Chaque jour, sur YouTube, la chaîne "Le Monde Moderne" revient sur l'actualité. Une revue de presse décrypte les informations, les manipulations et les orientations.
Modifié il y a 9 mois, le lundi 5 février 2024 à 12:03
" Normes délirantes : 3 jours de formation pour changer une ampoule pour les agents municipaux ! "
" Non. Ce n’est pas une blague, c’est un vrai reportage de TF1 sur les normes totalement délirantes qui étouffent notre pays, la croissance et expliquent bien évidemment que la productivité ne progresse plus en France, mais pas que…
Tous les pays du monde occidental sont concernés par cette inflation normative qui date du 11 septembre 2001 et trouve son origine dans la lutte contre le terrorisme. Après les technocrates se sont retrouvés en roue libre avec le résultat que l’on voit maintenant.
Normes absurdes : pour changer une ampoule dans une mairie, il faut… trois jours de formation
« C’est sans doute le geste le plus facile du bricolage : changer une ampoule. Pourtant, dans une mairie, il est impossible de le faire à moins d’avoir passé une formation. Et son contenu est sans grande surprise : « C’est une formation électrique sur trois jours. Ils nous apprennent comment changer une ampoule », nous explique un employé de la mairie de Livréur-Changeon, en Ille-et-Vilaine, visiblement pas franchement convaincu par l’intérêt de cet apprentissage. "
" « Tout va mal pour l’État profond » – Martin Armstrong prévient que c’est ce qui « les rend si dangereux » aujourd’hui "
Publié 20 février 2024
" Via le site USAWatchdog.com de Greg Hunter,
Le légendaire analyste des cycles financiers et géolitiques Martin Armstrong prédit des troubles politiques, des agitations civiles, des guerres et une forte récession économique en 2024 dans un nouveau rapport intitulé « The Year from Political Hell » (L’année du chaos politique).
Il ne s’agit pas seulement d’une année d’élections aux États-Unis, mais d’une année d’élections pour plus de la moitié du monde. Il s’agit d’un phénomène mondial dont personne ne peut être sûr de l’issue.
Armstrong explique : « Il ne s’agit pas seulement des élections américaines. C’est ce que vous entendez aux informations locales… »
» Mais si vous sortez de ce pays, vous verrez que l’Indonésie, par exemple, vient d’élire un gouvernement de gauche. L’Union européenne va connaître des élections. Le 2 mai, il y aura toutes les élections locales en Grande-Bretagne. Les élections russes auront lieu le 7 mai. 60 % de la population mondiale se rendra aux urnes en 2024 pour élire un nouveau gouvernement. Autant les mettre dans un gobelet, les secouer et voir ce qui en sortira. Je veux dire que ça part dans tous les sens ».
Sur le front de la guerre, préparez-vous à de nouvelles tueries, et ne soyez pas surpris si elles deviennent nucléaires. Armstrong prédit,
« Il y aura des armes nucléaires. Les néonservateurs continuent de dire aux gens du Capitole que la Russie n’utiliserait jamais d’armes nucléaires parce qu’ils savent que nous les utiliserions en retour. C’est absurde ! Si vous êtes sur le point de conquérir quelqu’un et que c’est tout ce qu’il leur reste, ils appuient sur le bouton…
Ces gens-là, tout ce qu’ils veulent, c’est la guerre. Ils s’en fichent. Ils s’en fichent vraiment. Ils se fichent de l’économie. Ils se fichent de tout. » "
" Projet de loi français : les citoyens qui s’expriment contre le vaccin contre le Covid-19. « 3 ans de prison et 45 000 € d’amende » "
21 février 2024
" Oups : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin anti-Covid dit la vérité
Par le professeur Michel Chossudovsky
Introduction
Le 14 février 2024, française l’Assemblée nationale a adopté un projet de loi controversé « visant à renforcer la lutte contre la « sectaire dérive » .
Cliquez ici pour voir la vidéo de l’Assemblée nationale, le 14 février 2024 "
Quand le dernier vrai journaliste Serge de Beketch recevait le colonel Moinet ce n'était pas pour faire dans le politiquement correct Exemple :
"JEAN-MOULIN OFFICIELEMENT CHEF DE LA RÉSISTANCE FRANCAISE DURANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE ETAIT UN AGENT DU KGB"
" Les mensonges de la classe politique pour entuber les agriculteurs
Trouble Fait retrace les propos et évènements qui se sont déroulés depuis le début de la révolte des agriculteurs. Sa vidéo constitue un résumé des mensonges, impasses et autres manipulations de la classe politique, pour entuber les agriculteurs et maintenir en place le système qui les asservis. "
" Salon Agriculture: le fiasco Macron? vulgarité, mensonges, mascarade, chaos et violence étatique ? "
39157 vues 24 févr 2024
1020 commentaires
" Salon Agriculture: le fiasco Macron? vulgarité, mensonges, mascarade, chaos et violence étatique ?
Sommaire :
Le grand débat annulé, les mensonges sur les soulèvements de la terre !
Vulgarité présidentielle.
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Macron a-t-il accusé les smicards d'être les responsables de la crise agricole ? Encore un mensonge ?
Macron et l'Europe, vantardise, inversion accusatoire et propagande !
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Macron propage-t-il des théories du complot ?
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Salon de l'agriculture, un village potemkine !
Chaos, affrontements; huées et cris, les images à retenir !
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Pila, le journaliste qui ne voir rien !
US: Trump remporte la primaire de Caroline du Sud .
Dédicace à Gluglu !
Tristesse. "
" Connaissance scientifique et savoirs d’action (partie 2) "
28 février 2024
" La notion de “savoir d’action” mérite qu’on s’y arrête. Dans la première partie de cette tribune, nous avons vu qu'elle avait été éveloppée et déployée en France par Michel Berry à l’Ecole de Paris du management, et reprise également au CNAM par Jean-Marie Barbier. Elle donne un élan renouvelé à l’expérience pratique comme productrice de savoirs et de modes de transmission...
Et la science ? Conjuguer science et expérience à bon escient est aujourd'hui nécessaire dans le débat public
Cependant, la démarche scientifique est devenue de plus en plus cloisonnée par des découpages disciplinaires structurels qui entravent sa transversalité et brident l’universalité systémique à laquelle elle aspire.
Elle souscrit à des exigences de compréhension, d’épreuves expérimentales reproductibles, de preuves formelles à caractère générique. Comme l’a souligné Gaston Bachelard dans La formation de l’esprit scientifique, la science est réservée vis-à-vis du bon sens, du jugement a priori et des valeurs. En revanche, l’expérience terrain de bon sens est transverse, sinon systémique.
Souvent à contre-courant de l’observation courante, la science est légitime lorsqu’elle s’appuie sur un débat sérieux au sein de la discipline et sur des effets constatés conformes à ses prévisions théoriques, en conditions expérimentales et dans la complexité du monde et des choses.
Sa légitimité est conditionnée par l’exigence d’honnêteté intellectuelle, valeur qu’entraîne précisément toute démarche scientifique digne de ce nom. Il va de soi, pour beaucoup, que ses avancées se conjuguent à celles du technique.
Expérience et science : la conjugaison des registres ne va pas de soi
L’expérience terrain, la science, leurs productions de savoirs respectives ne sont pas exclusives comme l’ont montré l’expérience des fontainiers de la renaissance ou la mise en œuvre de matériaux composites dans la fabrication des grands voiliers de course des dernières décennies. Pour autant, leur conjugaison ne va pas de soi, car elles s’inscrivent dans des temporalités et sur des registres différenciés : "
" Le COVID nous a montré qui dirige vraiment l’Amérique "
10 mars 2024
" Ce mois-ci marque le quatrième anniversaire de l’un des assauts les plus désastreux contre les droits de l’homme dans l’histoire américaine. C’est le 16 mars 2020 que le président Trump a publié des « lignes directrices » pour « 15 jours afin de ralentir la propagation » qui stipulaient que « les gouverneurs des États ayant des preuves de transmission communautaire devraient fermer les écoles dans les zones touchées et les zones environnantes. »
L’administration a demandé à tous les membres du public d' »écouter et de suivre les directives de votre État et des autorités locales. »
C’est à cette époque qu’un président américain, pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, a introduit l’idée qu’il était possible – et parfaitement légal – pour les institutions gouvernementales de « fermer » l’économie en fermant de force, en masse, un nombre incalculable d’entreprises, d’écoles et d’églises. Trump a déclaré à plusieurs reprises lors de conférences de presse qu’il appartenait aux responsables gouvernementaux de décider « si nous ouvrons ». Les bureaucrates de la santé, les gouverneurs et les personnalités des médias ont rapidement pris l’habitude de parler de « fermeture de l’économie » ou d' »ouverture » comme s’il s’agissait d’un café qui décidait de l’heure de fermeture.
Pendant ce temps, dans tout le pays, les forces de l’ordre locales s’employaient volontiers à arrêter ou à harceler les chefs d’entreprise, les fidèles à l’église, les mères de famille au parc et tous ceux qui avaient la témérité de s’aventurer à l’extérieur pour pratiquer des activités non approuvées par la classe dirigeante.
La petite minorité d’Américains restée attachée aux droits de l’homme et à la propriété privée a rapidement découvert à quel point elle était impuissante. De nombreux dissidents ont été consternés par l’inaction des tribunaux et par le fait que les élus n’avaient apparemment pas la volonté ou la capacité de limiter les nouveaux pouvoirs des responsables de la « santé ». Rien ne pouvait-il limiter le pouvoir de l’État ? Cette question en a déconcerté plus d’un, car nombreux sont ceux qui ont été (et restent) attachés à l’idée que les constitutions écrites limitent le pouvoir de l’État lorsque c’est le plus important.
De nombreux dissidents ont toutefois tiré une leçon précieuse de cette expérience : lors de la panique de 2020 et 2021, il est apparu très clairement que le gouvernement constitutionnel et le soi-disant « État de droit » ne limitent pas vraiment le pouvoir d’un régime en cas de situation d’urgence perçue. En fait, c’est dans les situations d’urgence que nous apprenons qui détient réellement le pouvoir politique et à quel point les mesures constitutionnelles destinées à le limiter sont inefficaces.
Les situations d’urgence révèlent le véritable pouvoir "
Au contraire. Elle en profite de "la crise." Et pour cause !
Vu sur les réseaux sociaux : "Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise, ils créeront des crises pour violer vos droits".
Ce que politiciens et médias nous vendent comme étant "la crise", est en fait le leurre économique utilisé par ceux qui nous dirigent, pour mener à bien le "Parce que c'est notre projet" qu'ils ont pour la population. Après une étatisation des droits entraînant le contrôle des droits, l’exploitation des ressources humaines menant à une servitude volontaire, le projet exterminateur de nos libertés, que j'ai dénommé en titre "leur entreprise", pour coller à la chanson éponyme d'Alain Bashung : « Ma petite entreprise » (ne connaît pas la crise). Et peut-être pire encore, car le président Macron nous amène à la guerre en oubliant que son rôle de président d’un pays signataire de la charte des droits de l’homme de l’ONU est justement de ne pas faire la propagande de la guerre, qui est interdite par la loi. En sus, il balaye d’un revers de la main une de nos principales forces : la diplomatie et l’Art du compromis.
Démonstration.
Cela fait 51 ans non-stop (depuis 1973, l'augmentation du prix du pétrole) que soi-disant "la crise" est la cause de tous les problèmes de la France et des Français, et ceci quels que soient les politiciens au pouvoir, et quels que soient les paramètres avancés fallacieusement par la propagande étatique, comme étant les raisons qui font que "C'est la crise !"
Et à chacune de ces soi-disant "crises", les politiciens rognent les libertés publiques et les libertés privées, augmentent les impôts, et en créent de nouveaux. De quoi asphyxier tous nos degrés de liberté.
C'est parce que « la crise » n'est pas une conséquence du système. Non ! « La crise » est le système. Le système qui a été mis en place, en 1973, par les tenanciers véritables du pouvoir en France que sont les banques et les patrons du CAC40, pour pouvoir, à terme, enfermer le peuple dans une dépendance sociale et économique, qui en d’autres temps se serait appelée "esclavage" afin d’exercer sur lui un contrôle quasi-total sous forme "d’une apparente liberté", et lui voler tout ce qu'il a. (1) Ils s'y livrent petit à petit, lentement mais sûrement, car en faisant plus rapidement, le peuple se révolterait. Une version proche, de la fable de la grenouille plongée dans l’eau tiède, qui ne se rend pas compte que l’eau monte en température et finit ébouillantée.
51 ans plus tard, ce sont toujours les mêmes familles qui tirent les ficelles en coulisses.
Afin que le peuple ne voie pas ce qui se passe, et pense (à tort) toujours être « en démocratie ». Les parrains de cette organisation criminelle, que certains appellent le Cartel Covid, changent régulièrement leurs marionnettes, ces politiciens placés aux postes stratégiques du pouvoir officiel, et à la tête d’une prétendue opposition. "