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souchon aussi.... On m'a longtemps dit que je n'avais pas encore « couper le cordon »quand il était franchement temps à mon âge ! J'ai toujours entendu que l'on ne devenait adulte que quand ses parents mouraient, ce qui revient à couper le cordon malgré soi. Je m'interroge. Les femmes ont elles conscience des impactes, de l'effet papillon qu'elles provoquent le jour où elles décident de faire un bébé................. ????? Les Mamans, mères, génitrices...... Elles sont nos premières hôtes celles qui décident de si nous vivrons, naîtrons ou pas. Toutes puissantes femmes. 9 mois en elles, complètement dépendant d'elles, on se nourrit si elles se nourrissent,fumons si elles fument, buvons si elles picolent et j'en passe. Et si je vais plus loin, elles conditionnent nos existences. Selon le pays, le foyer, le contexte dans lesquels elles nous mettent au monde. Les caresses qu'elles nous donnent et qui nous transmettrons toute la Force qu'il faut pour Aimer et être Aimé à notre tour, le dédain que certaines d'entre elles ont et qui fera de nous des handicapés du cœur ou des tétraplégiques de l'âme, des fantômes orphelins de notre en devenir..... Et ces pères qu'elles abandonnent, quittant leur peau de meilleure amie et amante le jour où elles sont mère, ogresse de l'humanité de leur enfant rendu au rayon d'objet,c'est MON gosse, on l'entend tous les jours ! les vampires matri-ARnaque, matri-MAniaque Que dire de celle qui font un gamin toute seul parce que l'horloge biologique l'ordonne soit-disant ? Hold up à la caf, violeuses d'homme auquel elles volent le sperme ? Je m'interroge. Les femmes ne sont elles rien si elles ne sont pas mères ? Ont elles conscience qu'elle ne sont pas Dieu et qu'elles n'ont aucun droit de vie ? Si par hasard elles prenaient conscience que si la nature leur à confier un pouvoir puisqu'elles sont les garantes de la gestation d'une vie, elles ne sont pas PROPRIETAIRES de celle çi. L'expression consacrée est donner la vie, mais non ! Elles prêtent leur corps pour amener UNE vie. Le père, quand il a LA CHANCE d'avoir été consulté, et même quand il a la chance d'avoir l'autorisation de s'impliquer dans l'éducation est toujours tout de même retenu consciemment ou pas par la toute puissance de l'influence de la maman sur l'enfant. Et ce dernier, petit bout innocent et fragile croit dur comme fer que si maman a mal c'est de sa faute à lui et qui a mal à son tour parce qu'il ne peut pas la soigner, quand ses bisous à lui ne sont pas les bisous qui guérissent tout de maman, maman c'est dieu et que c'est elle qui peut tout guérir et qu'il ne sera jamais seul, le jour où il a grandit et qu'il devient seul, le mensonge s'écroule sur sur sa tête, la tour d'argile lui écorchant un bout du cœur....... ? Je m'interroge sur ce monde qui ne sait plus faire des mères......
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Joli ...
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merci trickster, c'est une interrogation sincère et j'espère honnête d'une petite fille qui adulte a conscience du pouvoir qu'elle a et sait pourquoi elle ne pourra pas l'utiliser. Il y a un abus dans ce pouvoir féminin (dans tous les pouvoirs d'ailleurs) et si parfois on donne la parole aux enfants, jamais on ne donne la parole aux autres manipulés ou victimes que sont les pères, les papa pour les plus chanceux et franchement sur ce coup là, k'ai du mal à plaider la cause des femmes.... bonne journée à vous
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Éducateur est un métier...comment leur en vouloir
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
____________________________________ Qu'on se le dise. Georgette fait partie de ces femmes qui ne se reconnaissent pas du tout dans leurs enfants. En RIEN. Et les distances qui se sont créées l'arrangent bien ! Après avoir procréé, élevé, biberonné et plus, elle a décidé de prendre sa liberté en main, ce qui suppose quelques principes in-dé-ro-gea-bles ! Enfin, à son âge , elle se moque totalement des conventions. Adieu aux cartes postales et aux clichés qu'adorent tellement les petits et les grands, quand il s'agit de leur mère ou de leur mère-grand . Georgette n'a pas du tout l'âme d'une mamie Nova sous une cloche à fromage. Pas question pour elle de rater les belles années qui lui restent encore à vivre. Merde à la famille est son nouveau crédo...sauf quelquesfois... Oui et alors ? Pour l'éducation des chiards. Méthode Pernoud ou Dolto, Gerogette a fait de son mieux, croit-elle, Benoit et Bertrand aussi, enfin... en pédale douce, faut pas exagérer non plus _____________________________________________
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Pour ma part le désir d'avoir des enfants m'est venu lors de ma rencontre avec l'homme qui devint donc le père de nos enfants. C'est en le rencontrant que j'ai désiré avoir des enfants, avoir des enfants de lui, pas d'un autre. Le désir d'avoir des enfants n' a pas préexisté à la rencontre avec cet homme. Cet homme lui-même voulait avoir des enfants, préalablement à la rencontre avec une femme donc, mais il n'avait pas encore trouvé la femme dont il désirait avoir des enfants. Vous voyez donc à quel point il y a des diversités de caractères, de psychologie, si bien qu'il est impossible de parler des femmes ou des hommes en général. Oui nous devenons adultes quand les parents meurent; surtout quand la mère meurt, que nous soyons femme ou homme. La mort de la mère introduit dans un autre monde. La mort de la mère introduit dans un monde où vous êtes seule, réellement seule. Puis il y a les rencontres, des rencontres heureuses, et de ces rencontres il peut jaillir ce désir d'enfanter. C'est pourquoi l'autre topic où des foromeurs dénigrent le fait d'avoir des enfants est à côté de la plaque. Ce n'est pas le produit d'une volonté le fait d'avoir des enfants, c'est le produit d'un désir qui vous prend aux tripes (moi ça m'a pris aux tripes quand j'ai rencontré cet homme là). S'ils étaient honnêtes ils devraient dire : "Nous n'avons pas en nous le désir d'enfant". Et pourquoi pas si le désir n'est pas là, je comprends cette absence de désir. Mais laisser entendre que c'est par pure décision j' y vois là l'incapacité d'assumer leur non-désir d'avoir des enfants. En tout cas sympa votre topic, vous nous sortez des banalités tristes qui règnent ici. Continuez de nous enchanter avec vos réflexions.
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "kickout"Un lien de parenté? Je suppose que c'est à Triskster que ce message s'adresse. Si c'est au mien je ne vous comprends pas.
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "iphigenie"Citation de "kickout"Un lien de parenté? Je suppose que c'est à Triskster que ce message s'adresse. Si c'est au mien je ne vous comprends pas. J'ai supposé de même Réponse : Nan ! la mienne de mère est formidable ...
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "trickster"Citation de "iphigenie"Citation de "kickout"Un lien de parenté? Je suppose que c'est à Triskster que ce message s'adresse. Si c'est au mien je ne vous comprends pas. J'ai supposé de même Réponse : Nan ! la mienne de mère est formidable ... Ah votre mère est vivante! heureux homme, mais du coup pas de maturité. Il est difficile de tout avoir. je ne peux résister au désir (qui me prend aux tripes) de vous mordiller!
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Plaît-il ...
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Bon j’arrête de polluer ce post, je sors ... bonne continuation
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "trickster" Bon j’arrête de polluer ce post, je sors ... bonne continuation Vous ne polluez rien du tout et vos réponses plaisent à la personne qui a initié ce topic; restez. Ne vous laissez pas démonter si vite par mes grondements (de chatte amusée).
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Citation de "kickout" On m'a longtemps dit que je n'avais pas encore « couper le cordon » quand il était franchement temps à mon âge ! J'ai toujours entendu que l'on ne devenait adulte que quand ses parents mouraient, ce qui revient à couper le cordon malgré soi. Je m'interroge. Les femmes ont elles conscience des impacts, de l'effet papillon qu'elles provoquent le jour où elles décident de faire un bébé................. ????? Les Mamans, mères, génitrices...... Elles sont nos premières hôtes, celles qui décident de si nous vivrons, naîtrons ou pas. Toutes puissantes femmes. 9 mois en elles, complètement dépendant d'elles, on se nourrit si elles se nourrissent, fumons si elles fument, buvons si elles picolent et j'en passe. Et si je vais plus loin, elles conditionnent nos existences. Selon le pays, le foyer, le contexte dans lesquels elles nous mettent au monde. Les caresses qu'elles nous donnent et qui nous transmettrons toute la Force qu'il faut pour Aimer et être Aimé à notre tour, le dédain que certaines d'entre elles ont et qui fera de nous des handicapés du cœur ou des tétraplégiques de l'âme, des fantômes orphelins de notre en devenir..... Et ces pères qu'elles abandonnent, quittant leur peau de meilleure amie et amante le jour où elles sont mère, ogresse de l'humanité de leur enfant rendu au rayon d'objet,c'est MON gosse, on l'entend tous les jours ! les vampires matri-ARnaque, matri-MAniaque Que dire de celle qui font un gamin toute seule parce que l'horloge biologique l'ordonne soit-disant ? Hold up à la caf, violeuses d'homme auquel elles volent le sperme ? Je m'interroge. Les femmes ne sont-elles rien si elles ne sont pas mères ? Ont-elles conscience qu'elle ne sont pas Dieu et qu'elles n'ont aucun droit de vie ? Si par hasard elles prenaient conscience que si la nature leur à confié un pouvoir puisqu'elles sont les garantes de la gestation d'une vie, elles ne sont pas PROPRIETAIRES de celle-çi. L'expression consacrée est donner la vie, mais non ! Elles prêtent leur corps pour amener UNE vie. Le père, quand il a LA CHANCE d'avoir été consulté, et même quand il a la chance d'avoir l'autorisation de s'impliquer dans l'éducation est toujours tout de même retenu consciemment, ou pas, par la toute puissance de l'influence de la maman sur l'enfant. Et ce dernier, petit bout innocent et fragile, croit dur comme fer que si maman a mal c'est de sa faute à lui et qui a mal à son tour parce qu'il ne peut pas la soigner, quand ses bisous à lui ne sont pas les bisous qui guérissent tout de maman, maman c'est dieu et que c'est elle qui peut tout guérir et qu'il ne sera jamais seul, le jour où il a grandit et qu'il devient seul, le mensonge s'écroule sur sur sa tête, la tour d'argile lui écorchant un bout du cœur....... ? Je m'interroge sur ce monde qui ne sait plus faire des mères...... Magnifique écrit ! D'autant qu'il l'est par une femme, et donc tellement plus partie prenante, impliquée, pour ce sujet si difficile à évoquer. C'est beau cette réflexion et cette humilité de la conscience qui fait voir tellement plus et au delà d'une norme souvent établie parce que non dérangeante. Vous écrivez lucide, d'avec cette vision entière et globale d'un spectateur impartial du "spectacle" de la vie et qui visionne avec acuité certaines de ses composantes très particulières. Et dire qu'il y en aura toujours pour dire que Smail, ce site, c'est bof !...juste une récré' pour gens esseulés ou en mal d'être. Vous en êtes le parfait contre-exemple. Il y a toujours une lumière, même dans les endroits d'apparence les plus ternes.
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Vos enfants ne sont pas vos enfants (Khalil Gibran) Une femme qui portait un enfant dans les bras dit : « parlez-nous des enfants. » Et il dit : « Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et il vous tend de sa puissance pour que ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie, car de même qu’il aime la flèche qui vole, il aime l’arc qui est stable. » (extrait du livre « Le Prophète » de Khalil Gibran)
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