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peinardo (clôturé)
il y a 10 ans
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Bonjour.
En ce mardi de Pâques, 22 avril, 2014, mon rendez-vous chez l'ophtalmologiste s'est très bien déroulé.
Je suis arrivé pour dix heure, en matinée. Après avoir laissé ma carte vitale (Gold) à la charmante personne de l'acceuil, j'ai pris place sur une des confortables chaises de la salle d'attente.
J'emmène toujours un livre personnel. L'idée même de toucher un des magasines proposés, qu'une multitude de patients ont déjà touché, m'est insuportable.
J'attendais depuis un quart d'heure. Une chance qu'en ce mardi , aucune conne, accompagnée d'un chiard entre deux et six ans, qui fait chier tout le monde, n'emmerdait le monde. Parce que ça aussi, c'est un véritable enfer. Surtout lorsque l'origine indéterminée de la conne nous impose un manque de discrétion inhérent à certaines cultures.
Dans la salle d'attente, une ravissante quadragénaire, grande, mince, en jupe courte, en imperméable, chaussée de souliers à talons hauts, est venue s'assoir juste devant moi.
Je jeu des regards, des jambes qui se croisent et qui se décroisent a commencé rapidement. Un bonheur !
Ce fut superbe. Hélas, saloperie de fatalité, au bout de dix minutes, le docteur est venue prononcer mon nom dans la salle d'attente, m'invitant à le suivre.
C'est à chaque fois pareil dans l'existence. C'est rageant...
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astrium14 (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "peinardo"________________________________
Bonjour.
En ce mardi de Pâques, 22 avril, 2014, mon rendez-vous chez l'ophtalmologiste s'est très bien déroulé.
Je suis arrivé pour dix heure, en matinée. Après avoir laissé ma carte vitale (Gold) à la charmante personne de l'acceuil, j'ai pris place sur une des confortables chaises de la salle d'attente.
J'emmène toujours un livre personnel. L'idée même de toucher un des magasines proposés, qu'une multitude de patients ont déjà touché, m'est insuportable.
J'attendais depuis un quart d'heure. Une chance qu'en ce mardi , aucune conne, accompagnée d'un chiard entre deux et six ans, qui fait chier tout le monde, n'emmerdait le monde. Parce que ça aussi, c'est un véritable enfer. Surtout lorsque l'origine indéterminée de la conne nous impose un manque de discrétion inhérent à certaines cultures.
Dans la salle d'attente, une ravissante quadragénaire, grande, mince, en jupe courte, en imperméable, chaussée de souliers à talons hauts, est venue s'assoir juste devant moi.
Je jeu des regards, des jambes qui se croisent et qui se décroisent a commencé rapidement. Un bonheur !
Ce fut superbe. Hélas, saloperie de fatalité, au bout de dix minutes, le docteur est venue prononcer mon nom dans la salle d'attente, m'invitant à le suivre.
C'est à chaque fois pareil dans l'existence. C'est rageant...
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Bref, de la poudre au yeux pour ton cyclope..
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De quoi vous plaignez vous ...???
Vous avez eu dix minutes de bonheur..ha ha
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lordan (clôturé)
il y a 10 ans
rendez-vous chez l'ophtalmo, et pensez pouvoir lire sur les lèvres...faut avouer que c'est un comble
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azalee.zoa (clôturé)
il y a 10 ans
se rincer l'oeil chez l'ophtalmo... pas triste !
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peinardo (clôturé)
il y a 10 ans
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Saloperie de fatalité (Episode 2)
Mon ordonnance de l'ophtalmologiste sur moi, je me rends chez un opticien. J'opte pour cette marque que vantait Hallyday avant qu'il n'ait définitivement jauni.
Je regarde un peu les dizaines et dizaines de montures suspendues sur les murs et les présentoirs. Dans ce domaine aussi, des petits malins ont créé des modes et des tendances.
Lorsque j'observe les grosses montures noires, à la mode, je ne peux m'empêcher de regretter d'avoir renvoyé ma paire de lunettes de 1988. A une organisation caritative, en plus. Car elle s'inscrivait très exactement dans la tendance actuelle. J'aurais économisé 250 euros !
La jeune opticienne, sans doute fraîchement dotée de son BTS de lunettier, vint s'occuper de moi. Elle m'invita à m'assoir devant une petite table. Je lui montrais mon ordonnance. Nous devisions en évoquant la qualité des verres que je souhaitais. Elle mesura l'écart de mes yeux bleus d'acier.
Soudain, là, dans l'entrée, la jeune femme vue dans la salle d'attente de l'ophtalmologiste, mardi matin, entra dans la boutique. Mon sang ne fit qu'un tour. Et quel tour ! Un tour pendable...
Tout comme moi, lorsque je suis arrivé, elle se promena dans le magasin pour regarder les montures suspendues. Elle était très élégante et vêtue un peu de la même façon. Ayant simplement troqué son imper contre une veste légère.
Nos regards se croisèrent à plusieurs reprises. Et, chez un opticien, comme chez un ohptalmologiste, chacun sait que tout est dans le regard ! Des regards qui devinrent insistants et terriblement troublants.
En cette fin d'après-midi de ce chaud jeudi, la température de mon métabolisme, et sans doute du sien, augmentèrent encore de quelques degrés.
Dans la poche intérieure de ma veste, j'ai toujours quelques cartes de visites. Non pas seulement parce que je suis un grand "chasseur", mais également pour les opportunités de mon business.
Pendant que la jeune employée, mon ordonnance à la main, s'était levée pour aller à l'ordinateur de l'acceuil, j'en profitais pour me lever et laisser ma carte à la ravissante jeune femme. Elle me fit un délicieux sourire et accepta mon "cadeau". Une autre employée vint s'occuper de la dame, coupant court à toutes autres vélléités.
En partant, par acquis de conscience, car toutes les opportunités sont bonnes à saisir, je remis une autre carte à la jeune fille et lançais un sourire à la dame. Cette dernière me le rendit avec un signe de tête.
Je récupère mes lunettes le lundi 5 mai...
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astrium14 (clôturé)
il y a 10 ans
je crois pouvoir affirmer que tu lui as tapé dans l'oeil.
A sa phrase adressée à l'opticienne "Je viens vous voir car je voudrais une nouvelle paire" S'il ne s'agissait pas de lunettes, vous auriez bien proposer la votre... non?
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gradzie (clôturé)
il y a 10 ans
La dame ayant vos coordonnées ....tout devient possible !!!!
Tenez -nous au courant Monsieur Peinardo .
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peinardo (clôturé)
il y a 10 ans
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Saloperie de fatalité (Episode 3)
En ce début d'après-midi, assis à mon bureau, concentré sur quelques documents administratifs, mon attention fut brisée nette.
Déchirant le silence de la maison, la sonnerie du téléphone me fit sursauter. Je dois préciser que mon téléphone est une réplique "vintage" d'un appareil des années cinquante. Puissant et sonore.
Je décrochais un peu contrarié. Je n'aime pas laisser le moindre problème en suspend plus de dix minutes. Là, entrain de remplir la "déclaration" reçue ce matin, je ne désirais pas être dérangé.
Quelle ne fut pas ma surprise ! Une surprise agréable. C'était la dame vue chez l'ophtalmologiste et revue chez l'opticien. Une surprise appréciable qui me fit oublier, quelques minutes, les impôts et leurs damnés formulaires.
Dans le fil de la rapide et courte conversation, puisque la dame était à son travail, je proposais une troisième rencontre. Une rencontre qui, pour ce troisième opus, ne serait pas forfuite.
Rendez-vous fut donc pris pour le lundi 5 mai. En effet, nos lunettes, à tous deux, seraient disponibles à cette date. Un rendez-vous au salon de thé "La pause", dans le centre piétonnier de la ville voisine. Dix sept heure pour partager un bon chocolat.
Prenant congé de la dame, jusqu'à l'instant où j'écris ces lignes, en ce lundi 28 avril, à 14 h, je me suis replongé dans mes paperasseries. Je n'ai plus qu'à soumettre tout cela à mon comptable qui fera le nécessaire. Une formalité de moins...
Je suis donc, déjà, à me réjouir pour ce rendez-vous. Mais, d'ici là, il y aura bien d'autres sources de réjouissances...
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Moralité :
ouvrir l’œil et le bon
M R T V U E N C X O Z D
d l v a t b k u e r s n
R C Y H O F M E S P A
E X A T Z H D W N
Y O E L K F D I
O P T I C A L
C E N T E R
O H S U E
M C F
bonne soirée à tous
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peinardo (clôturé)
il y a 10 ans
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Saloperie de fatalité (Episode 4)
Ce matin, dès sept heure quinze, mon téléphone se met à sonner.
Ce qui est extrêmement rare.
La ligne de ce téléphone de mon bureau, comme l'autre, sont sur liste rouge.
Je décroche. C'est la dame des lunettes à l'autre bout du fil.
Elle m'informe qu'elle sera libre tout le lundi après-midi et que nous pourrons donc nous rencontrer plus tôt.
Rendez-vous est donc fixé au salon de thé "La pause", pour quinze heure, lundi 5 mai.
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oneflower (clôturé)
il y a 10 ans
Chouette un conte de fées !
C'est palpitant !
Mais je ne doute pas que nous aurons très rapidement les détails croustillants de la suite de cette romantique histoire.
A la mode Peinardo.
Bien sûr.
Ames sensibles, s'abstenir.
Bien sûr... 
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Citation de "tal_k"
Moralité :
ouvrir l’œil et le bon
M R T V U E N C X O Z D
d l v a t b k u e r s n
R C Y H O F M E S P A
E X A T Z H D W N
Y O E L K F D I
O P T I C A L
C E N T E R
O H S U E
M C F
bonne soirée à tous
Lol
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Citation de "peinardo"____________________
Saloperie de fatalité (Episode 4)
Ce matin, dès sept heure quinze, mon téléphone se met à sonner.
Ce qui est extrêmement rare.
La ligne de ce téléphone de mon bureau, comme l'autre, sont sur liste rouge.
Je décroche. C'est la dame des lunettes à l'autre bout du fil.
Elle m'informe qu'elle sera libre tout le lundi après-midi et que nous pourrons donc nous rencontrer plus tôt.
Rendez-vous est donc fixé au salon de thé "La pause", pour quinze heure, lundi 5 mai.
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Bonne chance et plein de bonheur à vous deux  
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gradzie (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "peinardo"____________________
Saloperie de fatalité (Episode 4)
Ce matin, dès sept heure quinze, mon téléphone se met à sonner.
Ce qui est extrêmement rare.
La ligne de ce téléphone de mon bureau, comme l'autre, sont sur liste rouge.
Je décroche. C'est la dame des lunettes à l'autre bout du fil.
Elle m'informe qu'elle sera libre tout le lundi après-midi et que nous pourrons donc nous rencontrer plus tôt.
Rendez-vous est donc fixé au salon de thé "La pause", pour quinze heure, lundi 5 mai.
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Attention , Monsieur Peinardo !
Dame à lunettes ..... dame à Qui....te !!!! sourire.
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