pas la peine de m'virer j'suis déjà partie.... C'est normal, ce sont tes piquants qui les attirent
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muahahaha (clôturé)
il y a 8 ans
bfox o1 t assure
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Citation de "muahahaha"bfox o1 t assure t'es qui toi ?
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