Je m’amuse à chercher des profils de femmes, pour pouvoir partager des moments de fun, ce qui donne juste un peu plus de soleil dans mon existence.
Voici un premier.
En août, j'ai trouvé ton profil sur Smail et en fin de description, ton n° de phone.
Je suis mariée à un homme très gentil. Mais un peu en manque d’imagination au point de vue sexuel.
Je ne souhaite rien casser de ma vie familiale. Pour autant j'aimerais remettre du piment et libérer ma libido avec un homme libre ou non qui respectera mon environnement social et acceptera de se limiter à une relation de jardin secret.
Je ne suis pas grosse, juste pulpeuse, bcbg. Brune aux yeux verts, coupe cheveux longs toujours très soignée dans mes tenues, ma plastique et mon hygiène.
Plutôt active sexuellement (en extérieur) mes activités associatives denses peuvent constituer de parfaits alibis pour des rencontres torrides en soirée. Mon mari faisant beaucoup de déplacements professionnels, j’en profite.
Après quelques mots tu me fais savoir que tu es en manque grave depuis plusieurs jours et le fait de te connecter sur le « site » et d’y croiser tes amis, active à l’extrême ce manque de plaisir. Manque que tu ne sais combler par tes caresses, ou par tes jouets… il te faut un homme, rare objet qui tient vraiment seul entre tes cuisses. Doux et câlin, tendre et violent à la fois, l’unique apte à capter les soubresauts de ton corps, le seul à se retirer et te laisser sur ta faim à l’approche de la jouissance pour repartir de plus belle…. dans la minute suivante, quand tu deviens sulfureuse et démone.
Je t’ai donné rendez-vous… Demain, à la tombée du jour, derrière l'église de ton petit village, endroit familial et mystérieux, propice aux rencontres discrètes. Il y a généralement un petit abri recevant les objets n’étant plus utilisés.
Tu es là depuis trois secondes quand j’arrive, on entend une voiture et nos regards se croisent, se comprennent. Je tourne la poignée de la porte qui s’ouvre et crisse en froissant le silence. Je te guide rapidement à l’intérieur…. Ni vu ni connu.
Il y a des caisses, des malles allongées, des étagères reprenant des restes de cierges dont le parfum de cire tiédie par cette saison empli le local, surpassé par l’effluve d’encens de sacristie un peu humide.
Tu es admirablement belle dans ta tunique de satin gris bleuté qui laisse deviner qu’elle est le seul vêtement que tu portes ; une vitre brisée, un léger souffle de vent fait voler la tenture où l’ombre et la lumière se défient en combats singuliers, ils se font la guerre ils se font l’amour. Il applique le fin tissu sur ta peau parfumée faisant surgir l’arrondi de tes aréoles, tes pointes provocantes dressées depuis longtemps par le frottement.
Une porte de l’armoire s’ouvre, une page d’un livre se tourne libérant…. une âme, celle de la maîtresse du lieu. Celle de la sœur de ta grand-mère, vieille fille chaste et pieuse de 35 ans, qui, à son époque, s’est gardée vierge jusqu’en vue de son mariage. Privilège destiné à son cher……. Chéri qu’elle a trouvé ici même, en venant ranger des restes de cierges, occupé à sodomiser la blonde du village. Blonde idolâtrée des puceaux venant avec elle faire leurs premières armes, des quinquagénaires lui glissant quelques billets pour se laisser lécher l’anus et se faire sucer jusqu’à plus soif….. des beaux étalons de son âge qui, à plusieurs la font planer des heures entières, quand les mères de leurs progénitures ont la migraine.
De honte elle s’en est suicidée, pendue au chêne, là derrière la chapelle et depuis elle rode, refusée par le ciel par son acte et sa vie de grenouille de bénitier ne lui laissant pas de place en enfer.
Elle se morfond indéfiniment dans ce réduit où elle a vu le plaisir de la chair sans jamais y avoir goûté, elle qui lors de ses nuits chaudes avait peur de se toucher le clito de l’index.
Maintenant, elle se lamente du manque de luxure, elle veut rattraper le temps perdu…. Elle électrise l’ambiance de chaque visite.
Tu ressens un léger frisson qui te parcoure l’échine, de la nuque jusqu’au sillon de tes fesses, tu viens te coller à moi…. C’est elle qui veut entrer en ton corps pour profiter de la jouissance, comme elle le fait quand des jeunes filles viennent ici pour découvrir ensemble leur anatomie et profiter des restes des bougies. Comme elle le fait à chaque fois qu’un piston laboure une fente béante.
Elle t’a grisée d’ivresse. Ta tête se pose sur mon épaule, ta main se glisse sous ma chemise, ton ventre (votre ventre) tremble d’envie…… tu te tournes et pose les mains sur la caisse à même le sol, ta robe glisse sur ta cuisse me livrant de la sorte ton anus déjà trempé d’envie, en minaudant ; - vas y j’ai envie depuis ton premier contact, défonce moi autant que possible, pistonne mon O à n’en plus finir, fais moi planer vers les horizons ou tout n’est que plaisir et débauche.
Je sens monter en toi une ligne de jouissance depuis tes reins jusque tes seins qui se sont durcis plus encore, tu miaules et te tord telle une chatte comblée par un gros matou, retenant tes hurlements de plaisirs au fond de la gorge à t’en étouffer….. tu amplifies mes allés et venues par les glissements dévastateurs de ton bassin sur ma queue, des mouvements qui percutent tes fesses en claquements brutaux. Ma bite te pénètre au plus profond et s’écarte à limite avant de replonger et te tarauder le cul à te faire hurler de bonheur ; si nous étions dans un autre lieu….
Le moment de l’extase finale s’annonçait vaillamment et j’allais me liquéfier au tréfonds de ton ventre quand tu me fais ….. chtttt ; en serrant les muscles de ton anus , me bloquant en toi. M’empêchant de gicler tout ce que mes valseuses auraient pu te donner.
Tu me chuchotes ;
- Il y a quelqu’un là de l’autre côté du mur .
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 26 janvier 2020 à 19:26
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