Conduis-moi au Chelsea Hotel
Je suis prêt pour la promenade de l'étranger
Sid et Nancy deviennent aveugles
Tout ce dont j'ai besoin
C'est le sexe, le meurtre et l'art.
Je danse avec les muses de Warhol ce soir.
En fin de journée,
il n'y a personne pour blâmer
l'amour et la mort, c'est pareil.
Conduis-moi au Chelsea Hotel
Je suis prêt pour la promenade de l'étranger
Sid et Nancy deviennent aveugles
Tout ce dont j'ai besoin
C'est le sexe, le meurtre et l'art.
Je danse avec les muses de Warhol ce soir.
En fin de journée,
il n'y a personne pour blâmer
l'amour et la mort, c'est pareil.
Merci pour Iam
Voici un petit texte dans ton thème...
Eros et Thanatos, les frères ennemis
Œuvrent consors, sans voix et sans bruit,
Caresse insolente de la vie qui jouit,
De l'abandon des corps à la nuit,
Ils cueillent à l'heure les âmes évanouies.
Dans un soubresaut d'hésitation,
L'innocent s'y jette sans raison,
Aime sans fin, s'agenouille avec dévotion,
Espérance futile d'une quelconque évasion,
Il avance tel un guerrier sur le front.
Assoiffé par les courbes de fantasmes,
Il exulte la pensée d'un ultime orgasme,
Repousse au pourpre le fiel marasme,
Dans un soupir, prie l'absurde iconoclasme,
Au sein flamboyant d'un prude orgiasme.
Mais veillent, chacun pour sa boutique,
L'un avec ses accablantes suppliques,
L'autre ses tentations idylliques,
Les joueurs miroirs épiques,
Les frères confondus des amours pathétiques.
Merci pour Iam
Voici un petit texte dans ton thème...
Eros et Thanatos, les frères ennemis
Œuvrent consors, sans voix et sans bruit,
Caresse insolente de la vie qui jouit,
De l'abandon des corps à la nuit,
Ils cueillent à l'heure les âmes évanouies.
Dans un soubresaut d'hésitation,
L'innocent s'y jette sans raison,
Aime sans fin, s'agenouille avec dévotion,
Espérance futile d'une quelconque évasion,
Il avance tel un guerrier sur le front.
Assoiffé par les courbes de fantasmes,
Il exulte la pensée d'un ultime orgasme,
Repousse au pourpre le fiel marasme,
Dans un soupir, prie l'absurde iconoclasme,
Au sein flamboyant d'un prude orgiasme.
Mais veillent, chacun pour sa boutique,
L'un avec ses accablantes suppliques,
L'autre ses tentations idylliques,
Les joueurs miroirs épiques,
Les frères confondus des amours pathétiques.
Merci à toi..
d'avoir fait..
à la fois....
retourner tes ..
syllabes...
d'un cri..