Le problème vient de la surpopulation.
Afin de répondre à cette forte demande, on emploie hélas beaucoup plus de produits nocifs.
Concernant des petites parcelles, il est possible de faire sans.
Mais pour l'industrie de masse, l'emploi de ces " saloperies " sont quasi essentielles.
Et un autre soucis vient de la prolifération des parasites, mondialisation et dérèglement climatique oblige.
Se passer de ces produits sera très dure à l'avenir.
Et si le Bio a le vent en poupe, il ne peut rivaliser avec un produit traité.
Le Bio ne pourra jamais ou presque avoir la même cadence que le reste. Uniquement issu des petits producteurs. D'où son prix plus élevé.
Par contre là où c'est grave, sont ceux qui mettent des pesticides dans leur jardin.
Surtout pour un usage personnel et non commercial.
Du coup ils vont aussi souiller les jardins voisins, qui eux, sont bio.
Citation de bullit77
Le problème vient de la surpopulation.
Afin de répondre à cette forte demande, on emploie hélas beaucoup plus de produits nocifs.
Concernant des petites parcelles, il est possible de faire sans.
Mais pour l'industrie de masse, l'emploi de ces " saloperies " sont quasi essentielles.
Et un autre soucis vient de la prolifération des parasites, mondialisation et dérèglement climatique oblige.
Se passer de ces produits sera très dure à l'avenir.
Et si le Bio a le vent en poupe, il ne peut rivaliser avec un produit traité.
Le Bio ne pourra jamais ou presque avoir la même cadence que le reste. Uniquement issu des petits producteurs. D'où son prix plus élevé.
Par contre là où c'est grave, sont ceux qui mettent des pesticides dans leur jardin.
Surtout pour un usage personnel et non commercial.
Du coup ils vont aussi souiller les jardins voisins, qui eux, sont bio.
Mais la surpopulation reste un sujet tabou
Cependant, il est à noté que Dame nature n'est pas d'accord avec ceux qui pensent qu'il y a encore assez de place pour quelques milliards d'être humains supplémentaires. Simplement par le fait que les 3/4 des ressources ne suffiront pas, que ce soit pour les nourrir, ou pour la technologie dont ils auront besoin.
Nous sommes mis au pied du mur. Nous pouvons exprimez toutes discussions possibles et philosophiques, il n'en demeure pas moins que c'est la réalité qui va prendre le dessus, un rappel à l'ordre, et nous en paierons le prix fort!
Une surproduction ou prélèvement ne peut que appauvrir la terre, qui si cela continue, finira par devenir aride. De là nous pouvons déjà nous préparer pour des migrations, non plus politiques, causées par la guerre, mais par la destruction des sols, le manque de nourriture, le facteur économique, et les catastrophes annoncées.
Pour informations, il reste encore à l'humanité, environ 170.000 pour réfléchir. Après ? Peut-être que le règne des dinosaures refera surface. Ou que le film "La planète des singes" deviennent réalité