Citation de cecil28
Ca me fait penser à une nana qui quand elle dansait faisait rire tout le monde ....mais elle s'en fichait royalement , elle s'éclatait !
Bon une bonne soirée à chacun(ne)
ben oui...
qu'est ce qu'on fout...
quelqu'un qui danse sans rythme...
ce quelqu'un s’éclate...
dans sa tête...
le siège de la liberté..!
et en plus quand c'est trop drole...
lol...
la liberté...
les entraves...
(pour en revenir au sujet.. )
Modifié il y a 7 ans, le samedi 23 septembre 2017 à 22:33
Citation de arthur_rambo
ben oui...
qu'est ce qu'on fout...
quelqu'un qui danse sans rythme...
ce quelqu'un s’éclate...
dans sa tête...
le siège de la liberté..!
et en plus quand c'est trop drole...
lol...
la liberté...
les entraves...
(pour en revenir au sujet.. )
oui mais dance-t-elle naturellement ou l'emprise de quelques produits ?
Citation de cecil28
Le principal est d'être le plus heureux possible et le plus libre possible ....et les façons d'y arriver ne sont pas les mêmes pour tous ....
heureux oui mais libre de dépendance à un produit quelconque pour l'être.........
peut importe le flacon pourvu qu'on est l'ivresse............ est-ce être libre de son bonheur ?
dans addiction, je les mets toutes sans distinctions : jeu, achat compulsif, bien évidement alcool, chit, médicament psychotrope, sexe, sites .....................
Citation de lavande11
heureux oui mais libre de dépendance à un produit quelconque pour l'être.........
peut importe le flacon pourvu qu'on est l'ivresse............ est-ce être libre de son bonheur ?
dans addiction, je les mets toutes sans distinctions : jeu, achat compulsif, bien évidement alcool, chit, médicament psychotrope, sexe, sites .....................
Mais on peut être heureux sans tombé dans des extrêmes ! celui qui prend plaisir à quelque chose n'est pas forcément dans l'excès ....quand même !
" J'ai une morale fort simple - ne faire à personne ni bien ni mal. Ne faire de mal à personne,
parce que non seulement je reconnais aux autres, tout comme à moi-même,
le droit de n'être gêné par personne. Mais aussi parce que je trouve qu'en fait de mal nécessaire dans le monde, les maux naturels suffisent largement .
Nous vivons tous, ici-bas à bord d'un navire parti d'un port , que nous ne connaissons pas,
et voguant vers un autre port que nous ignorons.
Nous devons avoir les uns envers les autres l'amabilité de passagers embarqués pour un même voyage.
Et ne pas faire le bien, parce que je ne sais ni ce qu’est le bien,
ni si je fais réellement le bien quand je crois le faire.
Sais-je quels malheurs je peux entraîner en faisant l’aumône ?
Sais-je quels maux je peux causer si j’éduque ou instruis ? Dans le doute, je m’abstiens.
Et il me semble même qu’aider ou conseiller c’est encore, d'une certaine manière, commettre la faute d'intervenir dans la vie d'autrui. La bonté est un caprice de notre tempérament : nous n'avons pas le droit de rendre les autres victimes de nos caprices, même s’il s’agit de caprices par humanité ou par tendresse.
Les bienfaits sont quelque chose qui nous est infligé : C’est pourquoi froidement je les exècre.
Si je ne fais pas de bien, par souci moral, je n'exige pas non plus qu’on m’en fasse.
Si je tombe malade, ce qui me pèse le plus, c’est que j’oblige quelqu’un à me soigner,
chose que je répugnerais à faire moi-même pour un autre.
Je ne suis jamais allé voir un ami malade. Et chaque fois qu’étant malade, on est venu me rendre visite,
j’ai subi chaque visite comme une gêne, une insulte, une violation injustifiable de mon intimité profonde.
Je n'aime pas qu'on me fasse des cadeaux, on semble ainsi m'obliger à en faire à mon tour,
aux mêmes gens ou à d'autres peu importe.
Je suis hautement sociable, de façon hautement négative. Je suis l'être le plus inoffensif qui soit.
Mais je ne suis pas davantage ; je ne veux pas, je ne peux pas être davantage.
J'ai à l'égard de tout ce qui existe une affection visuelle, une tendresse de l'intelligence- rien dans le coeur.
Je n’ai foi en rien, espoir en rien, charité pour rien.
J'exècre, effaré et nauséeux, les sincères de toutes les sincérités et les mystiques de tous les mysticismes,
ou plutôt, et pour mieux dire, la sincérité de tous les sincères et le mysticisme de tous les mystiques.
Cette nausée devient presque physique lorsque ces mysticismes sont actifs,
qu’ils prétendent convaincre l'esprit des autres, ou commander à leur volonté.
Trouver la vérité ou réformer le monde. Je m'estime heureux de n’avoir plus de famille.
Ainsi ne suis-je pas contraint (ce qui me pèserait inévitablement) d’aimer qui que ce soit.
Fernando Pessoa « Le Livre de l’Intranquillité ».
Moi je trouve que ça décape ...
Bon ca passera jamais au Journal de 20 heures . ni ailleurs d'ailleurs
Clin d'oeil Cécil
Il se pourrait que ce genre de réflexion ne fasse pas partie des codes du savoir bien penser