Je ne pense pas qu'il faille voir le mal partout ...
La galanterie fait partie de codes sociaux ancestraux , qui permet de différencier les hommes civilisés , des barbares aux yeux des Femmes.
C'est dans ce sens là , que la galanterie est nécessaire et protectrice.
De la bienveillance , de la courtoisie pour tous(tes) , ça oui c'est nécessaire , la galanterie totalement inutile , pour moi .
Qui sont les barbares ...
Les amérendiens , étaient considérés comme des sauvages et barbares aussi ..
Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.
Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.
Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l&rsquoeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.
La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.
L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.
J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.
Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.
Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.
Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.
La fin de la vie, le début de la survivance.
Chef Seattle, 1854
La vraie barbarie n'est pas forcément là ou l'on pense ...
Citation de cecil28
De la bienveillance , de la courtoisie pour tous(tes) , ça oui c'est nécessaire , la galanterie totalement inutile , pour moi .
Qui sont les barbares ...
Les amérendiens , étaient considérés comme des sauvages et barbares aussi ..
Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.
Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.
Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l&rsquoeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.
La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.
L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.
J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.
Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.
Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.
Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.
La fin de la vie, le début de la survivance.
Chef Seattle, 1854
La vraie barbarie n'est pas forcément là ou l'on pense ...
j'ai élevé mon fils en lui demandant de se lever dans les transports si une personne agée ou une femme enceinte était debout, en lui apprenant à tenir la porte pour le suivant (ou la).... etc....
quelle différence entre le savoir-vivre et la galanterie?
apprécier ces attentions ne signifie pas se soumettre, il me semble....
Citation de cecil28
De la bienveillance , de la courtoisie pour tous(tes) , ça oui c'est nécessaire , la galanterie totalement inutile , pour moi .
Qui sont les barbares ...
Les amérendiens , étaient considérés comme des sauvages et barbares aussi ..
Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.
Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.
Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l&rsquoeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.
La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.
L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.
J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.
Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.
Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.
Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.
La fin de la vie, le début de la survivance.
Chef Seattle, 1854
La vraie barbarie n'est pas forcément là ou l'on pense ...
C'est un texte comme on en lit rarement .
Barbares , me fait penser aussi
à ceux . celles
les colonisateurs qui prétendent
éduquer les" sauvages ".
Mais qui ne font que profiter des richesses
et des populations ,
d'un pays comme l'Afrique
ainsi que de vouloir anéantir toute une culture et traditions
au nom de la civilisation moderne.
J'ai vu un reportage édifiant sur ARTE
que je ne retrouve pas dans mes recherches , dommage .
Vous qui parler de lavage de cerveaux et de comprendre son education je trouve que vous feriez mieux de vous arreter quelque seconde et de faire le point sur ce qu'on viens de lire
Transformer la galanterie en une forme de seduction quelqueconque est vraiment et totalement devoyer son terme. Malheureusement vous êtes en pleine féerie comme j'aime a dire, c'est la litterature qui a transposer la galanterie a une forme de seduction dans l'imaginaire des dames. Les don Juan et autres princes charmants de disney/hollywood ont fait penser que les bonnes manieres etait une forme de seduction tantot a fuir tantot a suivre
Il en est rien la galanterie est une marque de respect envers la femme point barre . Elle ne veut rien dire d'autre. C'est comme dire bonjour quand on arrive le matin. Moi qui travaille avec beaucoup de femme je vois combien c'est differents d'une femme a une autre, certaine me serre la main, d'autre me font la bise et enfin certaine se contente de la parole. Certaine apprecie que je m'arrete quelque minutes prendre des nouvelles du ptit dernier d'autre le verrais comme une violation de leur vie privée
M'enfin pour en revenir a vos remarques catpurple oui les choses on changer et tant mieux pour certaine et j'ai envie de vous dire tant pis pour vous pour d'autre. Cependant on a entendu des choses pendant cette période totalement fausse et scandaleuse, on a entendu que Toute les femmes avait un harceleur dans leur entourage et qu'un homme sur deux etait un harceleur
Voila la realité du discours qui a était porter pendant cette periode et c'est pas les frotteurs et autre harceleurs qui ont été denoncer. Non c'est bien toute les femmes sont des victimes et un homme sur deux est coupable
Citation de loreen78
j'ai élevé mon fils en lui demandant de se lever dans les transports si une personne agée ou une femme enceinte était debout, en lui apprenant à tenir la porte pour le suivant (ou la).... etc....
quelle différence entre le savoir-vivre et la galanterie?
apprécier ces attentions ne signifie pas se soumettre, il me semble....
Relie mes réponses au sujet depuis le début loreen si réellement tu veux savoir ce j'en pense ...après tu as le droit de penser ce que tu veux , comme tout le monde , je ne cherche pas à convaincre ! pour moi j'ai donné mon avis sur un sujet , ça s'arrête là .
Citation de catpurple
Hummm !! Reprendre , renvoyer ce que l'autre a dit
c'est un procédé vieux comme le monde . ;)
Si tu n'as rien d'autre à dire
je vais conclure
puisque si ,
je me suis exprimée en long en large et en travers .
On parlait récemment
que l'on avait rien à s'envier ,
je dirai plutôt que je n'envie pas ta place . ;)
Ce sont des codes établis
par des hommes et uniquement par eux ,
qui remontent (presque) aussi loin
qu'Adam et Eve .
Rien d'exceptionnel , tu penses comme des millions de femmes
conditionnées et arrangeantes .....
Pour le bonheur de .......millions d'hommes . ;)
Je n'ai rien repris ni t'ai rien renvoyé !
En effet, j'ai dit tout ce que j'avais à dire sur le sujet et, désolée si cela ne va pas dans ton sens et ne te convient pas !
Ah bon ? Le savoir-vivre est un code établi par des hommes et uniquement par eux ?
Mais, s'il n'y en avait pas du tout, ce serait l'anarchie complète, on le constate déjà ici !
Je précise que le savoir-vivre n'est pas l'apanage des hommes , je ne vois donc pas en quoi je serais conditionnée et arrangeante mais s'il te plait de le penser et de le dire .......
Citation de iseult
Je n'ai rien repris ni t'ai rien renvoyé !
En effet, j'ai dit tout ce que j'avais à dire sur le sujet et, désolée si cela ne va pas dans ton sens et ne te convient pas !
Ah bon ? Le savoir-vivre est un code établi par des hommes et uniquement par eux ?
Mais, s'il n'y en avait pas du tout, ce serait l'anarchie complète, on le constate déjà ici !
Je précise que le savoir-vivre n'est pas l'apanage des hommes , je ne vois donc pas en quoi je serais conditionnée et arrangeante mais s'il te plait de le penser et de le dire .......
ses discours, on dirait un mélange de la potiche et du moralisateur.... z'ont fait des p'tits?? o_O
mdr...
Modifié il y a 6 ans, le lundi 20 août 2018 à 13:02
Citation de ephyael
Vous qui parler de lavage de cerveaux et de comprendre son education je trouve que vous feriez mieux de vous arreter quelque seconde et de faire le point sur ce qu'on viens de lire
Transformer la galanterie en une forme de seduction quelqueconque est vraiment et totalement devoyer son terme. Malheureusement vous êtes en pleine féerie comme j'aime a dire, c'est la litterature qui a transposer la galanterie a une forme de seduction dans l'imaginaire des dames. Les don Juan et autres princes charmants de disney/hollywood ont fait penser que les bonnes manieres etait une forme de seduction tantot a fuir tantot a suivre
Il en est rien la galanterie est une marque de respect envers la femme point barre . Elle ne veut rien dire d'autre. C'est comme dire bonjour quand on arrive le matin. Moi qui travaille avec beaucoup de femme je vois combien c'est differents d'une femme a une autre, certaine me serre la main, d'autre me font la bise et enfin certaine se contente de la parole. Certaine apprecie que je m'arrete quelque minutes prendre des nouvelles du ptit dernier d'autre le verrais comme une violation de leur vie privée
M'enfin pour en revenir a vos remarques catpurple oui les choses on changer et tant mieux pour certaine et j'ai envie de vous dire tant pis pour vous pour d'autre. Cependant on a entendu des choses pendant cette période totalement fausse et scandaleuse, on a entendu que Toute les femmes avait un harceleur dans leur entourage et qu'un homme sur deux etait un harceleur
Voila la realité du discours qui a était porter pendant cette periode et c'est pas les frotteurs et autre harceleurs qui ont été denoncer. Non c'est bien toute les femmes sont des victimes et un homme sur deux est coupable
te soucie pas des insatisfaites.... continue comme ça!
la politesse et la bienséance sont loin d'être des tares....
Citation de catpurple
Ca dépend si on mélange galanterie et courtoisie .
J'y apporte une nuance
entre un terme devenu obsolète
et un autre qui me semble
plus généraliste
et assimilé à une éducation , politesse .
Mais pourquoi
vouloir l'associer en genre ?
Simone de Beauvoir disait déjà :
"La galanterie est une contrepartie héritée des sociétés patriarcales visant à maintenir la femme dans son état d'asservissement."
Comme déjà dit galanterie, courtoisie, savoir-vivre, politesse, etc ... sont du pareil au même et ne sont associés à aucun genre !
Pourquoi se focaliser négativement sur le terme "galanterie" ?
Citation de ephyael
Vous qui parler de lavage de cerveaux et de comprendre son education je trouve que vous feriez mieux de vous arreter quelque seconde et de faire le point sur ce qu'on viens de lire
Transformer la galanterie en une forme de seduction quelqueconque est vraiment et totalement devoyer son terme. Malheureusement vous êtes en pleine féerie comme j'aime a dire, c'est la litterature qui a transposer la galanterie a une forme de seduction dans l'imaginaire des dames. Les don Juan et autres princes charmants de disney/hollywood ont fait penser que les bonnes manieres etait une forme de seduction tantot a fuir tantot a suivre
Il en est rien la galanterie est une marque de respect envers la femme point barre . Elle ne veut rien dire d'autre. C'est comme dire bonjour quand on arrive le matin. Moi qui travaille avec beaucoup de femme je vois combien c'est differents d'une femme a une autre, certaine me serre la main, d'autre me font la bise et enfin certaine se contente de la parole. Certaine apprecie que je m'arrete quelque minutes prendre des nouvelles du ptit dernier d'autre le verrais comme une violation de leur vie privée
M'enfin pour en revenir a vos remarques catpurple oui les choses on changer et tant mieux pour certaine et j'ai envie de vous dire tant pis pour vous pour d'autre. Cependant on a entendu des choses pendant cette période totalement fausse et scandaleuse, on a entendu que Toute les femmes avait un harceleur dans leur entourage et qu'un homme sur deux etait un harceleur
Voila la realité du discours qui a était porter pendant cette periode et c'est pas les frotteurs et autre harceleurs qui ont été denoncer. Non c'est bien toute les femmes sont des victimes et un homme sur deux est coupable
C'est adorable
vous vous faites
des statistiques
et vous vous faites juge et partie tout seul .
Les méchantes femmes , coupables ? ;)
Je vous en prie , ne prenez pas la peine de répondre c'est inutile . :)
La politesse ,l'éducation n'a rien à voir avec la galanterie .
je ne vais pas plus y revenir
je l'ai déjà expliqué .
Vous n'écoutez pas ,
ancré dans vos certitudes .
Il ya peu de chose que vous sortiez de vos généralités .