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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de birdfree
rien pourquoi
loll
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de iseult
??????
je suis bloqué sur le post de red !
lol
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Citation de fredvienne
je suis bloqué sur le post de red !
lol
Demandes pardon et
Cries Pitié...
Des fois ça marche
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de birdfree
Demandes pardon et
Cries Pitié...
Des fois ça marche
je vais toquer a sa porte !!
on, verra si la bobinette cherra !!
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Citation de fredvienne
je vais toquer a sa porte !!
on, verra si la bobinette cherra !!
bonne chance alors
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de birdfree
bonne chance alors
merciii
on verra!
lol
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cecil28 (clôturé)
il y a 7 ans
Ah pinaise ! c'est vrai que c'est chouette de ne rien faire ....
Bonne journée
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de cecil28
Ah pinaise ! c'est vrai que c'est chouette de ne rien faire ....
Bonne journée
mdrrrrrrr
heu ........
il ne faut pas que ça dure trop longtemps....
sinon monsieur l'ennui vient toquer à la porte !!
mdrrrrrrrrrrr
bisous
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Citation de fredvienne
quand tout s'agite autour de vous...
Ça, c’est l’image idyllique, de celle qu’on se projette d’un éden si souvent convoité ; de celui qui nous verrait nous poser à l’ombre des arbres en lisière d’une prairie accueillante ou d’une forêt bucolique de cette campagne reposante qui affranchit si bien des bruits de la ville, quand ce n’est à la lisière de l’eau si apaisante d’un lac de montagne ou au bord de l’écume assagie d’une plage d’un bord des mers du sud.
Mais ne rien faire quand tout s’agite autour de nous, n’est pas sans conséquences.
Pendant ce temps le monde bruit.
De ce bruit tentaculaire dont il faut prendre conscience.
On aurait envie dans un prime abord d’un émotionnel souhaitant s’embourgeoiser, de l’absoudre de ses convoitises à notre égard.
Aussi on s’en lave jusqu’à l’esprit.
Sous la douche on se glisse pour s’en laver de ses contraintes.
Mais la molécule d’eau du monde n’est pas aveugle, elle cherche, elle voit par toutes les anfractuosités des êtres, terrain souvent fertile pour venir s’y glisser.
Elle a pour elle le temps et l’immuable de sa fluidité.
Alors les gouttes apaisantes qu’on avait réglées à la température de son corps, ne le sont qu’un temps, mais le temps est aussi un être capricieux qui dérègle parfois un système espéré.
Viennent les jours de pluie, les soirs d’orage.
De rage même qui envoient les lames déferlantes, agrémentées d’un vent soufflant le bouillant ou le glacé.
Parce que l’eau et le temps sont deux des principales composantes de l’Univers, il faudrait se rappeler que le minimalisme de notre petitesse ne peut s’absoudre de toute l’incertitude d’un fait non établit.
Il en va aussi ainsi de notre monde pensant ; humains, qui se projettent si déferrement par rapport à l’autre et qu’il conviendrait plus souvent d’en tenir compte et parfois de se réveiller.
(Désolé de cette vision ; c’est que parfois j’écris dans la douleur d’un réalisme particulier.)
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de rienousipeu
Ça, c’est l’image idyllique, de celle qu’on se projette d’un éden si souvent convoité ; de celui qui nous verrait nous poser à l’ombre des arbres en lisière d’une prairie accueillante ou d’une forêt bucolique de cette campagne reposante qui affranchit si bien des bruits de la ville, quand ce n’est à la lisière de l’eau si apaisante d’un lac de montagne ou au bord de l’écume assagie d’une plage d’un bord des mers du sud.
Mais ne rien faire quand tout s’agite autour de nous, n’est pas sans conséquences.
Pendant ce temps le monde bruit.
De ce bruit tentaculaire dont il faut prendre conscience.
On aurait envie dans un prime abord d’un émotionnel souhaitant s’embourgeoiser, de l’absoudre de ses convoitises à notre égard.
Aussi on s’en lave jusqu’à l’esprit.
Sous la douche on se glisse pour s’en laver de ses contraintes.
Mais la molécule d’eau du monde n’est pas aveugle, elle cherche, elle voit par toutes les anfractuosités des êtres, terrain souvent fertile pour venir s’y glisser.
Elle a pour elle le temps et l’immuable de sa fluidité.
Alors les gouttes apaisantes qu’on avait réglées à la température de son corps, ne le sont qu’un temps, mais le temps est aussi un être capricieux qui dérègle parfois un système espéré.
Viennent les jours de pluie, les soirs d’orage.
De rage même qui envoient les lames déferlantes, agrémentées d’un vent soufflant le bouillant ou le glacé.
Parce que l’eau et le temps sont deux des principales composantes de l’Univers, il faudrait se rappeler que le minimalisme de notre petitesse ne peut s’absoudre de toute l’incertitude d’un fait non établit.
Il en va aussi ainsi de notre monde pensant ; humains, qui se projettent si déferrement par rapport à l’autre et qu’il conviendrait plus souvent d’en tenir compte et parfois de se réveiller.
(Désolé de cette vision ; c’est que parfois j’écris dans la douleur d’un réalisme particulier.)
sourire !!
mais il est vrai que ne rien faire n'existe pas chez l'être humain .. du moins 24h sur 24 h
donc ce que j'avais écrit correspondait à un moment donné dans un lieu donné et pour des êtres donnés!!
"""il eusse fallu que je le notasse !! """
mdrrrrrrrrrrrrrr
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redbutterfly (clôturé)
il y a 7 ans
alors les rienfoutistes ça va ... loll
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de redbutterfly
alors les rienfoutistes ça va ... loll
heu non !!
ne rien faire est très très fatiguant !!!
surtout en regardant les autres s'agiter !!!
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redbutterfly (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de fredvienne
heu non !!
ne rien faire est très très fatiguant !!!
surtout en regardant les autres s'agiter !!!
à qui le dis tu .. loll
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de redbutterfly
à qui le dis tu .. loll
je crois que je vais me retirer à l'auberge des seguins !!!
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Citation de fredvienne
sourire !!
mais il est vrai que ne rien faire n'existe pas chez l'être humain .. du moins 24h sur 24 h
donc ce que j'avais écrit correspondait à un moment donné dans un lieu donné et pour des êtres donnés!!
"""il eusse fallu que je le notasse !! """
mdrrrrrrrrrrrrrr
La vraie paresse, c'est de se lever à 6 heures du matin pour avoir plus longtemps à ne rien faire.
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