Citation de morganna
La nuit est une grande dame,
Chaussée de larmes et de charmes,
Portant en son sombre sein
La porte de multitudes de chemins
Offerts à la canopée qui s'illumine
D'un crescendo de feux intimes.
Elle n'est point bruit ou silence,
Elle vêt les épaules en patience,
Souffle une plénitude absolue
Dans une cohue qui s'est tue,
Alimente l'amertume des pleurs
Dans les coeurs qui se meurent.
Elle n'est que beauté et délicatesse,
Même si son ombre est traitresse,
Dans sa solitude elle aime s'orner
Du sourire des mots justement posés
Des âmes qui se livrent sans ambage
A la recherche de bras loin du naufrage.
Mère absolue qui berce dans ses voiles
Des avenirs dont elle tisse le lin des toiles,
Elle est nourrice de celui qui vient nu
Et maitresse de nombreuses vertus,
Mais elle peut ,d'un de coup de griffes
Abréger la vie à ses prémices.
La nuit est un monde en douceur
Qui apporte pensées et humeurs,
Elle est mère de création ,
Fille née des imaginations,
Elle tend ses mains aux doigts effilés
A qui souhaite s'y aventurer.
wouah...
à chaque fois ça ma scotche..
tes poèmes en sacoche..
que tu distilles ici ou là...
avec l'amie'croche....
qui nous cerne là...
Citation de mephilto
Y'a pas faire nous autres hétéros n'avons pas la sensibilité des homos !!
J'suis total avc toi chétif petit rambo, va exprime toi, et fi des médisant et autres homophobes, moi je te soutiendrais jusqu'au bout !!!
Et vous autres qui le regardez d'un œil suspect, sachez qu'il a fait son coming out il y a peu, somme toute d'une façon un peu original " ho oui j'aime les grosses couilles " Mais bon il faut être courageux pour le faire, alors svp respectez le, il a tant souffert le pauvre, et ce depuis son tout jeune age.
Lol ...
toi qui t'adresses aux autres..
tu donnes surtout l'impression d'une grande connerie..
(mais on savait...)
mais pis...
une impression de vouloir prendre les autres...
en otages ..
dans ta "propre"...
connerie..
au fait..
je t'ai pas dit récemment..
"toi la tarlouze tu dégages...?"
et ben...
je te l'répète...
Modifié il y a 5 ans, le vendredi 26 juillet 2019 à 23:48
Citation de morganna
La nuit est une grande dame,
Chaussée de larmes et de charmes,
Portant en son sombre sein
La porte de multitudes de chemins
Offerts à la canopée qui s'illumine
D'un crescendo de feux intimes.
Elle n'est point bruit ou silence,
Elle vêt les épaules en patience,
Souffle une plénitude absolue
Dans une cohue qui s'est tue,
Alimente l'amertume des pleurs
Dans les coeurs qui se meurent.
Elle n'est que beauté et délicatesse,
Même si son ombre est traitresse,
Dans sa solitude elle aime s'orner
Du sourire des mots justement posés
Des âmes qui se livrent sans ambage
A la recherche de bras loin du naufrage.
Mère absolue qui berce dans ses voiles
Des avenirs dont elle tisse le lin des toiles,
Elle est nourrice de celui qui vient nu
Et maitresse de nombreuses vertus,
Mais elle peut ,d'un de coup de griffes
Abréger la vie à ses prémices.
La nuit est un monde en douceur
Qui apporte pensées et humeurs,
Elle est mère de création ,
Fille née des imaginations,
Elle tend ses mains aux doigts effilés
A qui souhaite s'y aventurer.
Dans une maison délabrée
Au murs suintant d’humidité
Dans un coin sombre feutré
Se cache une enfant abandonnée
Dans son domaine improvisé
Dans la moiteur d’un air vicié
Elle se met à chanter
Du cœur de la terre ainsi bercé
Par cet appel à l’humanité
Des notes qu’on ne peut oublier
Des notes que le monde doit écouter
Sur sa terre bientôt nettoyée
Ou sa vie est déséquilibrée
Elle tente de s’en échapper
Raisonnant sur la ville désœuvrée
Quelques personnes viennent désigner
Le lieu, cet endroit dévoyé
La tête penchée, désespéré
Du haut de l’escalier
Dans cette maison délabrée
Elle s’arrête de chanter
Elle se met à parler
Père, mère, ou que vous soyez
Entendez dans la nuit mes pleurs
Ils ne sont que le fruit répété
De ces longues attentes dans la peur .
Vous les gens désolidarisés
Vivant dans le malheur
Approchez et écoutez
La triste histoire qui m’est arrivée.
Dans une maison délabrée
Au murs suintant d’humidité
Dans un coin sombre feutré
Se cache une enfant abandonnée
Dans son domaine improvisé
Dans la moiteur d’un air vicié
Elle se met à chanter
Du cœur de la terre ainsi bercé
Par cet appel à l’humanité
Des notes qu’on ne peut oublier
Des notes que le monde doit écouter
Sur sa terre bientôt nettoyée
Ou sa vie est déséquilibrée
Elle tente de s’en échapper
Raisonnant sur la ville désœuvrée
Quelques personnes viennent désigner
Le lieu, cet endroit dévoyé
La tête penchée, désespéré
Du haut de l’escalier
Dans cette maison délabrée
Elle s’arrête de chanter
Elle se met à parler
Père, mère, ou que vous soyez
Entendez dans la nuit mes pleurs
Ils ne sont que le fruit répété
De ces longues attentes dans la peur .
Vous les gens désolidarisés
Vivant dans le malheur
Approchez et écoutez
La triste histoire qui m’est arrivée.
Hippolyte Museau
À la scène comme à la vie
Il sème ses vices
À la scène comme à la ville
Ça l'a mis
Idole décoiffée
D'envergure au moins nationale
Qu'as-tu
À me déshabiller
T'en veux à ma vertu
Hippolyte Museau
Alors cette quête au Saint-Graal
Inexpliqué
Ce penchant pour la Tour de Pise inopinément
Je passerais pour un mannequin piss
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Dans le zeppelin
Le doigt dans l'hélice héritée d'un cousin
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Hippolyte Museau
À la scène comme à la ville, dégaine
Isabelle Museau
T'en es quitte pour un plumeau, oh t'as vu?
Ils restent assis
Malgré l'âpreté du récit
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Dans le zeppelin
Le doigt dans l'hélice héritée d'un cousin
Envie de piquer une aiguille
Dans le cousin
AB...
bien sur..
t'as toujours des penchants..
pour la tour de Pise..?
Citation de arthur_rambo
Hippolyte Museau
À la scène comme à la vie
Il sème ses vices
À la scène comme à la ville
Ça l'a mis
Idole décoiffée
D'envergure au moins nationale
Qu'as-tu
À me déshabiller
T'en veux à ma vertu
Hippolyte Museau
Alors cette quête au Saint-Graal
Inexpliqué
Ce penchant pour la Tour de Pise inopinément
Je passerais pour un mannequin piss
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Dans le zeppelin
Le doigt dans l'hélice héritée d'un cousin
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Hippolyte Museau
À la scène comme à la ville, dégaine
Isabelle Museau
T'en es quitte pour un plumeau, oh t'as vu?
Ils restent assis
Malgré l'âpreté du récit
Envie de piquer une aiguille
Dans le zeppelin
Dans le zeppelin
Le doigt dans l'hélice héritée d'un cousin
Envie de piquer une aiguille
Dans le cousin
AB...
bien sur..
t'as toujours des penchants..
pour la tour de Pise..?