" En France, les patrons de PME sont de plus en plus nombreux à finir au chômage "
28 août 2024
" Une hausse alarmante du nombre de chefs d’entreprise se retrouvant sans emploi au premier semestre cette année vient confirmer la tendance. Comme l’indique l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, ce premier semestre observe une hausse de 18,4% du nombre de patrons au chômage par rapport à la même période l’année dernière. Cela équivaut à près de 30 000 chefs d’entreprises ayant perdus leur entreprise, dont la plupart sont des Petites Moyennes Entreprises (PME).
L’association Garantie sociale des chefs d'entreprise (GSC) proposant aux patrons la possibilité d’une assurance-chômage est l’indicateur clef pour recenser ces baisses importantes. Après avoir été mis en suspend pendant quelques temps grâces aux indemnités de l’État à la suite de la pandémie, le couperet ne fait que tomber un peu plus tard.
Cette hausse « se rapproche des niveaux records atteints en France il y a une dizaine d’années » informe l’Observatoire. Alors, Les Échos soulignent la volonté du président de l’association, Anthony Streicher, de faire de ce sujet une priorité pour le futur Premier ministre. « Pour la personne qui sera désignée Premier ministre dans quelques jours, la lutte contre la perte d'emploi des dirigeants d'entreprise devra être un sujet prioritaire ! Plus de 180 entrepreneurs perdent leur emploi chaque jour depuis le début de l'année », affirme-t-il. "
" Le Canada souhaite que l’OMS censure davantage la « désinformation » des médias sociaux "
2024-09-08
" Le Canada souhaite élargir le champ d’application de l’accord mondial sur les pandémies (traité) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en y ajoutant des mesures de censure.
L’initiative consiste à ajouter la « désinformation » des médias sociaux (et leur censure) à la discussion sur le projet de traité. En prévision de la « prochaine pandémie », le Canada souhaite également que l’on accorde davantage d’attention à ce qu’il considère comme la diversité, l’équité et l’inclusion.
L’objectif du traité est de donner à l’OMS un rôle actif dans l’orientation de la manière dont les 193 pays membres des Nations unies gèrent les pandémies ou d’autres crises sanitaires. Toutefois, les négociateurs ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur le texte du document avant la date limite du mois de mai de cette année.
À la fin du même mois, une nouvelle version du projet d’accord sur les pandémies a été publiée. Elle adoucit le ton de certaines des dispositions relatives à la censure, mais confère à l’OMS des pouvoirs de surveillance accrus. "
Citation de alice-2
Ce "vieux putois" qu'est Klaus Schwab ou celui qui se prend pour Dieu
Le chef caché de Macron, une pourriture franc maçonne de haut niveau, qui finance des recherches dans le but
de nous implanter une puce dans le corps
Fondateur du forum de Davos, il a organisé en octobre 2019 avec la Fondation Gates, "l'Event 201", une simulation
de pandémie due à un coronavirus
Ce sont des dégénérés consanguins milliardaires, satanistes, obéissant à un idéal dégueulasse
Macron lui obéit au doigt et à l'oeil
" L’Allemagne rétablit le contrôle aux frontières : Schengen explose ? "
11 septembre 2024
" «L’Allemagne vient d’annoncer à l’Union européenne que comme les accords de Schengen l’y autorise, elle va introduire des contrôles terrestres à ses frontières pendant une période de six mois à partir du 16 septembre». "
" L'Allemagne renforce le contrôle à ses frontières et ça fait râler ses voisins "
" L’Allemagne a annoncé lundi instaurer des contrôles supplémentaires à ses frontières, pour « limiter l'immigration irrégulière ». L’Union européenne, la Pologne et l'Autriche mettent en garde Berlin."
" Finalement, le motto résumant le mieux la tendance actuelle des États occidentaux pourrait bien être “Si vous n’avez rien à vous reprocher, vous n’aurez rien à cacher”. Et si cela est bien évidemment vrai pour vos données personnelles, il n’en va pas différemment… de vos déchets.
Eh oui : non contents d’être maintenant triés et séparés, vos déchets seront bientôt scrutés et évalués avec le plus grand soin. Si la vérification poussée du contenu de vos poubelles n’est pas encore en place partout, il n’y a cependant pas à douter qu’elle va progressivement s’étendre à mesure que le discours sur le recyclage continue de prendre son essor. "
" La guerre contre l’argent liquide risque de détruire l’économie "
" Selon certains « experts », il est urgent de mettre fin aux espèces. Selon eux, l’argent liquide fait le jeu de l’ « économie souterraine » et de la fraude fiscale. Une autre justification de la suppression de l’argent liquide est que, en période de choc économique et de récession, la course à l’argent liquide aggrave la situation et devient un facteur d’instabilité économique. En outre, il est avancé que, dans le monde moderne, la plupart des transactions peuvent être réglées au moyen de transferts électroniques. Ainsi, dans notre monde moderne, l’argent ne serait qu’une simple abstraction.
L’émergence de la monnaie
La monnaie est apparue parce que le troc ne permettait pas de soutenir l’économie de marché. Par exemple, un boucher qui voulait échanger sa viande contre des fruits avait besoin que le producteur de fruits soit d’accord, et le producteur de fruits qui voulait échanger ses fruits contre des chaussures rencontrait les mêmes problèmes. La caractéristique distinctive de la monnaie est d’être un moyen général d’échange. C’est devenu la marchandise la plus commercialisable.
Ludwig von Mises, le célèbre économiste libéral de l’école autrichienne, a écrit:
« … il y aurait une tendance inévitable à ce que les marchandises les moins commercialisables de la série des marchandises utilisées comme moyen d’échange soient rejetées l’une après l’autre jusqu’à ce qu’il ne reste finalement qu’une seule marchandise, qui soit universellement employée comme moyen d’échange ; en un mot, l’argent. »
De même, Murray Rothbard, lui aussi de l’école autrichienne, soutient que,
« Tout comme il existe dans la nature une grande variété de compétences et de ressources, il existe aussi une variété dans les possibilités de commercialisation des biens. Certains biens sont plus demandés que d’autres, certains sont plus facilement divisibles en unités plus petites sans perte de valeur, certains sont plus durables sur de longues périodes, certains sont plus facilement transportables sur de grandes distances. Tous ces avantages font que les biens sont plus faciles à commercialiser. Il est clair que dans chaque société, les biens les plus commercialisables seront progressivement sélectionnés comme moyens d’échange. Au fur et à mesure qu’ils sont choisis comme supports, la demande augmente en raison de cette utilisation, et ils deviennent donc encore plus commercialisables. Il en résulte une spirale de renforcement : une plus grande qualité marchande entraîne une plus grande utilisation en tant que support, ce qui entraîne une plus grande qualité marchande, etc. Finalement, une ou deux marchandises sont utilisées comme moyen général dans presque tous les échanges et sont appelées monnaie ». "
" Premier ministre surprise, en dépit des résultats des législatives, Michel Barnier a constitué un gouvernement exclusivement composé de Républicains et de macronistes. Il a présenté ses objectifs et sa méthode de travail, avant de tenir un premier conseil avec ses ministres lundi soir. Quelles impressions a-t-il laissées avec tout ça ?
« Ce gouvernement sera républicain, progressiste et européen », et aura pour mission « d’agir plus que de communiquer », clamait le successeur de Gabriel Attal, réputé pour être plutôt discret. Qu’est-ce que ça veut dire ?
Au journal du 20h de France 2, dimanche soir, il présentait quelques points forts de son programme. D’abord, comme le rapporte LCP, il promet de ne « pas alourdir encore l'impôt sur l'ensemble des Français », mais envisage que « les personnes les plus fortunées participent à l'effort national », via des « prélèvements ciblés ». Il a aussi expliqué vouloir améliorer la réforme des retraites, et assuré vouloir préserver intégralement les « grandes lois » sociales, par exemple celles sur l'interruption volontaire de grossesse ou l'assistance médicale à la procréation. Concernant l’immigration, « il y aura des mesures pratiques comme tous nos voisins en prennent » pour « maîtriser et limiter une immigration qui devient souvent insupportable et qui conduit à ne pas bien accueillir ceux qu'on accueille ».
En somme, des déclarations mesurées qui ont pour objectif de rassurer la gauche, sans perdre la droite. Une sorte de « en même temps » cher à notre président. Eric Coquerel (LFI) a rapidement réagi à ces annonces, attendant de voir « si ce gouvernement tient les timides promesses de Monsieur Barnier ». De son côté, Marine Le Pen livrait sa propre analyse : « [ce gouvernement - ndlr] est transitoire. […] La grande alternative que nous proposons, nous allons continuer à nous préparer pour permettre à la France de se rebeller ». Le parti de Jordan Bardella attend notamment d’en savoir plus sur la position du gouvernement concernant le budget.
Ce qui est sûr, c’est que Michel Barnier, comme ses prédécesseurs, marche sur un fil. Il livrera sa déclaration de politique générale le 1er octobre, devant l’Assemblée nationale, mais la gauche prévoit déjà de déposer une motion de censure contre lui. Si le RN se joint au NFP, Michel Barnier ne pourra que se plier à leur volonté, étant donnée la composition actuelle de l’hémicycle, qui n’est pas en sa faveur.
D’autant que les derniers sondages commandés par Public Sénat ne sont pas rassurants. « 61% des Français pensent qu’Emmanuel Macron va gouverner », alors que « 75 % d’entre eux sont mécontents » du président. Bref, ça promet, mais ne va peut-être pas durer. "