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Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! "La critique est un parasite de la société qui n'a aucune influence ! Les critiques sont de vieux imbéciles, incapables de faire un autre métier alors que la majorité des artistes sur le retour pourraient très bien devenir critiques ! " Source : Coluche
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Citation de "rloman"Qui seme le vent court apres son chapeau salut rloman Les mots sont comme les sacs : ils prennent la forme de ce qu'on met dedans. [Alfred Capus]
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human-fly (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! Nique ta mere face de documentaire je ne doute pas que chez toi cette pratique soit fréquente mais dsl c'est pas dans ma culture ! ha ha
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Citation de "human-fly"Citation de "sedria"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! que tu aimes devorer les blagues sur les femmes , ta nourriture preferee mdrrrrrrr touche pas c'est mon cil ........................coluche t'as que ça a répondre ?
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leoni (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "natiftrezel"Citation de "sedria"Citation de "leoni" Quand une femme ne vous fait plus de reproches, vous pouvez considérer qu’elle ne vous aime plus . On a, jeune, des larmes sans chagrins ; vieux, des chagrins sans larmes.. Joseph Roux. salut sohba "Les larmes qui coulent sont amères, mais plus amères celles qui ne coulent pas. " Proverbe Breton Pensez comme un adulte. vivez comme un jeune, conseillez comme un ancien, et ne cessez jamais de rêver comme un enfant
Modifié il y a 9 ans, le mercredi 21 janvier 2015 à 16:26
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human-fly (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "natiftrezel"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! "La critique est un parasite de la société qui n'a aucune influence ! Les critiques sont de vieux imbéciles, incapables de faire un autre métier alors que la majorité des artistes sur le retour pourraient très bien devenir critiques ! " Source : Coluche y'a pas de critique , c 'est juste une citation "Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim "
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Citation de "human-fly"Citation de "natiftrezel"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! "La critique est un parasite de la société qui n'a aucune influence ! Les critiques sont de vieux imbéciles, incapables de faire un autre métier alors que la majorité des artistes sur le retour pourraient très bien devenir critiques ! " Source : Coluche y'a pas de critique , c 'est juste une citation "Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim " on va pas s'(enerver ...surtout un mercredi
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[quote login=""][/quote] La perfectibilité est la faculté qui marque la différence entre les hommes (madame necker )
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human-fly (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Citation de "human-fly"Citation de "rloman"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! Nique ta mere face de documentaire je ne doute pas que chez toi cette pratique soit fréquente mais dsl c'est pas dans ma culture ! ha ha Enfant d inceste nique ta mere a ton tour bingo , j ai encore vu juste ! hahhahahah
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leoni (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Citation de "leoni" Chutttt rlo, on est sur un post de citations ici, ok ???? Okey Merci pour sedria et le post
Modifié il y a 9 ans, le mercredi 21 janvier 2015 à 16:36
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human-fly (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "sedria"Citation de "human-fly"Citation de "natiftrezel"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! "La critique est un parasite de la société qui n'a aucune influence ! Les critiques sont de vieux imbéciles, incapables de faire un autre métier alors que la majorité des artistes sur le retour pourraient très bien devenir critiques ! " Source : Coluche y'a pas de critique , c 'est juste une citation "Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim " on va pas s'(enerver ...surtout un mercredi qui donc s'énerve ? , pas moi !, bien au contraire je m 'amuse a t'en foutre plein la gueule avc ton coran . ha ha !
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human-fly (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "compote.depomme2"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! Tu vas faire ça à tous les post ??? tu ne peux pas te cantonner à 1 ou 2 ? par genre. là on parle de citation. ça devient lourd. on a comprit. dsl mais je suis dans le thème !
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Citation de "human-fly"Citation de "sedria"Citation de "human-fly"Citation de "natiftrezel"Citation de "human-fly"Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : “J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi“. Puis elle relatait: “… Ma mère, ‘Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, ..elles .. se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra, lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.” sympa comme citation hahhahahha ! "La critique est un parasite de la société qui n'a aucune influence ! Les critiques sont de vieux imbéciles, incapables de faire un autre métier alors que la majorité des artistes sur le retour pourraient très bien devenir critiques ! " Source : Coluche y'a pas de critique , c 'est juste une citation "Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim " on va pas s'(enerver ...surtout un mercredi qui donc s'énerve ? , pas moi !, bien au contraire je m 'amuse a t'en foutre plein la gueule avc ton coran . ha ha ! et moi j'ai de l'admiration pour ceux qui arrivent a faire un recul quant a leur culture
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leoni (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Citation de "leoni"Citation de "rloman"Citation de "leoni" Chutttt rlo, on est sur un post de citations ici, ok ???? Okey Merci pour sedria et le post Pour toi je quitte ce post,bye Il suffisait de ne pas répondre rlo La parole est d´argent mais le silence est d´or (citation)
Modifié il y a 9 ans, le mercredi 21 janvier 2015 à 16:40
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je m'excuse sohba c pas une citation c un poeme, c le plus long poeme qu'a écris vivtor hugo devine pour qui ?? pour notre prophete Un poème de Victor Hugo sur le Prophète L'AN NEUF DE L'HEGIRE Victor Hugo, le 15 janvier 1858 Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu'il était chamelier. Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour, Les temps antérieurs, l'ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d'une amphore d'argent, L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d'une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s'asseyait à terre et cousait ses habits. Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne, Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune. A soixante-trois ans une fièvre le prit. Il relut le Coran de sa main même écrit, Puis il remit au fils de Séid la bannière, En lui disant : " Je touche à mon aube dernière. Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. " Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire. Il vint à la mosquée à son heure ordinaire, Appuyé sur Ali le peuple le suivant ; Et l'étendard sacré se déployait au vent. Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ; " Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ; La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant. Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. " Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde, Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ; Le jour où tu naquit une étoile apparut, Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. " Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ; L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ; Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. " Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton. Une vieille, tondant la laine d'un mouton, Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! " Il semblait regarder quelque vision triste, Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà, Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ; Je suis cendre comme homme et feu comme prophète. J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite. Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur. Le soleil a toujours l'aube pour précurseur. Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause. Il est né d'une Vierge aspirant une rose. Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; O vous tous, je serais bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute engendre un ver de terre. Fils, le damné renaît au fond du froid caveau Pour être par les vers dévoré de nouveau ; Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine, Finie ouvre à son vol l'immensité sereine. Fils, je suis le champ vil des sublimes combats, Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas, Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne Comme dans le désert le sable et la citerne ; Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants ! Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ; J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ; Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas, Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ; Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ; Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie, Et, comme je sentais en moi la vérité, Je les ai combattus, mais sans être irrité, Et, pendant le combat je criais : " laissez faire ! Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère. Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis ! Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite, Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite, Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici Arrivé sur le bord de la tombe profonde, Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde. Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi, Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi, Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore. Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ; Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega, Les perles à la mer et les astres à l'ombre, Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. " Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front. Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme, Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ; Presque personne n'est assez pur de péchés Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez, En priant, que vos corps touchent partout la terre ; L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ; Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ; Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes, Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux, Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ; Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse, Habite un pavillon fait d'une perle creuse ; Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur ! Ils auront des souliers de feu dont la chaleur Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière. La face des élus sera charmante et fière. " Il s'arrêta donnant audience à l'espoir. Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit : " O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure Où je vais me cacher dans une autre demeure ; Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu, Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu, Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. " La foule s'écartait muette à son passage. Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia. Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya, Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. " L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe En le regardant cet homme auguste, son appui ; Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui, Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière, Et passèrent la nuit couchés sur une pierre Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ; " Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. " Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ; Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset ; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer. " Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance ; Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence. - Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
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