Et, il y a beaucoup de camelots qui crient dans tous les sens et à qui criera le plus fort pour vendre sa camelote !
En cherchant bien, on trouve quelques rares étals intéressants, sympathiques, naturels et sains.
A ce propos
Le marché ne va pas tarder à fermer...
Nous remercions notre aimable clientèle et lui souhaitons
Une bonne soirée
PS : Pour les noctambules, les portes restent ouvertes le soir
Vous pouvez vous y abriter si le danger vous guette...
Essayez de pas faire trop de bruit néanmoins
Citation de vyseee
Tel la vie moderne ?
Trop rapide pour mes yeux fragiles...
Un arbre, un cours d'eau
Le rythme de la terre quoi
Et la mélodie de l'air
Si les oiseaux s'y joignent
Il faut de tout pour faire un bon marché !
Bouger un peu plus ne veut pas dire forcément rapidement.
Il faut savoir diversifier.
Et puis, je sais me poser aussi, échanger avec les gentils commerçants .... quand il y en a...
Citation de vyseee
A ce propos
Le marché ne va pas tarder à fermer...
Nous remercions notre aimable clientèle et lui souhaitons
Une bonne soirée
PS : Pour les noctambules, les portes restent ouvertes le soir
Vous pouvez vous y abriter si le danger vous guette...
Essayez de pas faire trop de bruit néanmoins
Vous ne faites pas nocturne ?
Bonne soirée également et merci pour cet échange cordial !
Je me retire sur la pointe des pieds.
Le Marché à des heures d'ouverture variables...
Ceci dit il reste ouvert en permanence pour se qui veulent
Y baguenauder
J'aime bien les marchés privés aussi
Surtout en galante compagnie O*)
Et se montent et se dressent les étals,
Colorés, bruyants, dévoilant l'attirail,
Brinquebalants et cliquetants bibelots
Des vendeurs de vent et leurs égos
Tapissant de leurs palabres impécunieux
Le silence trahi par l'investiture des lieux.
Telles des rues défiant l'indignation
S'alignent les échoppes identiques,
Rectilignes droitures magnifiques
Ne déviant d'aucun point des structures,
Soumise inconsciente architecture,
Affichant parfois quelque détail personnel
Mais toujours la même idée en sommeil.
Et soudain, histoire de secouer la raison,
S'ajoute ça et là sporadiquement
Éphémère et pourtant appétissant
L'un ou l'autre étalage de nourriture,
Offrant sa vapeur parfumée à la césure,
Savante esbrouffe emplissant l'assiette
De futurs quémandeurs de piécettes.
Mais comme rien ne s'écoule sans réflexion,
Vient enfin la foule, avide et désordonnée,
Sèmant son brouhaha d'idées clairsemées,
Brassant dans son sillage les moutons
Des poussières dans leurs sillons,
Touchant, tâtant, soupesant, chicanant,
Cherchant le faire valoir du raisonnement.
Et comme il faut une substantielle imagination,
Se posent quelques oiseaux de passage
Assis aux chaises des terrasses d'outrages
Observant sur les faîtes des étals défraîchis
Les gestes tant refaits et redits,
Décelant dans leurs ventres les cannelures
Offrant la liberté d'une autre ouverture.
Alimentant les passants aux pieds de plomb.
Qui verraient bien dans leur envol
Une idée d'ailleurs comme une idée folle.
Véritable cour des miracles
Où les ventes finissent en débâcle
Où se croisent danseurs et bretteurs
Marchands des 4 saisons et voleurs,
Les gestes fluides des marchands d illusions
S'envolent les notes d'habiles musiciens,
Ajoutant aux discours sulpiciens, abyssinniens et théoriciens
Les souffleurs de rêves, orateurs et ceux qui ne disent rien.
Citation de iseult
Bouger un peu plus ne veut pas dire forcément rapidement.
Il faut savoir diversifier.
Et puis, je sais me poser aussi, échanger avec les gentils commerçants .... quand il y en a...
Et il y en a beaucoup en fait,
Beaucoup plus qu'on ne pourrait le croire aux premiers abords...
Les commerçants se laissent souvent désorienter par l'appât du gain, la peur de l'échec, les camarades des autres échoppes, les belles fleurs disséminées le long de ruelles aux fragrances plus soutenues les unes que les autres...
Bref par de nombreuses choses...
Du coup tel un vieux village Gaulois (qui résisterait encore à l'envahisseur paraîtrait-il) il arrive bien trop souvent
des scènes de pugilats sur la place du marché.
Citation de morganna
Et se montent et se dressent les étals,
Colorés, bruyants, dévoilant l'attirail,
Brinquebalants et cliquetants bibelots
Des vendeurs de vent et leurs égos
Tapissant de leurs palabres impécunieux
Le silence trahi par l'investiture des lieux.
Telles des rues défiant l'indignation
S'alignent les échoppes identiques,
Rectilignes droitures magnifiques
Ne déviant d'aucun point des structures,
Soumise inconsciente architecture,
Affichant parfois quelque détail personnel
Mais toujours la même idée en sommeil.
Et soudain, histoire de secouer la raison,
S'ajoute ça et là sporadiquement
Éphémère et pourtant appétissant
L'un ou l'autre étalage de nourriture,
Offrant sa vapeur parfumée à la césure,
Savante esbrouffe emplissant l'assiette
De futurs quémandeurs de piécettes.
Mais comme rien ne s'écoule sans réflexion,
Vient enfin la foule, avide et désordonnée,
Sèmant son brouhaha d'idées clairsemées,
Brassant dans son sillage les moutons
Des poussières dans leurs sillons,
Touchant, tâtant, soupesant, chicanant,
Cherchant le faire valoir du raisonnement.
Et comme il faut une substantielle imagination,
Se posent quelques oiseaux de passage
Assis aux chaises des terrasses d'outrages
Observant sur les faîtes des étals défraîchis
Les gestes tant refaits et redits,
Décelant dans leurs ventres les cannelures
Offrant la liberté d'une autre ouverture.
Alimentant les passants aux pieds de plomb.
Qui verraient bien dans leur envol
Une idée d'ailleurs comme une idée folle.
Véritable cour des miracles
Où les ventes finissent en débâcle
Où se croisent danseurs et bretteurs
Marchands des 4 saisons et voleurs,
Les gestes fluides des marchands d illusions
S'envolent les notes d'habiles musiciens,
Ajoutant aux discours sulpiciens, abyssinniens et théoriciens
Les souffleurs de rêves, orateurs et ceux qui ne disent rien.
.... Que dire...
Merci... Pas trop dur (de penser à dire Merci)
Whaow ! A coup sûr
Ou bravo...
Je sais plus trop
Moi qui parlais de choses plus littéraires,
Je ne peux que m'émerveiller de votre univers
Je relirai mieux ce présent
Quand j'aurai plus de temps
Pour apprécier pleinement
Son ravissement