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- LES AVENTURES DU GISELE FRONCHIAR -
Pour des raisons professionnelles, Gisèle Fronchiar se rend quelquefois loin de la capitale.
Gisèle doit alors affronter les indigènes qui habitent en province, si loin de la civilisation.
Dès qu'elle quitte Paris pour se rendre dans quelques exotiques provinces, elle panique...
Il y a d'abord ces rues désertes, un peu comme abandonnées, qui étonnent beaucoup Gisèle.
Il y a tous ces volets fermés. Il y a cet étrange et angoissant silence. Pas un chat. Pas un chien.
Les rares individus que croise Gisèle, semblent pressés, le regard baissé, comme craintifs...
De quoi ont peur tous ces provinciaux qui ne connaissent du monde que les images de la télévision ?
Quelles sont les craintes, les peurs et les angoisses qui peuvent habiter ces gens pourtant à l'abri.
Que pourrait-il bien leur arriver au fond de leur trou ? Gisèle est interrogative. Peut-être consternée.
Gisèle Fronchiar prend soudain conscience des conséquences de toutes ces peurs créées par les médias.
Elle prend toute la mesure de la paranoïa induite dans l'esprit de tous ces braves provinciaux simplets.
Ils ont peur. Peur de perdre leur emploi. Peur de perdre leur prestations sociales. Peur de perdre la vie.
Peur de perdre leur maison. Peur de perdre leur appartement. Peur de perdre leur conjoint. Peur de tout.
Et lorsque les gens ont peur, ils commencent pas se détester. Ils ont alors même peur de leurs voisins. Si !
Gisèle est étonnée par ce comportement de moutons dans un troupeau de veaux qui vont à l'abattoir.
Et c'est là, dans ces petites villes de provinces, chez ces petites gens aux esprits simples que cela se passe.
C'est dans ces contrées éloignées, et souvent perdues, que ce profile ce curieux phénomène de société.
Les indigènes, vivant en province, ne vivent plus leur existence que par la télévision ou par l'ordinateur.
Gisèle, une fois son voyage terminé, se dépêche de rentrer à Paris, dans la civilisation. Enfin rassurée.
Qu'il est bon de se promener sur les boulevards animés jusqu'à pas d'heure. De croiser des gens riant.
Qu'il est bon d'aller écouter du jazz jusqu'à tôt le matin. De trouver des restaus ouverts à 23 h30...
<< La France est vraiment très mal barrée ! >> se dit Gisèle en levant son verre à la santé des péquenots...
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Citation de mr.robert
- LES AVENTURES DU GISELE FRONCHIAR -
Pour des raisons professionnelles, Gisèle Fronchiar se rend quelquefois loin de la capitale.
Gisèle doit alors affronter les indigènes qui habitent en province, si loin de la civilisation.
Dès qu'elle quitte Paris pour se rendre dans quelques exotiques provinces, elle panique...
Il y a d'abord ces rues désertes, un peu comme abandonnées, qui étonnent beaucoup Gisèle.
Il y a tous ces volets fermés. Il y a cet étrange et angoissant silence. Pas un chat. Pas un chien.
Les rares individus que croise Gisèle, semblent pressés, le regard baissé, comme craintifs...
De quoi ont peur tous ces provinciaux qui ne connaissent du monde que les images de la télévision ?
Quelles sont les craintes, les peurs et les angoisses qui peuvent habiter ces gens pourtant à l'abri.
Que pourrait-il bien leur arriver au fond de leur trou ? Gisèle est interrogative. Peut-être consternée.
Gisèle Fronchiar prend soudain conscience des conséquences de toutes ces peurs créées par les médias.
Elle prend toute la mesure de la paranoïa induite dans l'esprit de tous ces braves provinciaux simplets.
Ils ont peur. Peur de perdre leur emploi. Peur de perdre leur prestations sociales. Peur de perdre la vie.
Peur de perdre leur maison. Peur de perdre leur appartement. Peur de perdre leur conjoint. Peur de tout.
Et lorsque les gens ont peur, ils commencent pas se détester. Ils ont alors même peur de leurs voisins. Si !
Gisèle est étonnée par ce comportement de moutons dans un troupeau de veaux qui vont à l'abattoir.
Et c'est là, dans ces petites villes de provinces, chez ces petites gens aux esprits simples que cela se passe.
C'est dans ces contrées éloignées, et souvent perdues, que ce profile ce curieux phénomène de société.
Les indigènes, vivant en province, ne vivent plus leur existence que par la télévision ou par l'ordinateur.
Gisèle, une fois son voyage terminé, se dépêche de rentrer à Paris, dans la civilisation. Enfin rassurée.
Qu'il est bon de se promener sur les boulevards animés jusqu'à pas d'heure. De croiser des gens riant.
Qu'il est bon d'aller écouter du jazz jusqu'à tôt le matin. De trouver des restaus ouverts à 23 h30...
<< La France est vraiment très mal barrée ! >> se dit Gisèle en levant son verre à la santé des péquenots...
je me demande si un auteur se laisse habiter ..
par ses personnages...?
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C'est un silence assourdissant...
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Citation de corinale
C'est un silence assourdissant...
lol..
tu l'as dit bouffi...
Mais tu ne réponds pas..
à ma question....
Modifié il y a 7 ans, le mardi 31 octobre 2017 à 00:26
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redbutterfly (clôturé)
il y a 7 ans
Paris une ville où les gens sont civilisés mdrrrr
Franchement du n'importe quoi.
Il a toujours de ses histoires à la con.
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Citation de redbutterfly
Paris une ville où les gens sont civilisés mdrrrr
Franchement du n'importe quoi.
Il a toujours de ses histoires à la con.
Une belle photo pour Red?????????
?
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redbutterfly (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de schal123
Une belle photo pour Red?????????
?
de pire en pire toi !!!! faut vraiment tu consultes ... cela devient urgent....
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Citation de redbutterfly
de pire en pire toi !!!! faut vraiment tu consultes ... cela devient urgent....
Kikou red...
Il est au top de sa connerie...
Il a essayé de faire illusion avec ses"citations..."
Lagarde et Michard...
Mais sa nature l'a rattrapé....
à travers ses manques...
Modifié il y a 7 ans, le mardi 31 octobre 2017 à 22:11
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Citation de mr.robert
- LES AVENTURES DU GISELE FRONCHIAR -
Pour des raisons professionnelles, Gisèle Fronchiar se rend quelquefois loin de la capitale.
Gisèle doit alors affronter les indigènes qui habitent en province, si loin de la civilisation.
Dès qu'elle quitte Paris pour se rendre dans quelques exotiques provinces, elle panique...
Il y a d'abord ces rues désertes, un peu comme abandonnées, qui étonnent beaucoup Gisèle.
Il y a tous ces volets fermés. Il y a cet étrange et angoissant silence. Pas un chat. Pas un chien.
Les rares individus que croise Gisèle, semblent pressés, le regard baissé, comme craintifs...
De quoi ont peur tous ces provinciaux qui ne connaissent du monde que les images de la télévision ?
Quelles sont les craintes, les peurs et les angoisses qui peuvent habiter ces gens pourtant à l'abri.
Que pourrait-il bien leur arriver au fond de leur trou ? Gisèle est interrogative. Peut-être consternée.
Gisèle Fronchiar prend soudain conscience des conséquences de toutes ces peurs créées par les médias.
Elle prend toute la mesure de la paranoïa induite dans l'esprit de tous ces braves provinciaux simplets.
Ils ont peur. Peur de perdre leur emploi. Peur de perdre leur prestations sociales. Peur de perdre la vie.
Peur de perdre leur maison. Peur de perdre leur appartement. Peur de perdre leur conjoint. Peur de tout.
Et lorsque les gens ont peur, ils commencent pas se détester. Ils ont alors même peur de leurs voisins. Si !
Gisèle est étonnée par ce comportement de moutons dans un troupeau de veaux qui vont à l'abattoir.
Et c'est là, dans ces petites villes de provinces, chez ces petites gens aux esprits simples que cela se passe.
C'est dans ces contrées éloignées, et souvent perdues, que ce profile ce curieux phénomène de société.
Les indigènes, vivant en province, ne vivent plus leur existence que par la télévision ou par l'ordinateur.
Gisèle, une fois son voyage terminé, se dépêche de rentrer à Paris, dans la civilisation. Enfin rassurée.
Qu'il est bon de se promener sur les boulevards animés jusqu'à pas d'heure. De croiser des gens riant.
Qu'il est bon d'aller écouter du jazz jusqu'à tôt le matin. De trouver des restaus ouverts à 23 h30...
<< La France est vraiment très mal barrée ! >> se dit Gisèle en levant son verre à la santé des péquenots...
coupons leurs donc les vivres ! a cette arrogance parisienne!
nous les paysans ont pourraient se payer des parisiennes et pas les plus moches pour un kilo de patates
et une tranche de lard bien gras!
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Citation de leterrien69
coupons leurs donc les vivres ! a cette arrogance parisienne!
nous les paysans ont pourraient se payer des parisiennes et pas les plus moches pour un kilo de patates
et une tranche de lard bien gras!
collabos de pères en fils..?
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loreen78 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de leterrien69
coupons leurs donc les vivres ! a cette arrogance parisienne!
nous les paysans ont pourraient se payer des parisiennes et pas les plus moches pour un kilo de patates
et une tranche de lard bien gras!
"... ont pourraient se payer des parisiennes ..."
t'es sur de toi là?
on pourrait te payer un bescherelle pour noël aussi!
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Citation de loreen78
"... ont pourraient se payer des parisiennes ..."
t'es sur de toi là?
on pourrait te payer un bescherelle pour noël aussi!
toi c'est plutot une motte de beurre qui te serait utile!
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Citation de arthur_rambo
collabos de pères en fils..?
malheureusement on t'a loupé au bon moment!
si tu recherche un abri pour l'hiver bien au chaud a coté d'un bon feu!
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Citation de leterrien69
toi c'est plutot une motte de beurre qui te serait utile!
tu peux t'assoir dessus....
elle cuisine qu' à l huile d'olives...
les miennes..
Modifié il y a 7 ans, le mercredi 1 novembre 2017 à 23:11
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Citation de leterrien69
malheureusement on t'a loupé au bon moment!
si tu recherche un abri pour l'hiver bien au chaud a coté d'un bon feu!
"le t'es rien"...
m'a loupé..
lol..
en plus d'un Bescherelle..
achète toi des lunettes...
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