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Les jambes atrophiées, le dos hypertrophié, les fesses démesurées,
Et un smartphone accroché au derrière, (enfin une occupation pour les poches arrières des pantalons)
Telle est ma vision quotidienne des femmes qui vaquent modérément dès qu’elles
Ont quitté leur écrin motorisé. Je pensais un cauchemar, mais même éveillé ça ne cesse pas.
La réalité s’avère bien plus immonde qu’un mauvais rêve.
Mais heureusement qu’avec l’automne, les tatouages se sont couverts. Bientôt les manteaux
Couvriront les fessiers, et j’oublierai d’avoir un jour commenté la beauté normalisée des médiocraties du moindre effort et de la servitude connectée.
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t as fais une crise de calgonyte aigue ,,?,,
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J aurai peut être pris la peine de construire une réponse si ça n avait pas été incohérent dès la première ligne...
A bon entendeur. ;)
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C'est déjà une réponse - et je n'en attendais pas - mais elle fait pschiiiiiiiiiit.
Je n'ai fait que dépeindre un tableau de la réalité. tout incohérente qu'elle soit.
Modifié il y a 4 ans, le jeudi 1 octobre 2020 à 14:53
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Citation de indompterable
Les jambes atrophiées, le dos hypertrophié, les fesses démesurées,
Et un smartphone accroché au derrière, (enfin une occupation pour les poches arrières des pantalons)
Telle est ma vision quotidienne des femmes qui vaquent modérément dès qu’elles
Ont quitté leur écrin motorisé. Je pensais un cauchemar, mais même éveillé ça ne cesse pas.
La réalité s’avère bien plus immonde qu’un mauvais rêve.
Mais heureusement qu’avec l’automne, les tatouages se sont couverts. Bientôt les manteaux
Couvriront les fessiers, et j’oublierai d’avoir un jour commenté la beauté normalisée des médiocraties du moindre effort et de la servitude connectée.
" la beauté normalisée des médiocraties du moindre effort et de la servitude connectée. "
La dernière partie vaut son pesant de réalisme quant à une partie de notre société, qui courre tellement vers un but inavoué, une forme de décadence.
Et il y aura encore quelques décades avant que la dance si captive et irréfléchie, ne s'arrête, parce qu'à bout de souffle de tant de ses chimères.
" ...et j'oublierai d'avoir un jour commenté "
Serait-ce, là, encore un espoir qui anime ton verbe si dépité ?...souhaitant un futur tellement plus avant qu'un automne assagit, et qui verrait un nouveau printemps moins docile et plus vaillant du renouveau, tel que la Nature sait si bien le démontrer.
Nous, humains, sommes si loin d'un biotope de l'Existence ; elle l'Existence, nous la brûlons.
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