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lamuse5 (clôturé)
il y a 7 ans
davibilitus il y a 1 an
Citation de "lamuse5"
Nouveloose ? Là, tu auras droit à un bisou.
se dit d'un nouvel an raté de A à Z .
j'ai trouvé
je veux mon bisou
[/quote]
Alors oui, un gros bisou
Aussi valeureux qu'un héros heureux
Doucement érotique
Si héroïque
Pour l'héroïne le recevant.
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lamuse5 (clôturé)
il y a 7 ans
merci
Google via davidsun
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Bravo les filles pour votre participation ! Je donnerai les réponses ce soir. Je vous laisse encore un peu de temps. Bisous tout doux pour vous.
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C’est assez agaçant et cela n’a rien de très exotique, finalement, de nous retrouver seuls, au beau milieu d une foule qui ne parle pas la même langue que nous. Il y a bien, peut-être, un petit côté érotique, mais seulement dans < Lost in Translation >, grâce aux fesses mortelles de Scarlett Johansson(mais il fallait au moins ça pour oublier sa coupe de cheveux désastreuse.)
Imaginez donc un vieux con vivant en France, parlant le français de sa jeunesse ("J'me suis pris un gnon, laisse béton"), zappant sur NRJ 12 ou W9 et entendant : "Fait trop crari la celle, elle s’est pris pour riri, alors que c’est un abribus." Le vieux con circonspect se sent seul d’un coup et éjecté du Bescherelle.
Comme il est hors de question que nous tombions un jour dans les abîmes de l’incompréhension, comme un Alaskien qui chercherait le tlingit(ils sont moins de deux mille à parler cette langue amérindienne dans le monde, au sud de l'Alaska, en Colombie britannique et dans l’archipel Alexandre) dans le choix des sous-titres d’un DVD, étudions dans les grandes lignes le dialecte des jeunes.
Rester à la page, dans le coup, dans le vent, dans le game... Avec notre vocabulaire, c'est aussi facile que de braquer une banque quand on est un canard. Difficile de suivre, quand le taux de natalité des nouveaux mots en France est de huit cents par an.
Pour la petite histoire, un nouveau mot peut se présenter à l’épreuve de l’intégration au dictionnaire, devant l’Académie française² à partir du moment ou il est quantifiablement populaire ("quanti- fiablement" n'existe pas encore officiellement, quel suspens pour nous) et qualitativement viable. En d’autres termes, il doit coller à l’actualité mais aussi durer dans le TEMPS.
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C’est une assemblée de mecs (et accessoirement de meufs, depuis 1980) qui portent un tailleur brodé en vert(estampillage pour les perroquets du crétinisme de la marchandise et de l'université, un peu à l'image du veston vert, récompense au vainqueur du "Tournoi des Maîtres" à Augusta ) et une épée (genre, une épée).
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On peut considérer ceci comme d'actualité. Bien résumé. Le langage doit être compris par tous.
De nos jours, il faut parler djeun. L'avantage est que ma daronne et mon daron n'y pigeront que tchi. Zi-va, pourquoi s'brouiller l'oignon avec de termes borderline ! Ils sont ouf ces keums avec leur phrasé lexical bancouille. C'est du despotisme ! Nous imposer ça, est de la tyarnouille. Nous on textouille sur notre IPhone, lui est le top du top ! Nos meufs aiment asse, et ça les rendent hyper auche. Elle kif à donf.
Alors oui l'ami, tu as raison, faut être compris par tous. A quoi bon nos défunts illustres ayant apportés l'art culturel de notre belle langue, ainsi que les amoureux de cette littérature en leur rendant grâce et honneur en suivant cette voie.
Place à la nouvelle génération ! Même si c'est moins poétique, ce côté tarabiscoté est plus universel. Bien obligé de se mettre à la page...
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tisonire (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "davibilitus"On peut considérer ceci comme d'actualité. Bien résumé. Le langage doit être compris par tous.
De nos jours, il faut parler djeun. L'avantage est que ma daronne et mon daron n'y pigeront que tchi. Zi-va, pourquoi s'brouiller l'oignon avec de termes borderline ! Ils sont ouf ces keums avec leur phrasé lexical bancouille. C'est du despotisme ! Nous imposer ça, est de la tyarnouille. Nous on textouille sur notre IPhone, lui est le top du top ! Nos meufs aiment asse, et ça les rendent hyper auche. Elle kif à donf.
Alors oui l'ami, tu as raison, faut être compris par tous. A quoi bon nos défunts illustres ayant apportés l'art culturel de notre belle langue, ainsi que les amoureux de cette littérature en leur rendant grâce et honneur en suivant cette voie.
Place à la nouvelle génération ! Même si c'est moins poétique, ce côté tarabiscoté est plus universel. Bien obligé de se mettre à la page...
Obliger ?
Excusez moi mais je refuse d'être à la page.
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Chère tisonire. Je n'ai fait que de donner une réponse. Un membre donne un point de vue, la logique est d'y apporter une concordance. Ce sentiment ne reflète en aucun cas mon souhait " d'être à la page ", mais plus tourné vers la désolation de ce changement. D'où l'importance de bien lire. Hélas, il, s'avère ( comme la plupart des post ) que rien ne concorde dans les échangent avec la nature du sujet. Comme quoi il ne sert à rien de créer des sujets demandant un bon suivi. A l'avenir je m' abstiendrai. Là il s'agissait par " amusement " de trouver le sens de ces expressions. Mais étant donné que les àôtés alimentent avec ferveur le hors sujet, autant suivre le mouvement. Ah, suivre le mouvement ! On y est. Moi je dis : faites comme vous voulez.
Rien de personnel à ton égard, chère tisonire. Juste une constatation.
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Cher "davibilitus"
Pour faire echo à ton com du dessus, exemple le mot " zlataner " est ainsi passé d'expression populaire à verbe conjugable a tous les temps, inscrit dans le dictionnaire, rendant plus facile et agréable de dire : < Je vais te zlataner >, plutôt que : < Tu es mon adversaire, je vais t'écraser en t'humiliant > (les usagers de Twitter comprendront l utilité du gain de place pour placer plein de hashtags débiles).
En 2014, les pontes de l'Académie française ont passé huit heures sur l'expression"café gourmand" avant de décider que ce groupe de mots, cher aux indécis de la fin de repas, avait bien sa place au Larousse. Nous aussi, nous aurions bien voulu assister à la réunion Café gourmand, les discussions devaient être sacrément lolantes... Eh oui, nous avons le droit d'écrire "lolantes", car " lol " est entré dans le dictionnaire depuis quatre ans déjà, tout comme "zumba" et "trolls". Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu’est un troll, imaginez une personne qui passe son temps à faire des remarques désagréables à propos des autres. C'est l'équivalent IRL (sérieux ? IRL non plus, vous ne l'avez pas ? Ça veut dire "dans la vraie vie") d’un casse-couilles.
Faire entrer de nouveaux mots dans le dictionnaire - merci à Alain Rey, le RP des mots et conseiller éditorial au Robert , permet donc aux vieux de rester dans le coup, puisqu'ils y trouvent les mots qu'ils ne comprennent pas, comme "swaggy-swagg", que les djeuns répètent à chaque fin de phrase.
Si même les nouveaux moyens d’exprimer le monde actuel sont recensés ET acceptés par le terrible jury de crétins de l'Académie française, prêts a tout pour buzzer rouge sur la gueule de <TMTC > ou < chaber > (on est à deux doigts de lancer un nouveau concept de téléréalité à suspens, là, vous le sentez ? ), c'est bien que celui qui râle contre ces changements, en l'occurrence le vieux con, fait vraiment preuve d'une mauvaise foi crasse.
Rejouissons-nous que de nouveaux mots, comme "Scud", meme s'ils ne sont pas très beaux, tombent dans le patrimoine de notre riche et grande langue : c’est comme si nous construisions un pont entre les vieux (le dictionnaire) et les jeunes (Swagg Man sur NRJ12).
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Cher ami, j’arrête de troller votre petit jeu et rends la main à vos minettes
Amicalement
TTrickster
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tisonire (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "davibilitus"Chère tisonire. Je n'ai fait que de donner une réponse. Un membre donne un point de vue, la logique est d'y apporter une concordance. Ce sentiment ne reflète en aucun cas mon souhait " d'être à la page ", mais plus tourné vers la désolation de ce changement. D'où l'importance de bien lire. Hélas, il, s'avère ( comme la plupart des post ) que rien ne concorde dans les échangent avec la nature du sujet. Comme quoi rien de créer dil ne sert à es sujets demandant un bon suivi. A l'avenir je m' abstiendrai. Là il s'agissait par " amusement " de trouver le sens de ces expressions. Mais étant donné que les àôtés alimentent avec ferveur le hors sujet, autant suivre le mouvement. Ah, suivre le mouvement ! On y est. Moi je dis : faites comme vous voulez.
Rien de personnel à ton égard, chère tisonire. Juste une constatation.
Il n'empêche que je ne suivrais jamais.......
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@ TTrisker. On pourrait faire un post à ce sujet très intéressant. Tu as une certaine facilité de compréhension ainsi qu'une bonne maîtrise orale. Dans ce cas présent je vais plutôt dire " écrite." Pourquoi pas dans le futur. Allez savoir.
Pour revenir à l'intégrité du post, je vais clôturer ce chapitre en achevant la conclusion des expressions. Bien entendu, ces expressions ne sont pas d'usage disons... courant, car bien inventées, mais néanmoins véritables.
- Abientôter : Dire systématiquement " à bientôt " à des convives sachant pertinemment qu'on ne les reverra jamais.
- Alibodo : Ensemble de prétextes ( migraine, fatigue, menstrues ) invoqués pour se dérober au devoir conjugal.
- Aplusser : Se quitter en utilisant systématiquement des " à plus "
- Ascensure : Censure implicite qui interdit à l'usager de croiser le regard des autres personnes dans un ascenseur.
- Aurerevoir : Malaise survenant lorsqu'on vient de se dire au revoir et qu'on s'aperçoit qu'on va dans la même direction.
- Autorire : Autogestion qui consiste à rire de sa propre blague quand elle ne fait rire personne d'autre.
- badgenauder : Déchiffrer discrètement le nom figurant sur un badge.
- Biscado : Cadeau que l'on vous offre alors que vous avez déjà reçu le même, et que vous n'osez pas l'avouer.
- Braguéclair : Coup d'œil rapide vers la fermeture de sa braguette pour vérifier qu'elle n'est pos ouverte.
- Cadeaustocker : Stocker les cadeaux de mauvais goût ou reçus en doublon afin de les ré-offrir à une autre victime.
- Caféructation : Borborygme qu'émet une cafetière électrique pour avertir que le café est prêt.
- Cafétastrophe : Café infect servi par un garçon de café qui tire la tronche.
- Cavibobard : Acheter une bouteille de vin au supermarché avant d'aller à un dîner, et de faire croire qu'elle vient d'un bon caviste dont on a le secret.
- Cataseconde : laps de temps très court pendant que la main claque la porte de l'appartement, tendis que la tête se souvient tout un coup que les clés sont restées à l'interrieur.
- Catrastrobe : Drame qui survient en plein mariage ( ou grande soirée ) lorsqu'une femme découvre qu'une invitée porte la même robe qu'elle.
- Codosphère : Parti du ciel que l'on regarde lorsqu'on fait la queue à un distributeur de billet et que l'on ne veut pas être soupçonné d'espionner le code de son prédécesseur.
- Colaucul : celui qui s'incruste discrètement derrière vous au moment de passer dans le tourniquet d'un métro.
- Coucouvent : Coucou de la main auquel on répond avec enthousiasme, alors qu'il ne nous était pas destiné.
- Courbiture : Flemme intense ressentie les lendemains de soirées agitées et trop arrosées.
- Dents de la vert : Caractérise le sourire ingénu de celui qui ne sait pas aperçu qu'un bout de salade est resté coincé entre ses dents.
- Dérapheute : Thérapeute qui a l'art de vous déprimer au lieu de vous remonter le moral.
- Digiconner : S'apercevoir que l'on a oublié le code d'une porte cochère.
- Etylomail : Mail très chargé en effusion, souvent envoyé à un (e) ex après une forte absorption d'alcool.
- Fiascotte : Biscotte que l'on a pas réussi à tartiner sans la briser.
- Fleurter : Tenter de séduire une femme en lui offrant une rose achetée à un vendeur à la sauvette dans un restaurant.
- Garamnésie : Impossibilité de se souvenir de l'endroit où l'on a garé sa voiture.
- Hairotisme : Sensation proche de la jouissance lorsque le coiffeur commence son fameux massage lors du shampoing.
- Hiérogriffes : Hiéroglyphes censés indiquer les instructions de lavage sur la griffe d'un vêtement.
- Incompaintibilité : Inadéquation persistante entre la quantité de fromage que l'on s'est servie et la quantité de pain correspondante, qui contraint à se resservir indéfiniment de l'un puis de l'autre, sans jamais parvenir à les faire coïncider.
- Incognitaupe : regard myope et absorbé qu'on adopte dans la rue lorsqu'on croise une personne qu'on connaît et qu'on souhaite éviter.
- Languette-au-chat : Introuvable languette de fil rouge ou pire, transparent censée faciliter l'ouverture du film plastique qui entoure les CD, DVD, paquet de cigarette, etc.
- Libidîner : Inviter à dîner dans l'espoir de finir au lit.
- Mac-adrame : Tragédie causée par un clic inopportun sur son ordinateur qui provoque la suppression irréversible d'un document.
- Mailodrame : Drame provoqué par un mail intime que vous avez expédié par mégarde à tout votre carnet d'adresses.
- Moutonner : Regarder dans la même direction que son voisin, qui regarde dans la même direction de son voisin, qui lui aussi regarde dans la même direction de son voisin, sans savoir pourquoi.
- No main's land : Partie du dos que la main n'arrive pas à atteindre lorsque l'on a une furieuse envie de se gratter.
- Nouveloose : Nouvel an raté de A à Z.
- Procrafixer : Envisager de se voir sans jamais le faire.
- Purgatiroir : Tiroir où l'on relègue en vrac toutes les choses dont on ne se servira plus jamais.
- Quiprobise : Situation gênante survenant à l'occasion d'une embrassade : incertitude quand au nombre de baisers à donner.
- Réveillouf : Joie immense ressentie au réveil, quand on se rend compte qu'il reste encore 2 heures de sommeil.
- Soukamain : Sac à main bordélique.
- Stupéfeinte : Surprise que l'on doit feindre lorsque quelqu'un livre un secret que vous connaissez déjà.
- Tartabou : Dernière part de tarte restant dans le plat, que tout le monde a envie, mais que personne ose prendre.
- Tchernobulle : Nuage qui flotte au-dessus des fumeurs à une terrasse de café.
- Toutafiste : Personne qui remplace tous ses "oui " par des " tout à fait "
- Trougédie : Scène de désespoir suite à la découverte d'un trou dans son collant.
- Vidure : Videur de boîte de nuit qui se comporte comme une ordure. Ex : Impossible, c'est soirée privée !
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