" Le but du "capitalisme inclusif" est de tromper les masses pour qu’elles acceptent une version relookée du communisme et du Nouvel Ordre Mondial ! "
lundi 15 août 2022
" Qu’est-ce que le "Conseil pour le capitalisme inclusif" ? C’est le Nouvel Ordre Mondial !
Publié le août 15, 2022 par hervek
L’idée qu’il existe un programme de Gouvernement Mondial parmi les élites financières et politiques du monde a longtemps été qualifiée de "théorie du complot" au sein des médias grand public et de l’establishment.
Et malheureusement, même lorsque vous parvenez à convaincre les gens de regarder et d’accepter les preuves que les institutions bancaires et certains politiciens travaillent ensemble à leurs propres fins, beaucoup de gens ne veulent TOUJOURS pas envisager l’idée que l’objectif ultime de ces seigneurs du pouvoir est un empire mondial unique.
Ils ne peuvent tout simplement pas se faire à l’idée d’une telle chose.
Les gens diront que l’establishment n’est guidé que par la cupidité et que leurs associations sont fragiles et basées uniquement sur l’intérêt individuel.
Ils diront que les événements de crise et les changements dans les tendances sociales et politiques sont aléatoires, et non le produit d’une ingénierie délibérée.
Ils diront que les élitistes ne seront jamais capables de travailler ensemble parce qu’ils sont trop narcissiques, etc.
Tous ces arguments sont un mécanisme d’adaptation permettant au public de faire face à des preuves qu’il ne peut réfuter autrement.
Lorsque les faits deviendront concrets et que les pouvoirs en place admettront ouvertement leurs manigances, certaines personnes reviendront à un déni confus.
Ils ne veulent pas croire que le mal organisé à une telle échelle puisse réellement exister. "
" Réseaux sociaux : Les articles de désinformation étrangers sont plus partagés que l'information de journaux français "
Publié le 29/06/20
" VIRALITE Ces partages portent notamment sur des articles qui véhiculent des théories du complot ou qui font l’éloge de leur pays d’origine
La tendance est inquiétante. Depuis le début de la pandémie de coronavirus, les articles de désinformation sur le coronavirus sont bien plus partagés, et donc plus lus, sur les réseaux sociaux que les contenus de grands journaux, d’après une étude menée en France et en Allemagne.
Sur Twitter et Facebook, les articles francophones et germanophones partagés par des médias tels que RT ou Sputnik ont plus d’écho que ceux du quotidien Le Monde ou du magazine Der Spiegel, selon ce rapport de l’O.xford Internet Institute. L’institut a examiné pendant trois semaines les contenus générés par les principaux médias russes et chinois, ainsi que par des médias iraniens et turcs contrôlés par l’Etat ou étroitement liés aux régimes au pouvoir. "
" Le Règne de la quantité et les signes des temps "
" Résumé :
Le Règne de la Quantité (1945) est un des derniers ouvrages de l'auteur (mort en 1951) et, de ce fait, est fort de l'expérience d'une vie vouée à l'étude de la spiritualité et de la tradition. Derrière son titre intrigant, l'ouvrage constate la déchéance dans laquelle se trouve le monde moderne (i.e. occidental), dépositaire et dispensateur de la pensée matérialiste, qui résume toute chose à la quantité, c'est-àire à la substance, aspect le plus grossier de l'existence manifestée. Le pendant nécessaire de cette tendance est la perte de conscience progressive et accélérée de la qualité des choses, c'est-àire de leur essence, de leur part spirituelle - et donc de la qualité de l'individu lui-même. Cet état d'avilissement, qui entraîne toute sorte de dévoiements sociaux que l'auteur analyse, correspond selon lui à la fin d'un cycle cosmique (désigné par la tradition hindoue en le Kali-Yuga), et est censé conduire à la dissolution de ce monde de façon inévitable. Les forces en jeu sont proprement inéluctables et qualifiées, sans détour, de sataniques, leur propos étant, de fait, l'incarnation de l'Antéchrist en personne, appelé à régner sur une humanité réduite à l'esclavage dans l'obscurité la plus complète, avant un redressement brusque vers le haut, qui marquera la fin d'un temps. "
" Un beau plan d’énergies renouvelables… pour détruire l’environnement "
15 août 2022
" La rentrée législative se prépare à coups de petites annonces dans les grands médias : « Ça va être dur » ; « Nous ferons tout pour qu’il n’y ait pas de coupures » ; « Nous reconstituons les stocks de gaz ». Il s’agit à chaque fois de montrer un gouvernement actif et planificateur, capable de protéger les Français des conséquences de la guerre en Ukraine et du réchauffement climatique. Car, voyez‑vous, nous sommes en état d’urgence. Les voitures des ministres peuvent rester moteur et climatisation allumés pendant un conseil des ministres, les déplacements régionaux en avion privé continuer, les lumières commerciales continuent de briller partout et à tout moment… mais le littoral français devra lui s’adapter à « l’urgence » et devenir une inhumaine forêt de pylônes.
Les ressorts de la communication politique, les principes de l’action publique sont ici malheureusement comparables à ceux déjà déployés pour le Covid : on commence par expliquer – avec raison – que le monde fait face à une crise sans précédent. Puis, des comités d’experts sont créés, les porte‑parole gouvernementaux, l’air grave, apparaissent sur les perrons et expliquent qu’il va falloir prendre des mesures d’exception pour protéger les Français, mais qu’heureusement le gouvernement a tout anticipé et tout prévu depuis longtemps.
Dans le cas du Covid, les premières mesures ont été l’emprisonnement des personnes âgées – qui risquaient de mourir du virus, et sont finalement mortes de tristesse et de solitude ; le contrôle généralisé de la population à coups de codes‑barres ; le vaccin, imposé à ceux pour qui il était important de l’avoir – les personnes âgées et à risque, comme à celles pour qui il était important de l’éviter – les plus jeunes. Un vaccin qui n’a empêché ni les infections, ni les contaminations, mais qui a fait le grand bonheur (financier) des entreprises pharmaceutiques et des conseillers de McKinsey ; le clivage de la population entre les « bons » citoyens acceptant tout sans discuter et les « mauvais », tous obscurantistes et égoïstes puisque non convaincus par la gymnastique communicationnelle de l’exécutif ; un endettement majeur de l’État, qui met plus encore la France sous tutelle de ses créanciers. Et après tout cela, d’après les statistiques officielles américaines, plus de décès dans la population à cause de l’isolement social et de la perte d’activité que du fait des infections Covid. En 2021, malgré la vaccination systématique, le taux de la mortalité de la population a significativement augmenté. "
" Dictature en Israël : Utiliser du cash devient crimine "
15 août 2022
" La guerre d’Israël contre l’argent liquide passe un cap décisif.
À partir de lundi, ce sera une infraction pénale en Israël de payer plus de l’équivalent de 1700 dollars en espèces à une entreprise ou de 4360 dollars en espèces à un individu, alors que le gouvernement intensifie sa guerre en cours contre l’argent tangible.
C’est une guerre qui a commencé sérieusement avec l’adoption en 2018 de la loi sur la réduction de l’utilisation de l’argent liquide. Les entreprises et les particuliers israéliens ont commencé à faire face à des limites sur les transactions en espèces en janvier 2019.
Cependant, le 1er août, ces limites sont réduites de près de moitié.
« Nous voulons que le public réduise l’utilisation de l’argent liquide », a déclaré Tamar Bracha, responsable de l’application de la loi pour l’administration fiscale israélienne, à The Media Line.
« L’objectif est de réduire la fluidité des liquidités sur le marché, principalement parce que les organisations criminelles ont tendance à compter sur l’argent liquide. En limitant son utilisation, l’activité criminelle est beaucoup plus difficile à mener. »
Israël limite également la mesure dans laquelle l’argent liquide est utilisé dans les transactions impliquant plusieurs méthodes de paiement. Si la valeur totale de la transaction est supérieure aux seuils ci-dessus, l’argent liquide ne peut être utilisé que pour 10% de l’achat. Les achats de voitures sont soumis à une limite plus élevée de 50 000 NIS (nouveaux shekels israéliens) – environ 14 700 $.
Les contrevenants sont passibles de pénalités pouvant atteindre 25% de la transaction pour les particuliers et 30% pour les entreprises. "
" Le monde se révolte : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! Courage ! "
23 juillet 2022
" Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie.
Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.
27.06 Kiril Petkov Bulgarie
01.07 Naftali Bennett Israël
07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
08.07 Kaya Kallas Estonie
09.07 R Wikremesinge SriLanka
14.07 Mario Draghi Italie
Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’o.ccasion du scandale Uberfiles après tant d’autres. "
" Mensonges et manipulations du traité transatlantique "
26 mai 2014
" Revenons sur le traité transatlantique de libre échange (TAFTA), une abomination qu'on a déjà eu l'occasion d'aborder. Il y a selon moi deux choses essentielles à retenir: d'une part, ce traité est le fruit d'un long travail de lobbying par les multinationales et autres lobbys patronaux, et d'autre part il permettra à n'importe quelle entreprise de traîner des Etats en justice à la moindre "entrave au commerce". Avec bien-sûr, d'énormes compensations financières à la clé.
Alors que nos impôts financent des spots de propagande destinés à nous faire voter pour un parlement qui n’est qu’une chambre d’enregistrement des délires ultra libéraux, il est temps de rappeler ce qui nous attend avec le traité transatlantique, un machin imposé contre l’avis des peuples, de manière aussi malhonnête qu’efficace.
Pourtant, c’est le plus gros accord commercial existant, qui concerne la moitié du PIB mondial et 40% des échanges mondiaux.
Pourquoi nous pousser à voter pour ce parlement qui ne sert à rien, alors qu’on veut nous imposer un texte inique, qui coupera l’herbe sous le pied à TOUTE initiative citoyenne ou nationale dès lors qu’elle nuira aux intérêts du commerce, des « investisseurs » comme on dit.
Ce traité ne sort pas de nulle part, comme on essaie de nous le faire croire avec tous les textes européens depuis le plan Marshall en 1948. Si ce texte est en passe de se concrétiser, c'est parce que beaucoup de monde a un intérêt financier à ce que les choses se passent ainsi. C'est parce que ces intérêts ont mené une campagne de propagande, d'espionnage et très probablement de corruption pour qu'on en arrive là.
En 1992 déjà, quelques lobbys ont la brillante idée de réunir des députés européens et US pour discuter gentiment au sein du Transatlantic Policy Network, financé par des multinationales afin de "définir les relations transatlantiques dans l'après guerre froide, en promouvant le partenariat le plus étroit possible entre les gouvernements et les peuples de l'Union européenne et des Etats-Unis". On reconnaît bien là le langage aussi abscons que lyrique de tous les discours européens depuis 70 ans. On comprend bien que les "relations" doivent être "renforcées", et cela dans les domaines de la politique, de la sécurité et de la défense, du commerce et de l'économie en général. "
" L’angoisse de la Sainte-Alliance (éditorial paru dans l’édition d’avril) "
le 02 mai 2022
" Imprudence ? Le 12 avril, dans son discours de Strasbourg, le président-candidat estimait que le second tour serait « un référendum sur l’Europe ». Et en conclusion du débat télévisé, il précisait même : ce sera un référendum « pour ou contre l’Union européenne ». Certes, il a pu finalement renouveler son bail à l’Elysée. Pour autant, si l’on suit la logique macronienne au pied de la lettre, 41,5% des votants ont adressé un bras d’honneur à l’UE.
On objectera que tous les électeurs de Marine Le Pen ne sont pas des partisans assumés du Frexit. La candidate elle-même avait dépensé beaucoup d’énergie pour assurer que tel n’était nullement son objectif. Pourtant, à y réfléchir un instant, il y a un point sur lequel le sortant n’avait sans doute pas tout à fait tort : si la championne du RN avait été élue et si elle avait effectivement eu le cran d’appliquer son programme, l’appartenance de la France à l’Union se serait très vite retrouvée sur la sellette. Par exemple, la mise en place de la supériorité du droit national sur le droit européen est en elle-même explosive. En effet, l’UE n’a de sens, pour ses concepteurs, que si elle est en position d’imposer à tel ou tel pays le maintien d’une orientation inscrite dans « le cercle de la raison » jadis cher à Alain Minc.
Que ce conflit, qui aurait sonné le glas de l’intégration, n’ait pas été dans l’intention de la candidate importe finalement peu. Ce qui compte, c’est que, quel que soit le visage « modéré » qu’elle s’est efforcée d’afficher, ses électeurs ont glissé leur bulletin dans l’urne au moment même où Emmanuel Macron (et l’ensemble des forces politiques et des médias qui ont fait bloc en sa faveur) leur serinaient : si vous votez Le Pen, c’en sera fini de l’Europe.
Il faut à cet égard noter que le scrutin a mis en lumière le clivage, déjà éclatant lors du référendum sur la constitution européenne de 2005 (mais en germe depuis 1992 avec Maëstricht), et qui n’a cessé de se confirmer depuis lors : entre ceux qui se rangent idéologiquement derrière les « élites mondialisées », autrement dit autour des classes possédantes ; et les classes populaires. Une nouvelle fois, la cartographie électorale illustre de manière spectaculaire ce « vote de classe ». "