" Bien sur, c’est visuel et chacun en fait l’expérience et l’apprentissage lui-même en s’y essayant, "
Toute la différence est là ..le concret , plus facilement mémorisable que l'abstrait ..on assimile , mémorise mieux en pratiquant que d'être dans la mémorisation de théories ...
Rien de plus simple que de dévier , réinterpréter des écrits , réécrire ....une gomme suffit :)
Dévier, ré-interpréter, ré-écrire…
Peut-être mais l’original demeure, comme preuve ou référence, concrète. Tandis que la seule parole s’envole au vent, se perd ou se déforme et se transforme tout autant, sans plus de modèle originel.
Les anciens n’avaient sans doute pas l’esprit encombré de tout un fatras d’infos superflues, de données en tout genre plus ou moins inutiles, de choses qui ne nous servent finalement jamais. Et je pense que leur mémoire était bien plus fidèle qu’on ne l’imagine. Ils allaient à l’essentiel, le vital. Le vrai.
Le vivant, donc, selon moi.
C’est pourquoi je crois assez à une part de véracité, une certaine réalité de tous ces vieux mythes fondateurs de l’Humanité. Seul bémol : tout ce qu’ils ne comprenaient pas alors et dont ils n’avaient pas d’explication mais qu’il fallait bien nommer ou définir d’une façon ou d’une autre, ils en faisaient des dieux, des déesses, des êtres fantastiques, chimériques, monstres, démons ou divinités, etc. Croyances, superstitions et autres. Histoires à dormir debout, contes, légendes, transmises de générations en générations – jusqu’à nous.
D’ailleurs, nous-mêmes aujourd’hui, qu’est-on en mesure de transmettre encore sans le secours du clic électronique ? Plus grand-chose, je crois. L’Amour, peut-être…
Citation de schnockdu
Dévier, ré-interpréter, ré-écrire…
Peut-être mais l’original demeure, comme preuve ou référence, concrète. Tandis que la seule parole s’envole au vent, se perd ou se déforme et se transforme tout autant, sans plus de modèle originel.
Les anciens n’avaient sans doute pas l’esprit encombré de tout un fatras d’infos superflues, de données en tout genre plus ou moins inutiles, de choses qui ne nous servent finalement jamais. Et je pense que leur mémoire était bien plus fidèle qu’on ne l’imagine. Ils allaient à l’essentiel, le vital. Le vrai.
Le vivant, donc, selon moi.
C’est pourquoi je crois assez à une part de véracité, une certaine réalité de tous ces vieux mythes fondateurs de l’Humanité. Seul bémol : tout ce qu’ils ne comprenaient pas alors et dont ils n’avaient pas d’explication mais qu’il fallait bien nommer ou définir d’une façon ou d’une autre, ils en faisaient des dieux, des déesses, des êtres fantastiques, chimériques, monstres, démons ou divinités, etc. Croyances, superstitions et autres. Histoires à dormir debout, contes, légendes, transmises de générations en générations – jusqu’à nous.
D’ailleurs, nous-mêmes aujourd’hui, qu’est-on en mesure de transmettre encore sans le secours du clic électronique ? Plus grand-chose, je crois. L’Amour, peut-être…
lol...tu te prends vraiment..
au sérieux toi..
tellement t'es con..!
mdr...
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 26 juin 2019 à 01:31
Citation de schnockdu
Dévier, ré-interpréter, ré-écrire…
Peut-être mais l’original demeure, comme preuve ou référence, concrète. Tandis que la seule parole s’envole au vent, se perd ou se déforme et se transforme tout autant, sans plus de modèle originel.
Les anciens n’avaient sans doute pas l’esprit encombré de tout un fatras d’infos superflues, de données en tout genre plus ou moins inutiles, de choses qui ne nous servent finalement jamais. Et je pense que leur mémoire était bien plus fidèle qu’on ne l’imagine. Ils allaient à l’essentiel, le vital. Le vrai.
Le vivant, donc, selon moi.
C’est pourquoi je crois assez à une part de véracité, une certaine réalité de tous ces vieux mythes fondateurs de l’Humanité. Seul bémol : tout ce qu’ils ne comprenaient pas alors et dont ils n’avaient pas d’explication mais qu’il fallait bien nommer ou définir d’une façon ou d’une autre, ils en faisaient des dieux, des déesses, des êtres fantastiques, chimériques, monstres, démons ou divinités, etc. Croyances, superstitions et autres. Histoires à dormir debout, contes, légendes, transmises de générations en générations – jusqu’à nous.
D’ailleurs, nous-mêmes aujourd’hui, qu’est-on en mesure de transmettre encore sans le secours du clic électronique ? Plus grand-chose, je crois. L’Amour, peut-être…
" Peut-être mais l’original demeure, comme preuve ou référence, concrète. "
Mais déjà , l'original est le fruit d'une interprétation , d'une vision personnelle ...et faut il être sûr que ce qui est considérer comme original l'est assurément ...et si des siècles sont passés , c'est encore plus aléatoire ..A cela s'ajoute , une bonne traduction , compréhension du sens ...
" Les anciens n’avaient sans doute pas l’esprit encombré de tout un fatras d’infos superflues, de données en tout genre plus ou moins inutiles, de choses qui ne nous servent finalement jamais. "
C'est certainement vrai qu'ils étaient davantage dans des essentiels , mais il est possible aussi que leur besoin de comprendre des choses comme la vie , la mort etc ...leur faisait avoir des réponses spoliées par l'ignorance ..un exemple , la médecine au moyen âge ...avec une totale ignorance du corps humain ( la religion interdisait toute dissection ) des idées plus saugrenues les unes que les autres sont nées ..Molière a beaucoup démontré la bêtise et les ignorances des médecins de l'époque " Le malade imaginaire " ..
" C'est pourquoi je crois assez à une part de véracité .."
C'est pourquoi , je doute très fortement ! :)
Les contes , légendes , dieux déesses etc ...prouvent , pour moi , un besoin de se rassurer pour certains , un outil pour d'autres d'asseoir leur pouvoir ..
L' Amour ...humm , comme la Vérité , des amours , des vérités ...
Citation de "loreen N°78" oooh laureen ce que tu écris c'est trop bien!
Deux fakes nous faisant leur numéro de cirque !
Le même – et pour cause…
Citation de Mlle Hyper-popotine des profils qui sortent de nulle part, postent 3 messages et disparaissent
et souvent pour complimenter ou approuver.. bizarrement!
Tiens, toi aussi il y a quekchose qui te turlupine ?
Moi aussi, depuis longtemps. C’est marrant. On voit de ces trucs, parfois, qui t’arrive d’on ne sait pas bien où ni comment (mais on sait pourquoi), et puis HoP, ça disparaît déjà comme on rentre dans sa boîte. Tout comme on retourne dans sa caisse, en attendant l’heure de la promenade ou de la prochaine gamelle.
C’est rigolo la vie d’un fake. Quoique, non.
Curieux, ces gens, qui croient et pensent avoir dit quoi que ce soit après publier un vidéo-clip. Encore une impasse intellectuelle, un échange en cul-de-sac. Avec auto-gloriole et détournement de l’œuvre d’autrui.
Bien triste également, de voir comme certains se sentent obligés d’aller faire allégeance à d’autres, les plus méchants ou teigneux, les pires têtes-de-cul d’un forum, ceux qui pourraient te nuire, te faire perdre tes nerfs, te harceler sur tes posts. Une seule solution, donc, faire ami-ami, copain-copain. Une relation maître-esclave, consentie et virtuelle de surcroît, la soumission à un tiers de son être, de sa personne, au nom d’une pseudo capacité à parler avec tout le monde, encore une soit-disant ouverture d’esprit qui n’est en fait qu’un enfermement de plus. Une apparence. Un semblant. Juste de la soumission à la loi non pas du plus fort, mais du plus con !
Les plus graves étant celles et ceux qui te fientent de haut, te défèquent leur com puis s’en vont, faisant à qui mieux-mieux ou perlant et perlouzant à tout va, seul ou à 2 ou 3, lâchant leur œufs ici et là, sur telle ou telle tête de turc, ignorant des réponses, méprisant, ne cherchant rien d’autre qu’un endroit où faire et sans plus de regard aucun en arrière. On te chie dessus et on n’y revient plus. Jusqu’à la ponte suivante, le besoin ou l’envie pressante...
Citation de cecil28
" Peut-être mais l’original demeure, comme preuve ou référence, concrète. "
Mais déjà , l'original est le fruit d'une interprétation , d'une vision personnelle ...et faut il être sûr que ce qui est considérer comme original l'est assurément ...et si des siècles sont passés , c'est encore plus aléatoire ..A cela s'ajoute , une bonne traduction , compréhension du sens ...
" Les anciens n’avaient sans doute pas l’esprit encombré de tout un fatras d’infos superflues, de données en tout genre plus ou moins inutiles, de choses qui ne nous servent finalement jamais. "
C'est certainement vrai qu'ils étaient davantage dans des essentiels , mais il est possible aussi que leur besoin de comprendre des choses comme la vie , la mort etc ...leur faisait avoir des réponses spoliées par l'ignorance ..un exemple , la médecine au moyen âge ...avec une totale ignorance du corps humain ( la religion interdisait toute dissection ) des idées plus saugrenues les unes que les autres sont nées ..Molière a beaucoup démontré la bêtise et les ignorances des médecins de l'époque " Le malade imaginaire " ..
" C'est pourquoi je crois assez à une part de véracité .."
C'est pourquoi , je doute très fortement ! :)
Les contes , légendes , dieux déesses etc ...prouvent , pour moi , un besoin de se rassurer pour certains , un outil pour d'autres d'asseoir leur pouvoir ..
L' Amour ...humm , comme la Vérité , des amours , des vérités ...
Une bonne journée !
Non, dans le cas par exemple des tablettes cunéiformes de Sumer relatant l’histoire du déluge, ou d’un déluge, il n’y a rien de plus original, unique. Et il n’y a aucune raison que ce récit soit déformé par rapport à ce dont on en disait avant l’invention de l’écriture sur argile. Il a seulement pu être détourné de son ton ou sens premier au fil du temps, de bouche à oreille, oui, et encore, ou idéalisé, romancé, remanié, coupé et enjolivé, certes. Mais enfin, ça ne change rien au fond de l’histoire, c'est une base, un témoignage.
Quant à la traduction, là aussi, elle est fidèle comme pour les hiéroglyphes. Il faut faire confiance aux chercheurs, ceux qui dédient toute leur vie à ce genre de recherche, d’étude, de science.
Oui, comme je te le disais, tout ce que les anciens ne comprenaient pas ils le mystifiaient, le mythifiaient. Une autre manière encore de s’approprier le monde et tenter de le maîtriser. En avoir moins peur, peut-être. Sans doute.
Idem pour la science moderne.
Quand elle explique le premier instant de l’univers, l’instant T, par le Big-Bang, aussi farfelue ou réelle que soit cette explication, improuvable, n’est-ce pas là encore pour se rassurer et expliquer par tout ce qu’elle sait et ce qu'elle connaît aujourd’hui ou en comprend, le monde. Mais demain ? Et hier ?
Une façon similaire d’asseoir un pouvoir, également.
L’Amour. Je parlais de celui universel, naturel, filial. Maternel, paternel. Une des dernières choses humaines qui ne dépend pas d’un clic ou d’une connexion électrique.
Enfin, j’espère.
Pour la rubrique nécrologique, disparition ou avis de recherche, bulletin météo, alerte canicule, incendie, inondation, dépannage rapide en tous genres, pizza et/ou massage à domicile, résultat du loto, faits divers et autres chiens écrasés ou petites chattes échaudées, s’adresser au canard à 2 têtes et à 4 pattes.
(voir forum)
Citation de schnockdu
Non, dans le cas par exemple des tablettes cunéiformes de Sumer relatant l’histoire du déluge, ou d’un déluge, il n’y a rien de plus original, unique. Et il n’y a aucune raison que ce récit soit déformé par rapport à ce dont on en disait avant l’invention de l’écriture sur argile. Il a seulement pu être détourné de son ton ou sens premier au fil du temps, de bouche à oreille, oui, et encore, ou idéalisé, romancé, remanié, coupé et enjolivé, certes. Mais enfin, ça ne change rien au fond de l’histoire, c'est une base, un témoignage.
Quant à la traduction, là aussi, elle est fidèle comme pour les hiéroglyphes. Il faut faire confiance aux chercheurs, ceux qui dédient toute leur vie à ce genre de recherche, d’étude, de science.
Oui, comme je te le disais, tout ce que les anciens ne comprenaient pas ils le mystifiaient, le mythifiaient. Une autre manière encore de s’approprier le monde et tenter de le maîtriser. En avoir moins peur, peut-être. Sans doute.
Idem pour la science moderne.
Quand elle explique le premier instant de l’univers, l’instant T, par le Big-Bang, aussi farfelue ou réelle que soit cette explication, improuvable, n’est-ce pas là encore pour se rassurer et expliquer par tout ce qu’elle sait et ce qu'elle connaît aujourd’hui ou en comprend, le monde. Mais demain ? Et hier ?
Une façon similaire d’asseoir un pouvoir, également.
L’Amour. Je parlais de celui universel, naturel, filial. Maternel, paternel. Une des dernières choses humaines qui ne dépend pas d’un clic ou d’une connexion électrique.
Enfin, j’espère.
Bonjour
C'est si ancien tout ça , aujourd'hui qu'est ce qui est important et urgent ..chercher à comprendre l'histoire ou se précuper de l'utile et des essentiels ..en fait , pour moi ce n'est pas une question ..
j'entend ce que tu veux dire par l'Amour ..mais les articles définis me dérangent , trop souvent utilisés pour ranger dans des cases ..bien ordonnées , bien normées ..alors que nous sommes touset toutes uniques ..
C'est si ancien tout ça , aujourd'hui qu'est ce qui est important et urgent ..chercher à comprendre l'histoire ou se précuper de l'utile et des essentiels ..en fait , pour moi ce n'est pas une question ..
j'entend ce que tu veux dire par l'Amour ..mais les articles définis me dérangent , trop souvent utilisés pour ranger dans des cases ..bien ordonnées , bien normées ..alors que nous sommes touset toutes uniques ..
Cecil,bon jour !
Une suggestion de lecture
" Éloge de la singularité "
Quatrième de couverture:
" La modernité tardive, qui révoque en doute la plupart des vérités et croyances héritées du passé, s'attache à sauver une seule certitude : celle de la dignité de l'homme singulier, fondement des droits de l'homme. Pourtant, elle poursuit la dépersonnalisation qui se trouvait déjà à l'œuvre dans les idéologies précédentes. Cette contradiction est l'objet même de ce livre : pourrons-nous garantir longtemps la dignité personnelle sans protéger du même élan le sujet personne qui en constitue le support et la raison d'être? Le sujet personne est une entité singulière et insondable, pendant que nous le réduisons à ses collectifs identitaires. Il est responsable de son propre destin, pendant que notre indifférence éducative le prive de l'apprentissage à l'autonomie. ll se grandit par l'indépendance d'esprit, pendant que la société contemporaine le livre à l'opinion dominante. Il est engagé dans l'éthique par ses actes, pendant que la société spectaculaire promeut une éthique de l'intention, verbale et dérisoire. Il est habité à la fois par le bien et par le mal, pendant que nous continuons d'entretenir les tentations manichéennes. Il n'est ni réductible à sa biologie – ce qu'indique l'idéologie de la santé –, ni nourri par la seule matière – ce qu'indique la religion de l'économie. Il est doté d'un esprit singulier, exposé à la recherche spirituelle et à la quête d'éternité, alors qu'un nouveau panthéisme travaille à le dissoudre.
Il ne suffit pas de clamer les droits de l'homme de façon incantatoire ; faut-il encore savoir qui est cet homme à respecter. "
" La modernité tardive, qui révoque en doute la plupart des vérités et croyances héritées du passé, s'attache à sauver une seule certitude : celle de la dignité de l'homme singulier, fondement des droits de l'homme. Pourtant, elle poursuit la dépersonnalisation qui se trouvait déjà à l'œuvre dans les idéologies précédentes. Cette contradiction est l'objet même de ce livre : pourrons-nous garantir longtemps la dignité personnelle sans protéger du même élan le sujet personne qui en constitue le support et la raison d'être? Le sujet personne est une entité singulière et insondable, pendant que nous le réduisons à ses collectifs identitaires. Il est responsable de son propre destin, pendant que notre indifférence éducative le prive de l'apprentissage à l'autonomie. ll se grandit par l'indépendance d'esprit, pendant que la société contemporaine le livre à l'opinion dominante. Il est engagé dans l'éthique par ses actes, pendant que la société spectaculaire promeut une éthique de l'intention, verbale et dérisoire. Il est habité à la fois par le bien et par le mal, pendant que nous continuons d'entretenir les tentations manichéennes. Il n'est ni réductible à sa biologie – ce qu'indique l'idéologie de la santé –, ni nourri par la seule matière – ce qu'indique la religion de l'économie. Il est doté d'un esprit singulier, exposé à la recherche spirituelle et à la quête d'éternité, alors qu'un nouveau panthéisme travaille à le dissoudre.
Il ne suffit pas de clamer les droits de l'homme de façon incantatoire ; faut-il encore savoir qui est cet homme à respecter. "
Je ne connais pas , j'irai voir .. en effet des êtres singuliers dans nos capacités , nos intelligences , développer et tendre à les utiliser dans le cadre d'un projet de société pour que chacun soit à la fois acteur , citoyen , participatif cela profiterait à tous par ricochet .. et ce dans un premier temps pour répondre aux besoins de base communs , liés à notre survie et par effet rebond à être plus heureux et donc plus créatifs ..les gens heureux sont créatifs
Citation de cecil28
Bonjour Fouthese , tout le monde !
Je ne connais pas , j'irai voir .. en effet des êtres singuliers dans nos capacités , nos intelligences , développer et tendre à les utiliser dans le cadre d'un projet de société pour que chacun soit à la fois acteur , citoyen , participatif cela profiterait à tous par ricochet .. et ce dans un premier temps pour répondre aux besoins de base communs , liés à notre survie et par effet rebond à être plus heureux et donc plus créatifs ..les gens heureux sont créatifs
Hello Cecil,
au fil d'une existence c'est toute une bibliothèque qu'il faut apprendre à construire...
" L'arrière-boutique " comme le disait Montaigne !
Pour se revivifier lorsqu'on en ressent le besoin - ou le plaisir !
Les livres sont nos compagnons de route...
( Et là c'est tout un " programme " personnel que tu nous donnes à lire ! )