qui annone les conneries suicidaires de poutine...
Pour moi une religion qui appelle à tuer..
est totalement dévoyée...
salie...
par ceux qui prononcent ces mots..
que ce soit pour toutes les raisons (souvent pour des histoires de territoires..)
comme si toute spiritualité
s’arrêtait devant un lopin de terre à conquérir..!
tudieu..!
Salut Arthur,j
j'ai une question à te poser même si ( autant que je sache ) tu n'es pas psychanalyste:
quel( s ) lien( s ) entre le moi et le surmoi ( l'inconscient ) ?
Car je ne suis absolument pas convaincu de la bipartition de l'esprit - et ne l'ai jamais été.Ça pose énormément de questions cette affaire et,à ma connaissance,personne parmi les praticiens psychanalystes n'a su fournir des réponses convaincantes...
Pour la suite de ton commentaire je te rejoins.
Et je pense que la spiritualité ne saurait être cantonnée à une religion quelle qu'elle soit.
j'ai une question à te poser même si ( autant que je sache ) tu n'es pas psychanalyste:
quel( s ) lien( s ) entre le moi et le surmoi ( l'inconscient ) ?
Car je ne suis absolument pas convaincu de la bipartition de l'esprit - et ne l'ai jamais été.Ça pose énormément de questions cette affaire et,à ma connaissance,personne parmi les praticiens psychanalystes n'a su fournir des réponses convaincantes...
Pour la suite de ton commentaire je te rejoins.
Et je pense que la spiritualité ne saurait être cantonnée à une religion quelle qu'elle soit.
Salut Fout..J
d'après Freud.. (entendons nous bien...)
il n'y a pas de lien entre le moi et le surmoi...
si on ne prend pas en compte le "ça"..
le" ça" c'est le domaine des pulsions...
lui il est a tout jamais inconscient...(ce sont des pulsions primitives..
gravées dans le "BioS" des discs durs qui est notre cerveau...
mais aussi relié à notre 2éme cerveau....
lui c'est l'animal..qui ne cherche qu'à vivre et à survivre..
chercher son ou ses plaisirs..
et qui se fout totalement de tout ce qui n'est pas...
manger boire dormir baiser...etc etc...
Mais, l’être humain est un animal social....
par exemple..
le nouveau né , sans soin..et sans affection..
est condamné à mourir..
et plus il grandit..
et plus apprend au contact de ses semblables...
qu'il faut maitriser le "ça"....
d'où le surmoi..!
et c'est de ce conflit...
qu'enfin se constitue ou se construit ..
un "moi"....
le moi ainsi créé...
est toujours tiraillé entre le "ça" et le" surmoi"....
(qui lui en contient une couche..!) lol
y'a qu'à voir tous ces moralistes qui trainent sur ce fofo...!
c'est édifiant comme "le surmoi"...
via la morale cherche une légitimité....
dans le discours social....
en planquant bien ..
le plus possible "ça".....!
qui les habite...
lol...
autrement dit et de façon succincte..
"un cerveau" humain marche sur trois pattes..
toujours d'après freud....
mais il a eu des tas de détracteurs..
d'ailleurs Nietzsche...
avait compris l'inconscient..
avant Freud..!
j'ai essayé de ne pas être emmerdant..
en corps une chose....
il semblerait que notre cerveau ..
relié à notre système digestif..
fassent de nous des fourmis....
(attention pas conne une fourmi ,..
elle a aussi un cerveau et des neurones..)
tout en restant sur le fil philo..
parce qu’au départ...
la psychanalyse..
était d'ordre philosophique...
et pour moi l'est restée..
j'ai une question pour toi....
pourquoi avoir éludé le "ça"..?
alors que tu sais ce que c'est..! )
@+
ps...si on n'oublie pas le contexte géolitique...
Citation de arthur_rambo
Salut Fout..J
d'après Freud.. (entendons nous bien...)
il n'y a pas de lien entre le moi et le surmoi...
si on ne prend pas en compte le "ça"..
le" ça" c'est le domaine des pulsions...
lui il est a tout jamais inconscient...(ce sont des pulsions primitives..
gravées dans le "BioS" des discs durs qui est notre cerveau...
mais aussi relié à notre 2éme cerveau....
lui c'est l'animal..qui ne cherche qu'à vivre et à survivre..
chercher son ou ses plaisirs..
et qui se fout totalement de tout ce qui n'est pas...
manger boire dormir baiser...etc etc...
Mais, l’être humain est un animal social....
par exemple..
le nouveau né , sans soin..et sans affection..
est condamné à mourir..
et plus il grandit..
et plus apprend au contact de ses semblables...
qu'il faut maitriser le "ça"....
d'où le surmoi..!
et c'est de ce conflit...
qu'enfin se constitue ou se construit ..
un "moi"....
le moi ainsi créé...
est toujours tiraillé entre le "ça" et le" surmoi"....
(qui lui en contient une couche..!) lol
y'a qu'à voir tous ces moralistes qui trainent sur ce fofo...!
c'est édifiant comme "le surmoi"...
via la morale cherche une légitimité....
dans le discours social....
en planquant bien ..
le plus possible "ça".....!
qui les habite...
lol...
autrement dit et de façon succincte..
"un cerveau" humain marche sur trois pattes..
toujours d'après freud....
mais il a eu des tas de détracteurs..
d'ailleurs Nietzsche...
avait compris l'inconscient..
avant Freud..!
j'ai essayé de ne pas être emmerdant..
en corps une chose....
il semblerait que notre cerveau ..
relié à notre système digestif..
fassent de nous des fourmis....
(attention pas conne une fourmi ,..
elle a aussi un cerveau et des neurones..)
tout en restant sur le fil philo..
parce qu’au départ...
la psychanalyse..
était d'ordre philosophique...
et pour moi l'est restée..
j'ai une question pour toi....
pourquoi avoir éludé le "ça"..?
alors que tu sais ce que c'est..! )
@+
ps...si on n'oublie pas le contexte géolitique...
et historique de ces années là à Viennes....
c'est de là aussi et parallèlement qu'est sorti..
un certain adolphe hitler....
Salut Arthur,
comme je connais les trois instances freudiennes,dans le cadre de mon propos je n’avais pas jugé utile de parler du « ça » car contrairement aux deux autres il ne relève pas directement de l’aire symbolique.
Il y a fort longtemps j’avais lu quelques ouvrages de Freud,d’autres de quelques-uns de ses épigones dont W.Reich – et qui eurent le mauvais goût de contester certains aspects de sa théorie. - Enfin bref,j’en suis revenu… J’aurais des objections à émettre sur les « relations » entre ces instances mais ce n’est pas ce qui m’intrigue…
C’est la capacité à faire du symbolique qui m’intéresse avant tout.Et ceci indépendamment de la situation que vit un nouveau-né ayant atteint la capacité « d’entrer » dans l’ordre symbolique.
La question que je me pose depuis plusieurs décennies est la suivante:
Pour ce faire restons au niveau du nouveau-né puisque c’est là que tout commence en matière d’intronisation.
Adresse la parole au bambin,journellement tous les parents le font tant ils sont nombreux à guetter le moment où leur progéniture prononcera le premier mot.Et quels sont généralement les mots privilégiés ? Ceux -ci: papa et/ou maman. - Bon,très bien,pourquoi pas.Mais alors tout fait vite à se compliquer lorsqu’on y réfléchit,à savoir:
- un son ou une suite de sons comme le sont ces deux mots ne font pas sens immédiatement;ce sont des abstractions relevant strictement de toute langue usitée.Mais comment prouver que dans l’esprit du bambin va instantanément s’établir le lien décisif entre le son et le sens qui lui est attribué ? Et comment s’o père cette liaison ? Car,pour comprendre le sens d’un mot,il faut un outil de traduction.Au-delà d’un certain âge on le vérifie quand nous voulons apprendre une autre langue.
- par ailleurs il y a aussi le problème de la polysémie d’énormément de mots.Alors comment s’o père la compréhension du sens dans la situation que je viens d’évoquer ? - Ou bien la compréhension du sens de ces deux mots s’établira plus tard;pour l’heure le bambin serait en quelque sorte qu’un perroquet,sans plus. - Mais en présentant les choses ainsi,à bien y regarder on ne fait que reculer le problème dans le temps pour tout ce qui concerne l’acquisition du sens.
Il y a donc un saut QUALITATIF incommensurable entre le son et le sens. Voilà pour ( et selon… ) moi,l’énigme dont nous sommes tous les hôtes !
Modifié il y a 2 ans, le mercredi 4 mai 2022 à 16:39
comme je connais les trois instances freudiennes,dans le cadre de mon propos je n’avais pas jugé utile de parler du « ça » car contrairement aux deux autres il ne relève pas directement de l’aire symbolique.
Il y a fort longtemps j’avais lu quelques ouvrages de Freud,d’autres de quelques-uns de ses épigones dont W.Reich – et qui eurent le mauvais goût de contester certains aspects de sa théorie. - Enfin bref,j’en suis revenu… J’aurais des objections à émettre sur les « relations » entre ces instances mais ce n’est pas ce qui m’intrigue…
C’est la capacité à faire du symbolique qui m’intéresse avant tout.Et ceci indépendamment de la situation que vit un nouveau-né ayant atteint la capacité « d’entrer » dans l’ordre symbolique.
La question que je me pose depuis plusieurs décennies est la suivante:
Pour ce faire restons au niveau du nouveau-né puisque c’est là que tout commence en matière d’intronisation.
Adresse la parole au bambin,journellement tous les parents le font tant ils sont nombreux à guetter le moment où leur progéniture prononcera le premier mot.Et quels sont généralement les mots privilégiés ? Ceux -ci: papa et/ou maman. - Bon,très bien,pourquoi pas.Mais alors tout fait vite à se compliquer lorsqu’on y réfléchit,à savoir:
- un son ou une suite de sons comme le sont ces deux mots ne font pas sens immédiatement;ce sont des abstractions relevant strictement de toute langue usitée.Mais comment prouver que dans l’esprit du bambin va instantanément s’établir le lien décisif entre le son et le sens qui lui est attribué ? Et comment s’o père cette liaison ? Car,pour comprendre le sens d’un mot,il faut un outil de traduction.Au-delà d’un certain âge on le vérifie quand nous voulons apprendre une autre langue.
- par ailleurs il y a aussi le problème de la polysémie d’énormément de mots.Alors comment s’o père la compréhension du sens dans la situation que je viens d’évoquer ? - Ou bien la compréhension du sens de ces deux mots s’établira plus tard;pour l’heure le bambin serait en quelque sorte qu’un perroquet,sans plus. - Mais en présentant les choses ainsi,à bien y regarder on ne fait que reculer le problème dans le temps pour tout ce qui concerne l’acquisition du sens.
Il y a donc un saut QUALITATIF incommensurable entre le son et le sens. Voilà pour ( et selon… ) moi,l’énigme dont nous sommes tous les hôtes !
Salut fout...
"- un son ou une suite de sons comme le sont ces deux mots ne font pas sens immédiatement;ce sont des abstractions relevant strictement de toute langue usitée.Mais comment prouver que dans l’esprit du bambin va instantanément s’établir le lien décisif entre le son et le sens qui lui est attribué ? Et comment s’o père cette liaison ? Car,pour comprendre le sens d’un mot,il faut un outil de traduction.Au-delà d’un certain âge on le vérifie quand nous voulons apprendre une autre langue.
- par ailleurs il y a aussi le problème de la polysémie d’énormément de mots.Alors comment s’o père la compréhension du sens dans la situation que je viens d’évoquer ? - Ou bien la compréhension du sens de ces deux mots s’établira plus tard;pour l’heure le bambin serait en quelque sorte qu’un perroquet,sans plus. - Mais en présentant les choses ainsi,à bien y regarder on ne fait que reculer le problème dans le temps pour tout ce qui concerne l’acquisition du sens.
Il y a donc un saut QUALITATIF incommensurable entre le son et le sens. Voilà pour ( et selon… ) moi,l’énigme dont nous sommes tous les hôtes ! "
C'est génial..!
c'est bien entendu...!
que c'est bien vu..!
c'est même frappant dans la compréhension de ce qui constitue ..
l'approche...
de la psyché humaine..
Si j'avance une hypothèse qui consisterait à dire que jusqu'à un certain point du développement du métabolisme..
psychique..comme physique..
d'un enfant....
évidemment, il apprend à reproduire..les gestes comme les mots..
et qu'ils ou elles n’affectent à aucun affect..
puisque tout est fait dans le petit crane...
déjà juste à essayer de sortir des sons..!
se modélisant...
sur l’expérience...
d'ailleurs c'est pour ça...
que les anglais ne savent pas prononcer la sonorité "U" par exemple..
ils ne vont pas au super "U"
mais ils vont aux super "YOU"..lol...
oui au départ on est pas plus que des "perroquets"..
mais tous les perroquets ne sont pas voués à devenir de sombres crétins..
surtout quand on s’aperçoit que les insectes sont aussi dotés de neurones...!
heureusement...
qu'on est pas seuls..
sur cette planète....!
on cherche des vies ...
de martiens.. dans les étoiles..
sans regarder la fourmi qui grimpe à nos godasses..
"- un son ou une suite de sons comme le sont ces deux mots ne font pas sens immédiatement;ce sont des abstractions relevant strictement de toute langue usitée.Mais comment prouver que dans l’esprit du bambin va instantanément s’établir le lien décisif entre le son et le sens qui lui est attribué ? Et comment s’o père cette liaison ? Car,pour comprendre le sens d’un mot,il faut un outil de traduction.Au-delà d’un certain âge on le vérifie quand nous voulons apprendre une autre langue.
- par ailleurs il y a aussi le problème de la polysémie d’énormément de mots.Alors comment s’o père la compréhension du sens dans la situation que je viens d’évoquer ? - Ou bien la compréhension du sens de ces deux mots s’établira plus tard;pour l’heure le bambin serait en quelque sorte qu’un perroquet,sans plus. - Mais en présentant les choses ainsi,à bien y regarder on ne fait que reculer le problème dans le temps pour tout ce qui concerne l’acquisition du sens.
Il y a donc un saut QUALITATIF incommensurable entre le son et le sens. Voilà pour ( et selon… ) moi,l’énigme dont nous sommes tous les hôtes ! "
C'est génial..!
c'est bien entendu...!
que c'est bien vu..!
c'est même frappant dans la compréhension de ce qui constitue ..
l'approche...
de la psyché humaine..
Si j'avance une hypothèse qui consisterait à dire que jusqu'à un certain point du développement du métabolisme..
psychique..comme physique..
d'un enfant....
évidemment, il apprend à reproduire..les gestes comme les mots..
et qu'ils ou elles n’affectent à aucun affect..
puisque tout est fait dans le petit crane...
déjà juste à essayer de sortir des sons..!
se modélisant...
sur l’expérience...
d'ailleurs c'est pour ça...
que les anglais ne savent pas prononcer la sonorité "U" par exemple..
ils ne vont pas au super "U"
mais ils vont aux super "YOU"..lol...
oui au départ on est pas plus que des "perroquets"..
mais tous les perroquets ne sont pas voués à devenir de sombres crétins..
surtout quand on s’aperçoit que les insectes sont aussi dotés de neurones...!
heureusement...
qu'on est pas seuls..
sur cette planète....!
on cherche des vies ...
de martiens.. dans les étoiles..
sans regarder la fourmi qui grimpe à nos godasses..
@ plus..bro..
Bon,je me suis efforcé de ramasser le plus possible mes réflexions pour ne pas faire trop long...
On peut changer l’angle d’observation de la situation que je prends en exemple – à savoir:
- pourquoi le bambin à un moment ou à un autre en vient à répéter les mots « papa » et « maman »;qu’est-ce qui le « motive » à le faire ? ( Et s’il y a intention de faire comment en vient-il un jour à arriver à prononcer ces deux mots ? ).Mais est-ce bien une intention de faire ( ici: parler ) qu’il manifeste ? Car une intention est toujours porteuse de sens ! Alors il faut bien que son cerveau soit d’emblée structuré de telle façon qu’il exprime du sens préalablement à l’apprentissage du vocabulaire qui,lui, supporte en très grande partie chaque relation entre humains ayant un bagage lexical pour pouvoir communiquer ensemble dans la plupart des situations courantes.Ce qui signifie que le bambin aurait déjà une sorte de « décodeur » ou de « langage inné universel » grâce auquel acquérir l’usage de la langue native de ses parents - qui n’est qu’une langue parmi d’autres.
Je n'ai pas encore réfléchi à l'intelligence émotionnelle à la façon dont tu la laisses entendre mais ça viendra.
Sinon oui,je ne pense pas que les animaux soient tels des robots;je me risque à dire qu'ils ont une intelligence plus spécialisée... Mais c'est à vérifier.
Modifié il y a 2 ans, le vendredi 6 mai 2022 à 15:28
Citation de fouthese
Bon,je me suis efforcé de ramasser le plus possible mes réflexions pour ne pas faire trop long...
On peut changer l’angle d’observation de la situation que je prends en exemple – à savoir:
- pourquoi le bambin à un moment ou à un autre en vient à répéter les mots « papa » et « maman »;qu’est-ce qui le « motive » à le faire ? ( Et s’il y a intention de faire comment en vient-il un jour à arriver à prononcer ces deux mots ? ).Mais est-ce bien une intention de faire ( ici: parler ) qu’il manifeste ? Car une intention est toujours porteuse de sens ! Alors il faut bien que son cerveau soit d’emblée structuré de telle façon qu’il exprime du sens préalablement à l’apprentissage du vocabulaire qui,lui, supporte en très grande partie chaque relation entre humains ayant un bagage lexical pour pouvoir communiquer ensemble dans la plupart des situations courantes.Ce qui signifie que le bambin aurait déjà une sorte de « décodeur » ou de « langage inné universel » grâce auquel acquérir l’usage de la langue native de ses parents - qui n’est qu’une langue parmi d’autres.
Je n'ai pas encore réfléchi à l'intelligence émotionnelle à la façon dont tu la laisses entendre mais ça viendra.
Sinon oui,je ne pense pas que les animaux soient tels des robots;je me risque à dire qu'ils ont une intelligence plus spécialisée... Mais c'est à vérifier.
Salut Fout..
Si demain on découvrait que les animaux ...
eux aussi ont une intelligence émotionnelle...
ben ...pour moi, ce ne serait juste reconnaitre..
de façon ontologique,le vrai statut de l’être humain...
que les religions monothéistes ont hisser en haut de tout..
l’être humain..
cette position est déplacée..
d'ailleurs on vit mieux au milieu des animaux..
qu'au dessus..!
la bête, elle a été réifiée..
comme pour dire aussi..
que de façon naturelle..
il est normal d'avoir des chefs et des gens qui nous gouvernent...
c'est une échelle naturelle..
genre.. si on va crescendo..
la betre...la femme..l'homme...le patron...l 'homme de pouvoir...ou et le pape...
dieu..! (dieu étant de l'autre coté de l’échelle que la bête..)
or c'est faux...on commence à peine à s'en rendre compte..
encore faut il des instruments de mesure suffisamment fins..
pour pouvoir capter la présence de neurones chez les fourmis..
et interjeter cette idée qui consistait à dire que l'homme est au milieu de la creation..
pire , ce qui se passe en Ukraine..!
aucune bête..
aucun animal...
n'aurait commis ça contre sa propre espèce..
ou même contre les autres formes de vie..!
houla ...
j'ai dérapé...
les premiers mots des bébés ..
c'est pas père ou mère..
c'est papa ou maman ..
le plus souvent l'inverse..
des termes faciles à dire..
et on voit le coté "maman" comme mamelles..
et papa..
ne coté qui dit non..
pas ça...!
pas ...à pas..!
Modifié il y a 2 ans, le samedi 7 mai 2022 à 01:48
Citation de arthur_rambo
Salut Fout..
Si demain on découvrait que les animaux ...
eux aussi ont une intelligence émotionnelle...
ben ...pour moi, ce ne serait juste reconnaitre..
de façon ontologique,le vrai statut de l’être humain...
que les religions monothéistes ont hisser en haut de tout..
l’être humain..
cette position est déplacée..
d'ailleurs on vit mieux au milieu des animaux..
qu'au dessus..!
la bête, elle a été réifiée..
comme pour dire aussi..
que de façon naturelle..
il est normal d'avoir des chefs et des gens qui nous gouvernent...
c'est une échelle naturelle..
genre.. si on va crescendo..
la betre...la femme..l'homme...le patron...l 'homme de pouvoir...ou et le pape...
dieu..! (dieu étant de l'autre coté de l’échelle que la bête..)
or c'est faux...on commence à peine à s'en rendre compte..
encore faut il des instruments de mesure suffisamment fins..
pour pouvoir capter la présence de neurones chez les fourmis..
et interjeter cette idée qui consistait à dire que l'homme est au milieu de la creation..
pire , ce qui se passe en Ukraine..!
aucune bête..
aucun animal...
n'aurait commis ça contre sa propre espèce..
ou même contre les autres formes de vie..!
houla ...
j'ai dérapé...
les premiers mots des bébés ..
c'est pas père ou mère..
c'est papa ou maman ..
le plus souvent l'inverse..
des termes faciles à dire..
et on voit le coté "maman" comme mamelles..
et papa..
ne coté qui dit non..
pas ça...!
pas ...à pas..!
Salut Arthur,
à mon sens il est plus intéressant de prendre le temps d’observer que de se hâter à mettre des mots sur ce dont nous sommes les témoins.Enfin chaque fois que c’est possible.Ça ne garantit pas que nous ne fassions pas des erreurs mais ça a le mérite d’être plus vigilant envers la scène observée ainsi que soi-même.
Dans la relation que nous avons avec les animaux ( en tout cas avec ceux réputés être « domestiques » ) c’est très instructif de leur accorder une qualité d’attention sortant des comportements que nous mettons en place par l’habitude de les côtoyer.D’ailleurs il en va de même dans les situations se répétant journellement dans n’importe quel domaine dont nous sommes les acteurs et/ou les simples spectateurs.
Quant à nos lointains aïeux,puisque nous avons le recul suffisant,parmi ceux déifiant tel ou tel animal,je peux comprendre car ils représentaient à leur insu l’enfance de l’humanité.Tout comme nous il leur fallait mettre des mots sur tout ce qu’ils vivaient puisque ce « tout » leur était encore plus obscur qu’il ne l’est pour nous de nos jours.De sorte que depuis des dizaines d’années les adultes font des dessins animés destinés à leurs mioches pour rendre les animaux simplement plus aimables.
Quant aux relations humaines,ce n’est pas par l’emploi de la diplomatie habituelle,traditionnelle,que leurs ardeurs guerrières disparaîtront…
Ce qui nous est inconnu interroge;ce qui nous est connu nous conduit si souvent à des comportements extrêmes qui ne sont que des impasses au final.
Et donc si nous tous prenions plus de temps pour rattraper nos retards entre nos pensées et nos actes…