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la-zorra (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "compote.depomme"Citation de "la-zorra"bonsoir compote ça se passe dans un train. Dans un des compartiments se trouvent quatre personnes: trois hommes et une jeune femme de toute beauté . La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose: - Si chacun de vous me donne 10 francs je suis prête à vous montrer mes mollets... Les hommes, sous le charme de la jeune femme et déjà assez chaud sortent tous 10 balles de leurs portefeuilles. Là dessus, la jeune femme s'exécute. et leur montre ses mollets ravissants. La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance: - Si chacun de vous me donne 100 francs je suis prête à vous montrer mes cuisses... Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 100 francs de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides. Puis la discussion reprend, et cette fois-ci, les hommes ont tombé la veste tant ils sont chauds. Très vite, la jeune femme leur dit: - Si chacun de vous me donne 100 francs de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite... Naturellement, tous les trois lui donnent 100 francs de plus, et à ce moment là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit: - C'est là! oh ben pour 100 euros je t'envoie la photo de ma jambe jusqu'à mi-cuisse si tu veux ! oh et pis non, je vais mettre la photo ici gratuitement. bonjour compote si c'est la jambe gauche , ça fait cher ! car je l'a déjà vue !
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compote.depomme (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "la-zorra"Citation de "compote.depomme"Citation de "la-zorra"bonsoir compote ça se passe dans un train. Dans un des compartiments se trouvent quatre personnes: trois hommes et une jeune femme de toute beauté . La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose: - Si chacun de vous me donne 10 francs je suis prête à vous montrer mes mollets... Les hommes, sous le charme de la jeune femme et déjà assez chaud sortent tous 10 balles de leurs portefeuilles. Là dessus, la jeune femme s'exécute. et leur montre ses mollets ravissants. La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance: - Si chacun de vous me donne 100 francs je suis prête à vous montrer mes cuisses... Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 100 francs de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides. Puis la discussion reprend, et cette fois-ci, les hommes ont tombé la veste tant ils sont chauds. Très vite, la jeune femme leur dit: - Si chacun de vous me donne 100 francs de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite... Naturellement, tous les trois lui donnent 100 francs de plus, et à ce moment là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit: - C'est là! oh ben pour 100 euros je t'envoie la photo de ma jambe jusqu'à mi-cuisse si tu veux ! oh et pis non, je vais mettre la photo ici gratuitement. bonjour compote si c'est la jambe gauche , ça fait cher ! car je l'a déjà vue ! mdr !!! nue ?
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compote.depomme (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "davibilitus"Un texte érotique Après avoir reçu un texto d'un héros L'hétéro était bien un héros L'été est devenu brûlant Quand les deux amants tout hurlant En se turlutant en si bon temps Un tantinet minet, guère miné La mine écarlate, avant le grand écart L'amant reçu l'oscar du plaisir de sa belle De sa belle figée en ses bras Isabelle, elle s'appelait Elle ne se pelait plus seule L'amant lui plaisait et la réchauffait Elle le chauffait bien, Isabelle Son corps se collait à lui Et l'amant se trouvait coincé entre ses cuisses Il n'était point cuistre Ni de sinistres plaisirs Leur langue se sont introduites l'une dans l'autre Leur sexe ont fusionnés Puis les amants sont devenus passionnés Et moins ingrats qu'une passe irraisonnée Quand passent les va et viens Là où vont les frissons Du polisson amant Pendant que la belle envoie le son de ses râles Le mâle pousse un dernier cri Et s'écrit une belle histoire Dans le silence de la nuit Pendant que s'écoulent leur semence Puis finissent en démence Alors l'amant a eu la clémence de sa belle Et se sont aimés Et ils ont exploré d'autres plaisirs De doigts plus habiles De langue moins timide De caresses plus expertes De mots plus violents De cris plus osés De regards plus ardents Les deux amants ont tout osé chaque nuit Avant qu'arrivent les rosés du matin... Pour compote. Rd. Merci David... c'est très beau Je savais que je pouvais compter sur toi. Je file de ce pas changer mon prénom pour celui d'Isabelle
Modifié il y a 9 ans, le samedi 19 septembre 2015 à 06:55
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Bonjour Compote , bon wrrk end que nous te souhaitons Ce n'est pas de moi je précise Baiser Quand ton col de couleur rose Se donne à mon embrassement Et ton oeil languit doucement D’une paupière à demi close, Mon âme se fond du désir Dont elle est ardemment pleine Et ne peut souffrir à grand’peine La force d’un si grand plaisir. Puis, quand s’approche de la tienne Ma lèvre, et que si près je suis Que la fleur recueillir je puis De ton haleine ambroisienne, Quand le soupir de ces odeurs Où nos deux langues qui se jouent Moitement folâtrent et nouent, Eventent mes douces ardeurs, Il me semble être assis à table Avec les dieux, tant je suis heureux, Et boire à longs traits savoureux Leur doux breuvage délectable. Si le bien qui au plus grand bien Est plus prochain, prendre ou me laisse, Pourquoi me permets-tu, maîtresse, Qu’encore le plus grand soit mien? As-tu peur que la jouissance D’un si grand heur me fasse dieu? Et que sans toi je vole au lieu D’éternelle réjouissance? Belle, n’aie peur de cela, Partout où sera ta demeure, Mon ciel, jusqu’à tant que je meure, Et mon paradis sera là. JOACHIM DU BELLAY (1542)
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la-zorra (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "compote.depomme"Citation de "la-zorra"Citation de "compote.depomme"Citation de "la-zorra"bonsoir compote
ça se passe dans un train. Dans un des compartiments se trouvent quatre personnes: trois hommes et une jeune femme de toute beauté .
La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose:
- Si chacun de vous me donne 10 francs je suis prête à vous montrer mes mollets...
Les hommes, sous le charme de la jeune femme et déjà assez chaud sortent tous 10 balles de leurs portefeuilles. Là dessus, la jeune femme s'exécute. et leur montre ses mollets ravissants.
La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance:
- Si chacun de vous me donne 100 francs je suis prête à vous montrer mes cuisses...
Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 100 francs de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides.
Puis la discussion reprend, et cette fois-ci, les hommes ont tombé la veste tant ils sont chauds. Très vite, la jeune femme leur dit:
- Si chacun de vous me donne 100 francs de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite...
Naturellement, tous les trois lui donnent 100 francs de plus, et à ce moment là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit:
- C'est là!
oh ben pour 100 euros je t'envoie la photo de ma jambe jusqu'à mi-cuisse si tu veux !
oh et pis non, je vais mettre la photo ici gratuitement.
bonjour compote
si c'est la jambe gauche , ça fait cher ! car je l'a déjà vue !
mdr !!! nue ?
le pied , oui! même qu'il avait une fleur entre les orteils !
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truc-machin (clôturé)
il y a 9 ans
Puisque l'invitation est si joliment formulé, voici, un peu tard, un extrait Compote.
La soirée a duré sans que je parvienne à me débarrasser de ma gène et ma relation à Vitgianne était la même qu’à l’accoutumé.
Je n&rsquoais pas aller vers elle alors que mon être était parcouru d’une excitation neuve, qui s’installait sournoisement et à laquelle je craignais de donner des rênes.
Je ne saurais dire comment elle vivait la chose, incapable que j’étais de croiser son regard.
A un moment, elle s’est penchée vers moi, du moins l’ai-je cru, peut-être était-ce pour attraper une cigarette ou toute autre chose, mais nos têtes se sont rapprochées, mes lèvres, désobéissantes, se sont dirigées vers les siennes et se les accaparèrent quelques secondes, en un bref baiser.
Ne sachant alors que faire, je lui ai proposé de danser, ce que nous fîmes jusqu’à ce que tous furent partis, que la rampe de l’escalier nous conduisit à la porte de sa chambre que j’ouvris, l’invitant à en franchir le pas.
De là au grand lit à baldaquins blanc qui constitue l’unique mobilier de la pièce : moment d’amnésie.
Nus et seuls sous les mêmes draps, silencieuse, elle me tourne le dos, m’obligeant à poser une main hésitante sur son épaule, frêle et ronde, violant ainsi un tabou que des egos inconséquents avaient maladroitement établi.
Nos corps se découvrirent du bout des doigts, nos lèvres s’unirent en un baiser prudent.
Et, présent moins éphémère qu’un autre, nous nous revîmes régulièrement, durant de longs mois, relation brûlante qui, comme toute chose affûtée, un matin s’émoussa.
La vitalité des peuples des îles flambait en Vitgianne.
Quelques bribes au téléphone et je fondais, me précipitant de ma vallée dans la sienne, brûlant de toute ma personne, picotements qui ne disparaissaient qu’au petit matin mais remplacés par un bas-ventre douloureux.
Elle voulait faire l’amour partout.
En toutes situations. Ne l’a-t-elle pas fait dans une Fiat 500, à midi, place St Pierre ?
Combien de fois ai-je souhaité l’aimer autrement, tant il y avait d’affinité entre nos corps indubitablement conçus pour être entrelacés ?
Ce n’est pas la plus belle fille que j’ai connue.
Peut-être parce que l’amour, celui qui n’est pas charnel, ne l’a pas revêtue de cette beauté qui sied à chacun ?
Je n’ai pas aimé Vitgianne, pas d’amour mais en une complicité qui nous unissait précisément, sans équivoque.
Nos épidermes composaient, indépendamment de nos sentiments.
Le noir et le blanc, pion noir sur case blanche, pion blanc en case noire.
Nuits pied de poule que la grisaille de certaines aubes de cet hiver ne ternissait pas.
Vitgianne adore jouer, prenait un malin plaisir à nous accoutrer de panoplies sous lesquelles nous pavanions parmi les foules étonnées des rues de la ville, dans les salons de la région, bravant sourires et moues de dédain d’un port altier et dégagé.
N’ai-je pas pensé, lassé de ces mascarades, qu’elle requérait un minimum de comédie, de cinéma avant de, profitant d’un désordre inattentif, se masquer de l’ombre d’une porte, guettant mon passage, dégrafer rapidement ses vêtements et se pendre gaiement à mon cou jusqu’à ce que je la suive en une pénombre étrangère ?
Je n’ai jamais su résister à ses baisers.
Même aujourd’hui, de mon bureau, je fondrais, pourtant certain de ne plus la désirer.
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compote.depomme (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "truc-machin"Puisque l'invitation est si joliment formulé, voici, un peu tard, un extrait Compote. La soirée a duré sans que je parvienne à me débarrasser de ma gène et ma relation à Vitgianne était la même qu’à l’accoutumé. Je n&rsquoais pas aller vers elle alors que mon être était parcouru d’une excitation neuve, qui s’installait sournoisement et à laquelle je craignais de donner des rênes. Je ne saurais dire comment elle vivait la chose, incapable que j’étais de croiser son regard. A un moment, elle s’est penchée vers moi, du moins l’ai-je cru, peut-être était-ce pour attraper une cigarette ou toute autre chose, mais nos têtes se sont rapprochées, mes lèvres, désobéissantes, se sont dirigées vers les siennes et se les accaparèrent quelques secondes, en un bref baiser. Ne sachant alors que faire, je lui ai proposé de danser, ce que nous fîmes jusqu’à ce que tous furent partis, que la rampe de l’escalier nous conduisit à la porte de sa chambre que j’ouvris, l’invitant à en franchir le pas. De là au grand lit à baldaquins blanc qui constitue l’unique mobilier de la pièce : moment d’amnésie. Nus et seuls sous les mêmes draps, silencieuse, elle me tourne le dos, m’obligeant à poser une main hésitante sur son épaule, frêle et ronde, violant ainsi un tabou que des egos inconséquents avaient maladroitement établi. Nos corps se découvrirent du bout des doigts, nos lèvres s’unirent en un baiser prudent. Et, présent moins éphémère qu’un autre, nous nous revîmes régulièrement, durant de longs mois, relation brûlante qui, comme toute chose affûtée, un matin s’émoussa. La vitalité des peuples des îles flambait en Vitgianne. Quelques bribes au téléphone et je fondais, me précipitant de ma vallée dans la sienne, brûlant de toute ma personne, picotements qui ne disparaissaient qu’au petit matin mais remplacés par un bas-ventre douloureux. Elle voulait faire l’amour partout. En toutes situations. Ne l’a-t-elle pas fait dans une Fiat 500, à midi, place St Pierre ? Combien de fois ai-je souhaité l’aimer autrement, tant il y avait d’affinité entre nos corps indubitablement conçus pour être entrelacés ? Ce n’est pas la plus belle fille que j’ai connue. Peut-être parce que l’amour, celui qui n’est pas charnel, ne l’a pas revêtue de cette beauté qui sied à chacun ? Je n’ai pas aimé Vitgianne, pas d’amour mais en une complicité qui nous unissait précisément, sans équivoque. Nos épidermes composaient, indépendamment de nos sentiments. Le noir et le blanc, pion noir sur case blanche, pion blanc en case noire. Nuits pied de poule que la grisaille de certaines aubes de cet hiver ne ternissait pas. Vitgianne adore jouer, prenait un malin plaisir à nous accoutrer de panoplies sous lesquelles nous pavanions parmi les foules étonnées des rues de la ville, dans les salons de la région, bravant sourires et moues de dédain d’un port altier et dégagé. N’ai-je pas pensé, lassé de ces mascarades, qu’elle requérait un minimum de comédie, de cinéma avant de, profitant d’un désordre inattentif, se masquer de l’ombre d’une porte, guettant mon passage, dégrafer rapidement ses vêtements et se pendre gaiement à mon cou jusqu’à ce que je la suive en une pénombre étrangère ? Je n’ai jamais su résister à ses baisers. Même aujourd’hui, de mon bureau, je fondrais, pourtant certain de ne plus la désirer. Merci. j'ai surligné une phrase que j'aime particulièrement.
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truc-machin (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "compote.depomme"Citation de "truc-machin"Puisque l'invitation est si joliment formulé, voici, un peu tard, un extrait Compote. La soirée a duré sans que je parvienne à me débarrasser de ma gène et ma relation à Vitgianne était la même qu’à l’accoutumé. Je n&rsquoais pas aller vers elle alors que mon être était parcouru d’une excitation neuve, qui s’installait sournoisement et à laquelle je craignais de donner des rênes. Je ne saurais dire comment elle vivait la chose, incapable que j’étais de croiser son regard. A un moment, elle s’est penchée vers moi, du moins l’ai-je cru, peut-être était-ce pour attraper une cigarette ou toute autre chose, mais nos têtes se sont rapprochées, mes lèvres, désobéissantes, se sont dirigées vers les siennes et se les accaparèrent quelques secondes, en un bref baiser. Ne sachant alors que faire, je lui ai proposé de danser, ce que nous fîmes jusqu’à ce que tous furent partis, que la rampe de l’escalier nous conduisit à la porte de sa chambre que j’ouvris, l’invitant à en franchir le pas. De là au grand lit à baldaquins blanc qui constitue l’unique mobilier de la pièce : moment d’amnésie. Nus et seuls sous les mêmes draps, silencieuse, elle me tourne le dos, m’obligeant à poser une main hésitante sur son épaule, frêle et ronde, violant ainsi un tabou que des egos inconséquents avaient maladroitement établi. Nos corps se découvrirent du bout des doigts, nos lèvres s’unirent en un baiser prudent. Et, présent moins éphémère qu’un autre, nous nous revîmes régulièrement, durant de longs mois, relation brûlante qui, comme toute chose affûtée, un matin s’émoussa. La vitalité des peuples des îles flambait en Vitgianne. Quelques bribes au téléphone et je fondais, me précipitant de ma vallée dans la sienne, brûlant de toute ma personne, picotements qui ne disparaissaient qu’au petit matin mais remplacés par un bas-ventre douloureux. Elle voulait faire l’amour partout. En toutes situations. Ne l’a-t-elle pas fait dans une Fiat 500, à midi, place St Pierre ? Combien de fois ai-je souhaité l’aimer autrement, tant il y avait d’affinité entre nos corps indubitablement conçus pour être entrelacés ? Ce n’est pas la plus belle fille que j’ai connue. Peut-être parce que l’amour, celui qui n’est pas charnel, ne l’a pas revêtue de cette beauté qui sied à chacun ? Je n’ai pas aimé Vitgianne, pas d’amour mais en une complicité qui nous unissait précisément, sans équivoque. Nos épidermes composaient, indépendamment de nos sentiments. Le noir et le blanc, pion noir sur case blanche, pion blanc en case noire. Nuits pied de poule que la grisaille de certaines aubes de cet hiver ne ternissait pas. Vitgianne adore jouer, prenait un malin plaisir à nous accoutrer de panoplies sous lesquelles nous pavanions parmi les foules étonnées des rues de la ville, dans les salons de la région, bravant sourires et moues de dédain d’un port altier et dégagé. N’ai-je pas pensé, lassé de ces mascarades, qu’elle requérait un minimum de comédie, de cinéma avant de, profitant d’un désordre inattentif, se masquer de l’ombre d’une porte, guettant mon passage, dégrafer rapidement ses vêtements et se pendre gaiement à mon cou jusqu’à ce que je la suive en une pénombre étrangère ? Je n’ai jamais su résister à ses baisers. Même aujourd’hui, de mon bureau, je fondrais, pourtant certain de ne plus la désirer. Merci. j'ai surligné une phrase que j'aime particulièrement. Je suis d'accord. J'aime aussi la métaphore en gras... Sourires
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compote.depomme (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "la-zorra"Citation de "compote.depomme"Citation de "la-zorra"bonsoir compote ça se passe dans un train. Dans un des compartiments se trouvent quatre personnes: trois hommes et une jeune femme de toute beauté . La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose: - Si chacun de vous me donne 10 francs je suis prête à vous montrer mes mollets... Les hommes, sous le charme de la jeune femme et déjà assez chaud sortent tous 10 balles de leurs portefeuilles. Là dessus, la jeune femme s'exécute. et leur montre ses mollets ravissants. La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance: - Si chacun de vous me donne 100 francs je suis prête à vous montrer mes cuisses... Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 100 francs de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides. Puis la discussion reprend, et cette fois-ci, les hommes ont tombé la veste tant ils sont chauds. Très vite, la jeune femme leur dit: - Si chacun de vous me donne 100 francs de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite... Naturellement, tous les trois lui donnent 100 francs de plus, et à ce moment là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit: - C'est là! oh ben pour 100 euros je t'envoie la photo de ma jambe jusqu'à mi-cuisse si tu veux ! oh et pis non, je vais mettre la photo ici gratuitement. bonjour compote si c'est la jambe gauche , ça fait cher ! car je l'a déjà vue ! fait !
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effluve.mysterieuse (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "discorpio007"Citation de "compote.depomme"Ce soir j'aimerais lire des textes érotiques. Qui s'y colle ??? J'appelle quelques écrivains comme Morganna, Sibelius, Truc-Machin, Davibilitus, Trickster, Pique-nique... bonsoir compote (sais deux potes qui attendent le métro il sont assis a attendre bien sagement pour patienter, il parlent de leur ebats amoureux et d 'un coup se disent tout les 2 mon fantasme sais de faire un trio avec un pote et une nana que je connais pas et l'autre répond quel coincidence idem et soudain une dame d'une quarantaine d 'année débarque de nulle part habillée sexy un décolter de ouf longue robe noir avec bas noir et haut talons elle s'arretent devant eu et leur demande quand le métro arrive t il svp?? les deux types lui répondent bah on sais pas exactement madame ,mais on peu vous proposer de vous asseoir avec nous et discuter en attendant , la dame répond a oui avec plaisir ,elle leur demande est ce que je peux m'asseoir entre vous deux ,les deux types disent oui on va vous faire une place, puis il commence a parlée ,le métro n'arrive pas après 30 minutes ,il disent punaise franchement en retard le métro , alors la dame di ainsi bah si vous voulez on peux faire autre chose que discuter d 'un air un peu vicieuse comme le métro a du retard ,les deux types se regardent tout con , et les deux mecs disent rien puis d 'un coup celui de droit mais sa main gauche sur la jambe droite de la dame l'autre mais sa main droite sur jambe gauche et commence a la caresser tout doucement puis il monte plus haute pour ensuite mettre en mème temps leurs mains dans sa culotte,la dame répond oh oui je mouille nous vous arreter pas svp,puis la dame mets ces mains sur leur sex en mème temps et commence a l'es caresser ........... et puis d'un coup les flics débarque (car en faite il ont été filmer a cause des caméras de surveillance et se font embarquer tout les 3 au cajot mdrrrrrrrrrrrrr pliéee
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effluve.mysterieuse (clôturé)
il y a 9 ans
Oupss, pardon! Bonsoir compote
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bon j'avoue, je reste un peu sur ma faim là! à part david et truc qui se sont laissés prendre au jeu de manière fort agréable, peu de candidats pour l'exercice! en espérant que d'autres seront inspirés...
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compote.depomme (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "gurgle"bon j'avoue, je reste un peu sur ma faim là! à part david et truc qui se sont laissés prendre au jeu de manière fort agréable, peu de candidats pour l'exercice! en espérant que d'autres seront inspirés... tu as bien raison Bonjour !
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