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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Pourtant, hier, ils me semblaient morts. À mon avis, ils ont dû fuir, car ce matin il n'y a nulle trace d'eux… Ça devait être des steaks-zombis.
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compote.depomme2 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "piquenique" Pourtant, hier, ils me semblaient morts. À mon avis, ils ont dû fuir, car ce matin il n'y a nulle trace d'eux… Ça devait être des steaks-zombis. le chat à Sibelius est passé...
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Citation de "piquenique" Pourtant, hier, ils me semblaient morts. À mon avis, ils ont dû fuir, car ce matin il n'y a nulle trace d'eux… Ça devait être des steaks-zombis. Le steak saignant est pourtant meilleur
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Pensez à ranger votre réfrigérateur, vous devriez.
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
C'est le moment de batifoler à travers champ, avec un sac bien garni de provisions : saucissons, vin frais, bière glacée, poissons en papillote, steaks et saucisses que l’on cuit sur la braise d’un feu de joie.
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compote.depomme2 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "piquenique"C'est le moment de batifoler à travers champ, avec un sac bien garni de provisions : saucissons, vin frais, bière glacée, poissons en papillote, steaks et saucisses que l’on cuit sur la braise d’un feu de joie. Attention aux ours !
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Citation de "compote.depomme2"Citation de "piquenique"C'est le moment de batifoler à travers champ, avec un sac bien garni de provisions : saucissons, vin frais, bière glacée, poissons en papillote, steaks et saucisses que l’on cuit sur la braise d’un feu de joie.
Attention aux ours !
et au loup!!ouh ouh
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compote.depomme2 (clôturé)
il y a 9 ans
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Synopsis Une femme a allaité à plusieurs reprises une jeune parente qui venait de fêter ses 18 ans afin d'«effacer ses mauvais souvenirs d'enfance et [de] la guérir de ses vieilles blessures». Les séances «ont toujours présenté un caractère chaste», et cet allaitement ne constitue pas un toucher de nature sexuelle. Donner le sein à une adolescente à peine majeure en guise de thérapie ne constitue pas en soi une agression sexuelle. Cette jeune parente était sur le point d'atteindre la majorité et devait se trouver un toit avant d'être poussée hors du centre d'accueil où elle habitait. Elle était dans un «état lamentable», était «angoissée, anorexique et suicidaire» après «avoir vécu dans la rue ». Or, la nourrisse traversait «elle aussi une période de désorganisation personnelle la poussant à franchir certaines limites au niveau de la sexualité». Elle a notamment montré des sites pornographiques à sa jeune parente. Après des montées de lait, la nourrisse «a [eu] le réflexe d'offrir à la jeune fille de l'allaiter», un symbole représentant le «réconfort et la nouvelle vie qu'elle voulait offrir à sa jeune protégée». «La pensée de la nourrisse à ce sujet est ésotérique.» L’allaitement cesse toutefois après un «possible» contact suspect de la nourrisse à la poitrine de la jeune femme. Des années plus tard, l'adolescente devenue infirmière, a porté plainte contre la nourrisse, se sentant «flouée, trahie, voire même salie par ce souvenir». La nourrisse qualifie elle-même ses gestes de «pervers», «malsains», «vilains» et «épouvantables». «Elle en éprouve de la honte». «Elle reconnaît ses fautes.» Toutefois, il ne peut s'agir d'une agression sexuelle puisque la femme n'avait aucune intention de faire du mal à la jeune femme ou de combler un besoin sexuel par ces gestes. Toutes les séances d'allaitement s'étaient produites après le 18e anniversaire de la jeune femme, il n’y a donc pas eu de «contacts sexuels» avec un mineur. «Lorsque la nourrisse allaitait la future infirmière, elle n'accomplissait pas, de façon concomitante, d'autres gestes de nature sexuelle». «La future infirmière se trouvait dans un état de détresse lorsqu'elle a acquiescé à cette forme de thérapie, mais elle a tout de même accepté d’y participé.»
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cath100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "piquenique"Synopsis
Une femme a allaité à plusieurs reprises une jeune parente qui venait de fêter ses 18 ans afin d'«effacer ses mauvais souvenirs d'enfance et [de] la guérir de ses vieilles blessures».
Les séances «ont toujours présenté un caractère chaste», et cet allaitement ne constitue pas un toucher de nature sexuelle.
Donner le sein à une adolescente à peine majeure en guise de thérapie ne constitue pas en soi une agression sexuelle.
Cette jeune parente était sur le point d'atteindre la majorité et devait se trouver un toit avant d'être poussée hors du centre d'accueil où elle habitait.
Elle était dans un «état lamentable», était «angoissée, anorexique et suicidaire» après «avoir vécu dans la rue ».
Or, la nourrisse traversait «elle aussi une période de désorganisation personnelle la poussant à franchir certaines limites au niveau de la sexualité». Elle a notamment montré des sites pornographiques à sa jeune parente.
Après des montées de lait, la nourrisse «a [eu] le réflexe d'offrir à la jeune fille de l'allaiter», un symbole représentant le «réconfort et la nouvelle vie qu'elle voulait offrir à sa jeune protégée». «La pensée de la nourrisse à ce sujet est ésotérique.»
L’allaitement cesse toutefois après un «possible» contact suspect de la nourrisse à la poitrine de la jeune femme.
Des années plus tard, l'adolescente devenue infirmière, a porté plainte contre la nourrisse, se sentant «flouée, trahie, voire même salie par ce souvenir».
La nourrisse qualifie elle-même ses gestes de «pervers», «malsains», «vilains» et «épouvantables». «Elle en éprouve de la honte». «Elle reconnaît ses fautes.»
Toutefois, il ne peut s'agir d'une agression sexuelle puisque la femme n'avait aucune intention de faire du mal à la jeune femme ou de combler un besoin sexuel par ces gestes.
Toutes les séances d'allaitement s'étaient produites après le 18e anniversaire de la jeune femme, il n’y a donc pas eu de «contacts sexuels» avec un mineur.
«Lorsque la nourrisse allaitait la future infirmière, elle n'accomplissait pas, de façon concomitante, d'autres gestes de nature sexuelle».
«La future infirmière se trouvait dans un état de détresse lorsqu'elle a acquiescé à cette forme de thérapie, mais elle a tout de même accepté d’y participé.»
faut de faire soigner pauvre mec!
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cath100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "cath100"Citation de "piquenique"Synopsis Une femme a allaité à plusieurs reprises une jeune parente qui venait de fêter ses 18 ans afin d'«effacer ses mauvais souvenirs d'enfance et [de] la guérir de ses vieilles blessures». Les séances «ont toujours présenté un caractère chaste», et cet allaitement ne constitue pas un toucher de nature sexuelle. Donner le sein à une adolescente à peine majeure en guise de thérapie ne constitue pas en soi une agression sexuelle. Cette jeune parente était sur le point d'atteindre la majorité et devait se trouver un toit avant d'être poussée hors du centre d'accueil où elle habitait. Elle était dans un «état lamentable», était «angoissée, anorexique et suicidaire» après «avoir vécu dans la rue ». Or, la nourrisse traversait «elle aussi une période de désorganisation personnelle la poussant à franchir certaines limites au niveau de la sexualité». Elle a notamment montré des sites pornographiques à sa jeune parente. Après des montées de lait, la nourrisse «a [eu] le réflexe d'offrir à la jeune fille de l'allaiter», un symbole représentant le «réconfort et la nouvelle vie qu'elle voulait offrir à sa jeune protégée». «La pensée de la nourrisse à ce sujet est ésotérique.» L’allaitement cesse toutefois après un «possible» contact suspect de la nourrisse à la poitrine de la jeune femme. Des années plus tard, l'adolescente devenue infirmière, a porté plainte contre la nourrisse, se sentant «flouée, trahie, voire même salie par ce souvenir». La nourrisse qualifie elle-même ses gestes de «pervers», «malsains», «vilains» et «épouvantables». «Elle en éprouve de la honte». «Elle reconnaît ses fautes.» Toutefois, il ne peut s'agir d'une agression sexuelle puisque la femme n'avait aucune intention de faire du mal à la jeune femme ou de combler un besoin sexuel par ces gestes. Toutes les séances d'allaitement s'étaient produites après le 18e anniversaire de la jeune femme, il n’y a donc pas eu de «contacts sexuels» avec un mineur. «Lorsque la nourrisse allaitait la future infirmière, elle n'accomplissait pas, de façon concomitante, d'autres gestes de nature sexuelle». «La future infirmière se trouvait dans un état de détresse lorsqu'elle a acquiescé à cette forme de thérapie, mais elle a tout de même accepté d’y participé.» faut de faire soigner pauvre mec! "te"
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Ah...une déclaration d'amour de bon matin, mais quel succès ! *sourire*
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