De quelles incompréhensions n'ont-ils pas fait l'objet quand à l'existence de leur différence.
Les plus seuls étant ceux qui pourtant merveilleux auditeurs du toujours exponentiel du monde, n'ont d'indice de leur existence que le silence de leur écoute pourtant si grande à ce qui peut toujours se faire entendre autrement.
Entendre même un silence, c'est possiblement la table d'hôte que l'on dresserait à un hôte sonore souhaitant s'y attabler.
Modifié il y a 5 ans, le lundi 17 juin 2019 à 15:27
Citation de rienousipeu
Du (par d'où tu viens)...schnock...du ( vers où tu vas), ne pourrait-on te breveter comme chaise à ressort.
A écouter quelqu’un de plus conscient dans l’observation réaliste de ses espoirs comme de ses souffrances, on pourrait devenir, si on le veut, le capte, plus attentif , non de ce qu’on est, mais de ce qu’il nous aura permit de comprendre dans toutes les questions à encore se poser en regard des plus faciles certitudes sur lesquelles se reposer.
On devrait breveter des chaises à ressort qui dès l’instant où l’on s’y assoit, nous renverrait vers cette station debout qui présente l’avantage de pouvoir choisir entre y rester encore ou s’assoir de nouveau.
Si seulement on pouvait en faire autant de nos cercueils et autres pierres tombales. Ou de ces linceuls vivants que nous sommes !
Morts, les yeux ouverts et les deux mains en avant, aveugle-nés, déambulant dans cette nuit de plein jour qui nous illuminent et où nous nous perdons, nous cherchant comme à tâtons les uns les autres, nous appelant sans nous entendre ni nous écouter, nous parlant sans même nous répondre ni nous parler bien souvent, ne faisant qu'articuler des sons dans le vide, béant sans but, errant sans fin, et nous passant à côté les uns des autres à la recherche de la même sortie, prisonniers d'un même labyrinthe humain, destinés au toujours même Minotaure : nous-mêmes, encore...
Si seulement on pouvait en faire autant de nos cercueils et autres pierres tombales. Ou de ces linceuls vivants que nous sommes !
Morts, les yeux ouverts et les deux mains en avant, aveugle-nés, déambulant dans cette nuit de plein jour qui nous illuminent et où nous nous perdons, nous cherchant comme à tâtons les uns les autres, nous appelant sans nous entendre ni nous écouter, nous parlant sans même nous répondre ni nous parler bien souvent, ne faisant qu'articuler des sons dans le vide, béant sans but, errant sans fin, et nous passant à côté les uns des autres à la recherche de la même sortie, prisonniers d'un même labyrinthe humain, destinés au toujours même Minotaure : nous-mêmes, encore...
Vivre c'est commencer à mourir.
Souvent à petit feu, du feu de ce qu'il en sera lorsque le cuisinier du barbecue que nous sommes de l'existence, la brulant plus que ne la dégustant, ou de ce que nous faisons de l'existence du plat concocté et que l'on voulait offrir, aura été plus ou moins bien digéré par l'y concerné.
Feu, lui aussi et à son tour de ce banquet en forme de labyrinthe n'offrant comme sortie qu'une entrée, encore et encore vers un début qui n'était qu'une fin, quand ce ne l'aura été qu'une faim insatiable de ce qu'elle ne sera jamais satisfaite de la perméabilité du parapluie de tant de nos exigences, souvent déjà mort-nées.
Bon, il faut que j'y aille...rendez-vous avec de la restauration d'objets anciens.
Citation de rienousipeu
Ah ! Les tubes digestifs !
De quelles incompréhensions n'ont-ils pas fait l'objet quand à l'existence de leur différence.
Les plus seuls étant ceux qui pourtant merveilleux auditeurs du toujours exponentiel du monde, n'ont d'indice de leur existence que le silence de leur écoute pourtant si grande à ce qui peut toujours se faire entendre autrement.
Entendre même un silence, c'est possiblement la table d'hôte que l'on dresserait à un hôte sonore souhaitant s'y attabler.
Il me semble plutôt (si j'ai bien ou peut-être mal compris tes propos) que lorsqu'un pet s'invite à table, borborygmes et gargouillis s'en donnent aussitôt à cœur joie et lui font dès lors grand-fête dans un vacarme assourdissant digne d'un concerto de joyeuses pétarades et autres tremblements de terre qui ferait presque vaciller celle-ci sur son fondement, elle aussi.
Je vois que je ne suis pas le seul à délirer et divaguer littérairement.
Ni littéralement.
Citation de rienousipeu
Vivre c'est commencer à mourir.
Souvent à petit feu, du feu de ce qu'il en sera lorsque le cuisinier du barbecue que nous sommes de l'existence, la brulant plus que ne la dégustant, ou de ce que nous faisons de l'existence du plat concocté et que l'on voulait offrir, aura été plus ou moins bien digéré par l'y concerné.
Feu, lui aussi et à son tour de ce banquet en forme de labyrinthe n'offrant comme sortie qu'une entrée, encore et encore vers un début qui n'était qu'une fin, quand ce ne l'aura été qu'une faim insatiable de ce qu'elle ne sera jamais satisfaite de la perméabilité du parapluie de tant de nos exigences, souvent déjà mort-nées.
Bon, il faut que j'y aille...rendez-vous avec de la restauration d'objets anciens.
Partir c'est crever un pneu, comme disait l'autre ou presque.
Edmond Haraucourt.
Un auteur à lire. Notamment son premier Homme "Daâh" (1914).
Citation de schnockdu
Je t’en prie. Appelle-moi du, schnockdu.
Et bravo à toi pour ce morceau de bravoure historique écrit sur le pont d'un transatlantique au beau milieu d'un océan pacifique, j'imagine. Le cul baigné de soleil.
Ici aussi.
Citation On s'interroge sur des questions métaphysiques qui occupent une grande partie de notre cerveau et qui en finalité nous chercherons toujours à comprendre et même à se comprendre
En parlant de se comprendre, vous pouvez répéter la question, svp ?
Bonsoir schnockdu
Oui se comprendre
Parfois j'ai du mal à comprendre ce que tu veux dire ou en venir et d'autres fois, tu as déjà tout dit, que je n'ai plus rien à rajouter.
Étant dyslexique à l'écrit, je n'ai pas sur les forums de discussion, la vitesse d'écriture que tu as ou que les autres ont.
Si s'ajoute dans la lecture globale des échanges de l'éparpillement et de la désorganisation.
Le temps que je fasse une décomposition thématique et que je structure mes phrases pour qu'elles soient comprises, le sujet est déjà bouclé et tout le monde s'est déconnecté "rire "
Parfois j'ai du mal à comprendre ce que tu veux dire ou en venir et d'autres fois, tu as déjà tout dit, que je n'ai plus rien à rajouter.
Étant dyslexique à l'écrit, je n'ai pas sur les forums de discussion, la vitesse d'écriture que tu as ou que les autres ont.
Si s'ajoute dans la lecture globale des échanges de l'éparpillement et de la désorganisation.
Le temps que je fasse une décomposition thématique et que je structure mes phrases pour qu'elles soient comprises, le sujet est déjà bouclé et tout le monde s'est déconnecté "rire "
Citation Le temps que je fasse une décomposition thématique et que je structure mes phrases pour qu'elles soient comprises, le sujet est déjà bouclé et tout le monde s'est déconnecté "rire "
Trad. :
Le temps que je me connecte et que je boucle ma ceinture pour la phase finale d’atterrissage en vue du tarmac de smail-airport, piste 3, check-list complète and C° - Allô Roger ? Roger ! sortie du train + armement des toboggans et compagnie, le sujet est déjà mort et tout le monde s’est décomposé. "peur"
Ah, bon ?
Tu structures tes phrases...
Si ça peut te rassurer, je ne comprend pas toujours moi-même ce que j’écris, et j’en suis même à me demander parfois si c’est vraiment moi ou quelqu’un d’autre, un qui m’aurait piqué mon MDP. Va savoir.
En tout cas, faut pas hésiter à se lâcher selon moi. C’est aussi se faire du bien.
Citation de "na0-le-mécréant" Notre Concours du lundi...
Cette image représente-elle ?
1. le Professeur Fouthese
2. le Professeur Schnockdu
Un séminaire/colloque, sauna, piscine, hébergement en 4 étoiles de charme, massage thaïlandais, animations...
Sur le thème : Dieu est-il un Ange ?
À gagner après tirage au sort.
PS : concours réservé aux hommes célibataires.
:photo :
Le frère schnockdu tient à préciser ici qu’il n’est pas professeur, et que s’il professe et le confesse bien volontiers, ce n’est que pour sa paroisse, en sa paroisse. En aucun cas en aucune chapelle autre que la sienne, et pour la sienne seule.
Réponse à la question : Dieu EST.
Point.
Le reste n’est que blabla na0tique et/ou néantesque.
Soleil radieux, touristes heureux. Merdes de chiens, poubelles et rats. Rues commerçantes emplies à dégueuler, paumé(e)s assis sur le côté tels des tomates écrabouillées devant l’étal d’un magasin de fruits et légumes, pourris ou avariés, jetés aux ordures d’un monde sur lequel ils défèquent eux aussi mais dont ils se nourrissent pour pas crever, au milieu des cagettes et des cageots, des cartons éventrés, des emballages plastiques plein de nouveaux-nés, comme eux, de déjà morts et enterrés, comme avortés à la vie, oubliés dessous le tas de dégueulis du grand marché de l’esclavage moderne et inhumain, droits-de-l’Hommiste et progressiste (hormis pour les laissés-pour-compte), tels des détritus anthropophages et bien forcés de survivre à défaut de vivre en se bouffant eux-mêmes, entre eux. Plutôt que les autres. Nous. Vous. Toi.
Quand je les regarde tous ces clébards et leurs joggeurs qui nous font chier et qui plus est te gueulent dessus, t’aboies pour rien en remuant la queue du bout de leur laisse, putain de cleps qui t’empêchent d’avancer parmi tous ces nibars et ces nichons en liberté, cheveux aux vents et jupes légères, dans un rayon non pas de bicyclette ni de supermarché et encore moins de quelques kilomètres mais là, juste là, à portée d’œil et d’yeux, ô Dieu, au bout des doigts d’une main ou deux, ici, maintenant, aujourd’hui ou demain, privé de bise ou de baiser, il faut bien avouer que leur prison me manque. Je les mâtons !
Et quand je les vois tous ces cons-là, tous ces temps-ci, s’arrêter à des passages cloutés, les yeux rivés sur le feu vert ou rouge, traversant à l’un et se figeant à l’autre comme à l’arrêt d’un bouton-stop, je me dis que finalement mieux vaut ne pas rester dans les clous ni s’accrocher de trop près à tous ces rivets qui t’empêche d’avancer ou d’aller où tu veux, quand tu veux et selon le moyen ou le rythme que tu veux, seul ou non-accompagné peut-être, oui, mais encore libre de pisser contre le réverbère ou le poteau de ton choix sans lui demander auparavant la permission d’uriner contre, ou de lui marcher sur la pelouse, ni de faire attention à quoi que ce soit au prétexte qu’un train peut en casser un autre...
Et après ?
Un trou du fion, c’est aussi et surtout comme un bouchon de champagne qu’on fait péter jusqu’au plafond, en rigolant parce que c’est bon, que ça pétille et qu’on est content. Le reste est à l’avenant, au tout-venant et à l'avant des devantures de chez l'marchand, pour le chaland, le badaud des jours de grand-beau. Depuis que tout se remplace et de nos jours qu’on rie tout aussi bien qu’on se fout d’une valvulve cardiaque en plastoc qu’un anus nombrilic artificiel ou du robinet-bitoniau de la tuyauterie/boyauterie génito-paternelle ou de la matricio-machinerie poulo-pondeuse et maternico-mécanique ou plutôt usine-à-gazogénitrice, voire infanticido-maternelle, du père comme de la mère, du mâle, de la femelle, de l’ordre des choses et des lois naturelles du monde - on est heureux, quoi d’autre. Et surtout pourquoi faire.
Le piège est refermé. PLAF. Une chausse-trappe du fond de laquelle plus personne ne sortira jamais. Sauf à ne pas tomber dedans. Ce qui veut dire alors finir et se terminer tout seul, dehors. Rester sur les dents avec sa bite à la main. Assis sur ta branche évolutive que tu te scies, pour rien. Des chiures. De la sueur et de la sciure.
Modifié il y a 5 ans, le lundi 17 juin 2019 à 22:23
Citation de Eau & Gaz à tous les étages Bonjour ......
Merci de rétablir certaine chose me concernant ...... Méchanceté ... ? non ...conne oui ! mais à mes moments perdus ...!
Je suis plus dans la compassion qu'autre chose ...! plusieurs sont venus me voir en MP suite au propos que Lumière
"cette conne " à tenue sur Dugenoux !
Lumière ne peut rien faire car elle n'est que virtuelle ...donc n'existe pas ...! quand à celle ou celui qui l'anime c'est selon ...
eux n'ont aucune méchanceté ... ou quoique ce soit qui y ressemble ....!
A bon entendeur .... et bonne et belle journée à tous ....!
Compassion ?
Aucune méchanceté ?
En ce qui concerne celui ou celle qui t’anime ce n’est que virtuel, dites-vous, oui peut-être (quoique cela se discute), mais ce n’est pas selon, Oh non, c’est idem et kif-kif :
2 gros enculés en 1 seul !
Signé : dugenoux – qui a bien entendu.
Modifié il y a 5 ans, le mardi 18 juin 2019 à 21:47
La retenue, la politesse... signes de bonne éducation. Voilà, nous sommes, en fait dans le vrai lorsqu’honnêtes , sur le net ou ailleurs... Tout ne pourrait être que question d 'usage.... L' accord majeur est celui que l 'on s’applique dans le respect des interlocuteurs ou interlocutrices, et...
Si seulement c’était aussi simple. Il est bien d’autres formes d’injures que les seuls gros-mots, grossièretés ou vulgarités en tous genres. D’autres formes de mépris que l’affrontement direct, face-à-face et honnête pour le coup, franc. L’indifférence par exemple, surtout sur un forum. Une non-réponse est une façon d’insulter l’autre, indirectement. Et lâchement.
Bien trop facilement.
La bonne éducation est un tout. Mais peut-elle s’accorder toujours avec les autres sans tomber dans une autre forme d’impolitesse et de non respect qui est celle de l’hypocrisie ? du mensonge poli, du faux – semblant ?
Non, merci.
S’il faut choisir entre être un faux – cul ou être accusé de mal-politesse, alors je choisis quant à moi. Et j’assume.
C’est une autre manière de débattre et d’envisager un forum…
La retenue, la politesse... signes de bonne éducation. Voilà, nous sommes, en fait dans le vrai lorsqu’honnêtes , sur le net ou ailleurs... Tout ne pourrait être que question d 'usage.... L' accord majeur est celui que l 'on s’applique dans le respect des interlocuteurs ou interlocutrices, et...
Si seulement c’était aussi simple. Il est bien d’autres formes d’injures que les seuls gros-mots, grossièretés ou vulgarités en tous genres. D’autres formes de mépris que l’affrontement direct, face-à-face et honnête pour le coup, franc. L’indifférence par exemple, surtout sur un forum. Une non-réponse est une façon d’insulter l’autre, indirectement. Et lâchement.
Bien trop facilement.
La bonne éducation est un tout. Mais peut-elle s’accorder toujours avec les autres sans tomber dans une autre forme d’impolitesse et de non respect qui est celle de l’hypocrisie ? du mensonge poli, du faux – semblant ?
Non, merci.
S’il faut choisir entre être un faux – cul ou être accusé de mal-politesse, alors je choisis quant à moi. Et j’assume.
C’est une autre manière de débattre et d’envisager un forum…
Salut le grand parano..
t'es un tendre finalement...
et miséricordieux....
qui pis est...
mdr...
rien que pour toi..!
.
un prix Noël...( )
de littérature....
j’espère que tu comprends ce qu'il chante..
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 19 juin 2019 à 01:55
Citation de schnockduCitation Le temps que je fasse une décomposition thématique et que je structure mes phrases pour qu'elles soient comprises, le sujet est déjà bouclé et tout le monde s'est déconnecté "rire "
Trad. :
Le temps que je me connecte et que je boucle ma ceinture pour la phase finale d’atterrissage en vue du tarmac de smail-airport, piste 3, check-list complète and C° - Allô Roger ? Roger ! sortie du train + armement des toboggans et compagnie, le sujet est déjà mort et tout le monde s’est décomposé. "peur"
Ah, bon ?
Tu structures tes phrases...
Si ça peut te rassurer, je ne comprend pas toujours moi-même ce que j’écris, et j’en suis même à me demander parfois si c’est vraiment moi ou quelqu’un d’autre, un qui m’aurait piqué mon MDP. Va savoir.
En tout cas, faut pas hésiter à se lâcher selon moi. C’est aussi se faire du bien.
bonsoir
Ah, bon ?
Tu structures tes phrases...
Non, pas quand c'est une, deux, une, deux lignes...
Mais quand il faut développer sur un sujet sérieux et intéressant. Tu ne peux pas imaginer les efforts que je fournis.
Non, pas quand c'est une, deux, une, deux lignes...
Mais quand il faut développer sur un sujet sérieux et intéressant. Tu ne peux pas imaginer les efforts que je fournis.
J'ai le même problème que toi sauf que je ne suis pas dyslexique mais c'est à force de parler aux murs, je n'arrive plus à communiquer correctement avec les gens donc beaucoup d'efforts à fournir pour etre la plus comprehensible possible