Il tente la saucisse de Francfort avant la piscine
Lundi soir, en faisant ses courses au Super U, il a découvert qu'il y avait une promotion sur la charcuterie.
Dans le cadre des découvertes et des saveurs d'Europe, il y avait la fameuse saucisse de Francfort. Belle.
Notre ami en a acheté 500 grammes. Exactement huit belles et grosses saucisses bien juteuses. Grasses.
Arrivé chez lui, notre héros s'empresse de faire cuire les saucisses dans un litre d'eau préalablement salée.
A l'aide d'une fourchette, il touille les huit saucisses. Chacune éclate délicatement en libérant son gras juteux.
Rapidement, à la surface de l'eau bouillante, cette écume jaunâtre se met à flotter, répandant son odeur forte.
Notre ami s'ouvre un paquet de chips, goût bacon. Dans une assiette plate il dépose de la moutarde de Dijon.
De la moutarde fine et forte. Il se verse un grand verre de bière à 10° d'alcool. De la bière d'homme en promo.
Il se coupe une demi baguette dans le sens de la longueur. Il dépose aussi deux saucisses ruisselantes de graisse.
Le mardi matin, notre héros a piscine. Il tente donc là une nouvelle expérience. La saucisse de Francfort cuite.
Le goût est fort. Avec la moutarde dans laquelle il trempe ses saucisses, notre ami se remplit la panse à blinde.
Il se descend deux boîtes de bière. Il termine la baguette. Il vient de s'envoyer huit saucisses. Notre salaud rote.
Le ventre douloureux, gonflé, notre héros se retrouve à la limite du coma. Il se traîne lamentablement dans son lit.
Bien bourré à la bière, malgré le match de foot, notre ami s'endort. Il a tout laissé traîner à la cuisine. Dégueulasse.
Le lendemain, au réveil, il est obligé de se tenir le ventre. L'envie de chier est terrible. Il serre les fesses et s'habille.
Il arrive à la piscine, rouge de congestion. Au fond de son slip il sent l'avant garde des choses à venir. C'est ignoble.
Il peut même sentir que ses couilles flottent déjà dans du caca très liquide. La saucisse de Francfort est laxative.
Il se change rapidement. pour ne pas penser à cette terrifiante envie de chier, notre ami reste en apnée. C'est dur.
Il décide d'abandonner son slip car il n'est plus récupérable. L'odeur pourrait le trahir. Il le met dans un sachet nylon.
A toute vitesse il prend sa douche. Dans le bassin il y a quelques nageurs. Des filles en grande majorité. + de 18 ans.
Notre salopiot se précipite dans l'eau. Là, sous le plongeoir vide, notre héros descend son maillot de bain. Mi cuisses.
Enfin il peut se lâcher. C'est un extraordinaire soulagement. Notre ami sent ses viscères se vider. Bruit de bulles.
Il peut sentir au fond de ses intestins le gargouillis caractéristique d'un vase qui se vide à toute vitesse. Il respire.
Il pousse un peu afin de bien se libérer des dernières coulées épaisses et visqueuses. Tout se déverse dans le chlore.
Tout le caca liquide de cette diarrhée qui n'en finissait plus remonte doucement en auréole. Il a jute le temps de fuir.
Notre ami a remonté son maillot. Depuis l'échelle métallique il observe les circonvolutions de la crotte en cercles.
Des cercles concentriques brunâtres dans lesquels flottent des particules de différentes tailles. Bien consistantes.
La belle blonde sexy au bikini bleu, arrive en nageant une brasse gracieuse. Voluptueusement elle avance. Lente.
Soudain, sans doute à cause des petits bouts qui viennent s'agglutiner autour de son cou, la fille se rend compte.
< Put-Hein ! Mais c'est de la chiure ! > s'écrie notre ravissante Bimbo. Sa copine arrive. Une belle brune filiforme.
Trop tard. Elle aussi nage dans le cercle brunâtre qui va en s'élargissant. Le Maître nageur, alerté par les cris, vient.
Il comprend immédiatement l'ampleur de la catastrophe. Il s'empare d'un sac contenant de la sciure et du chlore.
L'employé épand le mélange par poignées entières. Les deux filles, écœurées, filent sous les douches. C'est dégueu.
L'odeur est immonde. Les autres baigneurs sont priés de sortir de l'eau. Notre ami est déjà sous la douche. Discret.
Le Maître nageur a bien un doute mais comme notre salopard est balaise et plutôt grand, l'employé ne dit trop rien.
Avec une épuisette le Maître nageur récupère la sciure maculée de caca qu'il déverse dans un grand sac poubelle.
Notre héros est rassuré. Il sait que la saucisse de Francfort est efficace et peut s'avérer redoutable en cas de conflit.
Enfin, là-bas, l'eau du bassin a retrouvé son aspect initial. Le Maître nageur fait du bon boulot. Il assure son job. Bien.
Notre ami retourne nager un peu. Là, soudain, il sent un dernier remugle qui longe ses intestins en gargouillant. Fort.
Il lâche alors quelques petites perles plus adorables les unes que les autres. Il les regarde flotter à la surface de l'eau.
Passer maître dans l'art de la dissimulation rectale de crottes coulantes, personne ne remarque les petites "pralines".
Notre ami remonte aux cabines pour se changer. La dame des vestiaires lui fait un adorable sourire. Notre ami est ravi.
Juste avant qu'il ne redescende les escaliers qui mènent à la sortie, la dame des vestiaires l'appelle avec un < Ho ! >.
Notre ami se retourne. Elle lui tend le sachet en plastique qui contient son slip. < J'ai tout vu depuis là haut ! > dit-elle.
Elle rajoute avec un clin d'œil : < Je ne dirais rien. Je me marre trop. Vos chiures me font passer du bon temps ! >.
Maître Robert - (Gros niqueur mondain) -
Tous droits réservés - © - 2017 -