" Pour mémoire, l’ignominie des propos tenus par ce misérable individu :
Gilbert Deray, conférence au Temple Maçonnique du Grand Orient de France: « Je pense que le nombre de morts tout le monde s'en fout et qu'on les aura oublié demain matin, si ce n'est pas déjà fait... » "
" Empoisonnement aux Antilles : une étude enfonce Buzyn et Jérôme Salomon, poursuivis pour faux témoignage "
23 janvier 2023
" La justice française a récemment prononcé un non-lieu dans l’affaire dite du chlordécone, ce pesticide cancérogène qui a détruit la vie de plusieurs centaines de personnes en Martinique et en Guadeloupe pendant 20 ans.
Pourtant, en juillet 2021, une étude de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) enfonçait Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé et Jérôme Salomon, ex directeur général de la Santé. Ces derniers ont été poursuivis pour faux témoignage dans cette affaire
Lecourrier-du-soir.com vous invite à relire notre article sur ce sujet
Excellente lecture
« Agnès Buzyn et Jérôme Salomon à nouveau sur la sellette. En effet, près d’un mois après la révélation du média Lecourrier-du-soir.com qu’Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé et Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, sont visés par une plainte adressée au Procureur de la République de Paris dans une affaire d’empoisonnement, les choses se compliquent pour eux.
Feedback. Dans la plainte déposée par l’UGTG (Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe), le collectif exigeait de l’Etat français qu’il assume sa responsabilité dans l’affaire dite du Chlordécone, un pesticide commercialisé par l’Etat français entre 1972 et 1993 et qui a empoisonné les populations martiniquaises et guadeloupéennes durant 20 ans.
« Buzyn et Salomon au banc des accusés »
Les conséquences de la commercialisation de ce pesticide ont été dévastatrices, comme l’explique le média MrMondialisation.org : 95% des Martiniquais et 92% des Guadeloupéens ont été empoisonnés, provoquant un taux très élevé du cancer de la prostate chez cette population. Dans la plainte, l’UGTG avait visé Agnès Buzyn et Jérôme Salomon, les accusant d’avoir menti sous serment devant la commission d’enquête parlementaire.
D’ailleurs, dans un communiqué publié sur le site officiel de l’UGTG et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, on pouvait lire : « Madame BUZYN, ancienne ministre de la santé, Monsieur GUILLAUME, ministre de l’agriculture, Monsieur SALOMON, Directeur général de la santé, et Monsieur FERREIRA, Directeur général de l’alimentation ont menti, sous serment, devant la Commission d’enquête parlementaire pour tenter de disculper l’Etat. »
« Une présomption forte entre chlordécone et 6 maladies graves »
Le communiqué poursuit : « aussi, une plainte a été déposée contre Mme BUZYN et M GUILLAUME devant la Cour de justice de la République pour faux témoignage dans le cadre d’une commission d’enquête parlementaire. Une troisième plainte a été déposée contre Messieurs SALOMON et FERREIRA devant le procureur de la République de Paris pour faux témoignage dans le cadre d’une commission d’enquête parlementaire. »
Ce communiqué a été publié le 5 juin et le 3 juillet 2021, le média France TV Info révèle la publication d’une étude réalisée par des chercheurs de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) qui confirme « une présomption forte » de lien entre plusieurs produits phytosanitaires (dont le chlordécone) et 6 maladies graves.
« Se basant sur plus de 5300 documents, le groupe de chercheurs multidisciplinaire conclut à ‘un niveau de présomption fort’, entre l’exposition au chlordécone et le risque de survenue de cancer de la prostate. En Guadeloupe et en Martinique, la prostate tumorale, la plus fréquente, est la première cause de décès chez les hommes. Le taux d’indice de décès de ce cancer est deux fois plus élevé que dans l’Hexagone », révèle le média français.
Pour lire le communiqué de l’UGTG, cliquez ici : UGTG "
Citation de fouthese
" Empoisonnement aux Antilles : une étude enfonce Buzyn et Jérôme Salomon, poursuivis pour faux témoignage "
23 janvier 2023
" La justice française a récemment prononcé un non-lieu dans l’affaire dite du chlordécone, ce pesticide cancérogène qui a détruit la vie de plusieurs centaines de personnes en Martinique et en Guadeloupe pendant 20 ans.
Pourtant, en juillet 2021, une étude de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) enfonçait Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé et Jérôme Salomon, ex directeur général de la Santé. Ces derniers ont été poursuivis pour faux témoignage dans cette affaire
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Excellente lecture
« Agnès Buzyn et Jérôme Salomon à nouveau sur la sellette. En effet, près d’un mois après la révélation du média Lecourrier-du-soir.com qu’Agnès Buzyn, ex ministre de la Santé et Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, sont visés par une plainte adressée au Procureur de la République de Paris dans une affaire d’empoisonnement, les choses se compliquent pour eux.
Feedback. Dans la plainte déposée par l’UGTG (Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe), le collectif exigeait de l’Etat français qu’il assume sa responsabilité dans l’affaire dite du Chlordécone, un pesticide commercialisé par l’Etat français entre 1972 et 1993 et qui a empoisonné les populations martiniquaises et guadeloupéennes durant 20 ans.
« Buzyn et Salomon au banc des accusés »
Les conséquences de la commercialisation de ce pesticide ont été dévastatrices, comme l’explique le média MrMondialisation.org : 95% des Martiniquais et 92% des Guadeloupéens ont été empoisonnés, provoquant un taux très élevé du cancer de la prostate chez cette population. Dans la plainte, l’UGTG avait visé Agnès Buzyn et Jérôme Salomon, les accusant d’avoir menti sous serment devant la commission d’enquête parlementaire.
D’ailleurs, dans un communiqué publié sur le site officiel de l’UGTG et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, on pouvait lire : « Madame BUZYN, ancienne ministre de la santé, Monsieur GUILLAUME, ministre de l’agriculture, Monsieur SALOMON, Directeur général de la santé, et Monsieur FERREIRA, Directeur général de l’alimentation ont menti, sous serment, devant la Commission d’enquête parlementaire pour tenter de disculper l’Etat. »
« Une présomption forte entre chlordécone et 6 maladies graves »
Le communiqué poursuit : « aussi, une plainte a été déposée contre Mme BUZYN et M GUILLAUME devant la Cour de justice de la République pour faux témoignage dans le cadre d’une commission d’enquête parlementaire. Une troisième plainte a été déposée contre Messieurs SALOMON et FERREIRA devant le procureur de la République de Paris pour faux témoignage dans le cadre d’une commission d’enquête parlementaire. »
Ce communiqué a été publié le 5 juin et le 3 juillet 2021, le média France TV Info révèle la publication d’une étude réalisée par des chercheurs de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) qui confirme « une présomption forte » de lien entre plusieurs produits phytosanitaires (dont le chlordécone) et 6 maladies graves.
« Se basant sur plus de 5300 documents, le groupe de chercheurs multidisciplinaire conclut à ‘un niveau de présomption fort’, entre l’exposition au chlordécone et le risque de survenue de cancer de la prostate. En Guadeloupe et en Martinique, la prostate tumorale, la plus fréquente, est la première cause de décès chez les hommes. Le taux d’indice de décès de ce cancer est deux fois plus élevé que dans l’Hexagone », révèle le média français.
Pour lire le communiqué de l’UGTG, cliquez ici : UGTG "
Nicolas Berrod @nicolasberrod
1:13 PM · Jan 20, 2023
« La mise en examen d'Agnès Buzyn dans l'affaire de la gestion de crise #Covid est annulée par la Cour de cassation, car aucun texte ne lui imposait "une obligation particulière de prudence ou de sécurité". Elle ne sera pas jugée par la Cour de Justice de la République. 1/n »
« Procédure suivie devant la commission d’instruction de la Cour de justice de la République à la suite de la crise sanitaire liée à la Covid-19 » 20/01/2023
Assemblée plénière - pourvoi n° 22-82.535
« La Cour de cassation annule la mise en examen d’une ancienne ministre de la santé par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) pour mise en danger d’autrui à la suite de la crise sanitaire liée à la Covid-19.
Elle annule également les auditions des membres du Gouvernement qui ont été menées par un ou deux membres de la commission d’instruction et non par ses trois membres.
À la suite de la crise sanitaire liée à la propagation du virus de la Covid-19, une ancienne ministre de la santé a été mise en examen par la commission d’instruction de la CJR pour mise en danger d’autrui.
Repère : La mise en danger de la vie d’autrui Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou à un risque immédiat de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité qu’impose une loi ou un règlement est puni d'1 an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende (art. 223-1 du code pénal).
La décision de la Cour de cassation
Question 1. Une loi ou un règlement imposait-il à l’ancienne ministre de la santé, dans l’exercice de ses fonctions, une obligation particulière de prudence ou de sécurité ?
Réponse : Non Le délit de mise en danger d’autrui ne peut être reproché à une personne que si une loi ou un règlement lui impose une obligation particulière de prudence ou de sécurité. Cette obligation doit être objective, immédiatement perceptible et clairement applicable.
Or, aucun des textes auxquels s’est référé la commission d’instruction pour mettre en examen l’ancienne ministre de la santé ne prévoit d’obligation particulière de prudence ou de sécurité.
Dès lors, la Cour de cassation annule la mise en examen de l’ancienne ministre. Comme le prévoit la loi, l’annulation de la mise en examen a pour effet d’attribuer automatiquement à l’ancienne ministre le statut de « témoin assisté » : elle reste mise en cause, mais il ne lui est plus directement reproché d’infraction. En l’état, l’ancienne ministre ne peut pas être renvoyée devant la CJR pour y être jugée.
Question 2. Les auditions de membres du Gouvernement qui n’ont pas été réalisées par la formation collégiale de la commission d’instruction doivent-elles être annulées ?[b]
[b]Réponse : Oui
La loi organique sur la CJR prévoit que les auditions des membres du Gouvernement doivent être effectuées par la commission d'instruction, composée de ses trois membres.
Cette règle est d'ordre public : les parties à la procédure peuvent l’invoquer sans avoir à démontrer que son non-respect leur a causé un tort.
Dès lors, la Cour de cassation annule les auditions des membres du Gouvernement qui ont été menées par un ou deux membres de la commission d’instruction.
Question 3. La commission d’instruction a-t-elle instruit sur des faits dont elle n’était pas saisie ?
Réponse : Non
Si la commission d’instruction n’est autorisée ni à examiner la période de pandémie dans son ensemble, ni à instruire à l'égard d'autres personnes que les ministres visés par les réquisitions du procureur général près la CJR, les mesures d’information qu’elle a prises n’ont pas outrepassé le champ de sa saisine.
La période des faits reprochés Afin de mieux apprécier l’efficacité des mesures prises pour lutter contre la Covid, la commission d’instruction, saisie de faits survenus entre 2019 et juillet 2020, était autorisée à s’intéresser aux suites de la pandémie. Elle pouvait interroger des témoins au sujet des vagues successives du virus, du couvre-feu, du reconfinement, de la vaccination etc.
L’expertise menée au regard des faits reprochés
L’expertise menée par la commission d’instruction portait sur la cause du décès de la compagne d’un plaignant et sur un éventuel lien de causalité avec les faits reprochés. Elle présentait une utilité pour rechercher l’existence, le cas échéant, d’une mise en danger de la vie d’autrui.
En conséquence, la Cour de cassation approuve le rejet de la demande d’annulation des auditions de témoin et de l’expertise contestées.
La cassation partielle de la décision attaquée a lieu sans renvoi.
Nicolas Berrod @nicolasberrod
1:13 PM · Jan 20, 2023
« La mise en examen d'Agnès Buzyn dans l'affaire de la gestion de crise #Covid est annulée par la Cour de cassation, car aucun texte ne lui imposait "une obligation particulière de prudence ou de sécurité". Elle ne sera pas jugée par la Cour de Justice de la République. 1/n »
Nicolas Berrod @nicolasberrod
1:13 PM · Jan 20, 2023
« La mise en examen d'Agnès Buzyn dans l'affaire de la gestion de crise #Covid est annulée par la Cour de cassation, car aucun texte ne lui imposait "une obligation particulière de prudence ou de sécurité". Elle ne sera pas jugée par la Cour de Justice de la République. 1/n »
" Sans passe sanitaire, l’hôpital lui refuse l’entrée malgré son cancer : Stéphanie racontera son histoire dans un film "
Publié le 29 janvier 2023
" Nous l’avions reçue en novembre 2021 lors d’un entretien. Stéphanie, 34 ans, était atteinte d’un cancer du sein (en rémission depuis janvier 2022). Son parcours de soin s’était transformé en parcours du combattant, faute de passe sanitaire valide à présenter. Le réalisateur Alexandre Bellas va exposer dans un court-métrage ses terribles péripéties devant ces médecins qui la culpabilisaient de ne pas s’être soumise à la vaccination (pourtant non obligatoire) et face à l’Institut Curie à Paris qui lui a refusé l’accès à ses services en décembre 2021... Dans ce nouvel entretien, Stéphanie nous fait l’honneur de revenir sur ces moments difficiles qui ont été à la source de nombreux questionnements sur ce qu’est devenu le système de santé en France. Un système qui a parfois oublié de venir en aide aux personnes atteintes de maladies graves. "
" André Bercoff - "Les poupées russes du Covid s'ouvrent..! Arrêtons avec la culture du secret"
" Le New York Times poursuit en justice l’Union européenne afin d’obtenir les SMS entre Ursula Von der Leyen et Bourla le patron de Pfizer. Plainte déposée le 25 janvier. "
Ah ! Ces belles histoires de conflits d’intérêts !
" Révélation explosive en France : Big Pharma a offert 818 millions à des médecins pour manipuler l’o.pinion publique "
14 février 2023
" Entre 2014 et 2019, Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médias influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février
Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.
En effet, d’après cette étude relayée par le média Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits. Les montants débloqués sont faramineux. Selon le Quotidien du Médecin, entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature. D’après la même source, 548 médecins influenceurs sont en France.
“Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d&rsquoinion ne représentent 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature. En moyenne, un médecin influenceur recevait l’équivalent de 3 700 euros de cadeaux par an. Et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré”, révèle la source.
Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a eu accès à l’étude en question dans sa version originale et intégrale. Et les chiffres qui y sont dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 millions d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros.
L’étude révèle également qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3 700 euros de cadeau par an pour chaque KOL. En pleine crise sanitaire, cette étude risque de provoquer un séisme dans le monde médiatique.
Pour lire l’étude dans sa version originale, cliquez sur le lien suivant : KOL "
Citation de schnockdu
Plains-toi plutôt toi-même parce tu as une curieuse façon de lire et d'interpréter ce que je te dis dans laquelle je ne me reconnais absolument pas. Et tout en me souhaitant au contraire une très longue vie, je te tutoie comme je tutoie la vie - pour ne pas dire les anges.
Le vrai bonheur ici-bas, c'est de ne pas connaître le malheur. Et à chacun le sien.
" Notre ancienne Ministre de la Santé, qui vient de caser son fils au Ministère des Affaires Sociales, selon une tradition de népotisme bien française, a sorti un livre il y a peu (« Journal Janvier-Juin 2020 »), pour se défendre de nombreuses critiques concernant sa gestion de la crise du covid quand elle était ministre. J’ai donc cherché dans cet ouvrage quelques perles et incohérences, et j’en ai trouvé.
Ce livre est d’abord un mémoire de défense. Elle veut surtout rétablir la vérité concernant sa gestion ou non-gestion, insistant surtout sur sa déclaration du 21 janvier 2020 et sur le manque de masques. Elle y revient sans arrêt, sans convaincre. Le Monde, qu’elle cite dans son livre, parlait le 28 mai 2020 de « La mémoire sélective d’Agnès Buzyn ». Cela s’applique aussi à ce livre, normal car dans un mémoire de défense, il ne peut y avoir que du positif, le négatif n’y a pas sa place. N’importe qui ferait de même, mais il faut en avoir conscience en le lisant.
J’y ai bien relevé qu’elle n’y est pour rien s’il y a eu des problèmes, elle avait tout anticipé, ce qu’elle répète sans arrêt, c’est de la faute des autres s’il y a eu des problèmes, et si elle avait été écoutée, les choses se seraient passées différemment. Personnellement je préfère regarder le bilan. En anticipant parfaitement et avec une ministre en place depuis presque 3 ans, étions-nous prêts pour affronter une épidémie ? La réponse est clairement non, rien n’avait été prévu, nous étions dans une moins bonne situation que 10 ans plus tôt, concernant les médecins, les lits, les respirateurs, les masques, etc. Quand on est complotiste, on peut dire « je l’avais dit », quand on est ministre, on ne peut pas uniquement le dire, il fallait le faire.
La politique avant le covid
Les premiers mois, elle critique tout le monde, ceux qui ne l’écoutent pas, ceux qui sont plus précupés par la campagne des législatives que par l’épidémie qui arrive, à commencer par le président et le premier ministre. Mais elle, que fait-elle d’autre en quittant son poste le 16 février 2020 pour aller conquérir la Mairie de Paris tout en disant que la priorité, ce ne sont pas les élections mais l’épidémie ? Faites ce que je dis mais pas ce que je fais ! Personnellement j’avais tort en pensant que responsable, elle avait fui. Non, ce n’est pas de sa faute, mais celle des autres. Très franchement, aller à la Mairie de Paris, avec son expérience politique et le contexte sanitaire, le bon sens aurait voulu qu’elle refuse, ce qu’elle pouvait faire si elle avait l’intention de combattre l’épidémie.
Ils savaient pour le P4 de Wuhan
Grosse découverte : ils savaient que le virus venait du P4 ! Le 11 janvier 2020, bien avant le premier cas français, bien avant que les complotistes comme Montagnier, prix Nobel, ne le disent, Agnès Buzyn envoie un SMS au premier ministre et au président : « On suspecte le laboratoire P4 de Wuhan de manipuler le virus. Le ministère des Affaires étrangères est parfaitement au courant. Je vous raconterai de vive voix. » Ils savent quelque chose, rien ne doit être écrit. Ils ont par la suite discrédité tous ceux qui avaient ce doute, en les faisant passer pour des idiots et des complotistes, en alimentant la fake news sur la chauve-souris puis le pangolin. Même si le coronavirus souche venait de ces animaux, ils savaient où il avait été modifié, et dans quel but, d’où mon hypothèse concernant le secret défense et l’épidémie traitée non comme une épidémie de coronavirus, mais comme une guerre biologique, avec un secret défense.
À signaler d’ailleurs, que dans les 500 pages du livre, pas un mot sur ce secret défense, sur le comment et le pourquoi. Une grande muette sur le sujet. "