Citation de charrette
ils ont fait les fonds de tiroirs, histoire d'avoir des moutons au plan local... ça aide bien des gens qui ne reflechissent pas... mais ce n'est pas respecter leurs électeurs
Citation de charrette
j'ai entendu robert menard à la radio ce matin dire que ce serait une catastrophe pour la france si le rn arrivait au gouvernement...... c'est un gaucho ?
c'est peut être ce qu'on va me répondre chez les garçons mdrr
tiens, les accrochages ici me font penser à cette chanson lol
Citation de charrette
j'ai entendu robert menard à la radio ce matin dire que ce serait une catastrophe pour la france si le rn arrivait au gouvernement...... c'est un gaucho ?
c'est peut être ce qu'on va me répondre chez les garçons mdrr
tiens, les accrochages ici me font penser à cette chanson lol
Je suis un peux fatigué de lire tes conneries .....
Ménard est un pur produit de l'extrême gauche.
À Béziers, proche des milieux anarchistes, puis trotskistes, il milite à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), de 1973 à 1979, rejoint le Parti socialiste, via le CERES, devient délégué du CERES pour la fédération de l'Hérault au congrès de Metz (6 au 8 avril 1979)[11]. Il démissionne du PS six mois après l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République, se disant stupéfait par tous ceux « qui se précipitaient sur les places »
Roland Dumas vient de s'en aller,en voilà un qui n'avait pas figure politiquement parlant.....il a fait chauffer la carte bancaire du ps pour entretenir sa maitresse et se payer des godasses à 4000 balles,mais ça vous indiffère !
Citation de superforme60
Je suis un peux fatigué de lire tes conneries .....
Ménard est un pur produit de l'extrême gauche.
À Béziers, proche des milieux anarchistes, puis trotskistes, il milite à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), de 1973 à 1979, rejoint le Parti socialiste, via le CERES, devient délégué du CERES pour la fédération de l'Hérault au congrès de Metz (6 au 8 avril 1979)[11]. Il démissionne du PS six mois après l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République, se disant stupéfait par tous ceux « qui se précipitaient sur les places »
et toi dans les années 70 tu étais ou ? mdrrr
il a fait comme toi, alors arrête d'essayer de nous enfumer
Citation de superforme60
Roland Dumas vient de s'en aller,en voilà un qui n'avait pas figure politiquement parlant.....il a fait chauffer la carte bancaire du ps pour entretenir sa maitresse et se payer des godasses à 4000 balles,mais ça vous indiffère !
il était au lycée avec mon beau père...
oh fillon et ses costards...
si on divisait l'indemnité de nos élus par 3 on aurait bien moins de candidats... ils se servent et nous on cotise ...
Citation de charrette
et toi dans les années 70 tu étais ou ? mdrrr
il a fait comme toi, alors arrête d'essayer de nous enfumer
tiens écoute...
En 70,je n'étais ''pas avec lui''...
Lui il était avec jean marc rouillan, la bande qui a assassiné Georges Besse,sorti de prison après reduction de peine et qui a été invité à s'exprimer à la Sorbonne....
Nous avons rien en commun lui et moi....
Si tu pouvais arrèter de me les gonfler,je t'en serais reconnaissant ....mdr
Citation de superforme60
En 70,je n'étais ''pas avec lui''...
Lui il était avec jean marc rouillan, la bande qui a assassiné Georges Besse,sorti de prison après reduction de peine et qui a été invité à s'exprimer à la Sorbonne....
Nous avons rien en commun lui et moi....
Si tu pouvais arrèter de me les gonfler,je t'en serais reconnaissant ....mdr
refuser de reconnaitre les liens entre ménard et le rn c'est de la malhonneteté intellectuelle dd, vivi je te gonfle mais si un jour tu me remercieras mdrrrr
en 1970 mais ou étais je ??? mdrrr
en tout cas pas en age de suivre l'actualité ;)
par contre je ne le pensais pas si vieux... je viens de regarder, il est né en 53... en 70 il avait 17 ans, tu es sur de ce que tu affirmes ?
Modifié il y a 4 mois, le mercredi 3 juillet 2024 à 20:21
Citation de charrette
refuser de reconnaitre les liens entre ménard et le rn c'est de la malhonneteté intellectuelle dd, vivi je te gonfle mais si un jour tu me remercieras mdrrrr
en 1970 mais ou étais je ??? mdrrr
en tout cas pas en age de suivre l'actualité ;)
par contre je ne le pensais pas si vieux... je viens de regarder, il est né en 53... en 70 il avait 17 ans, tu es sur de ce que tu affirmes ?
Tu n'as pas à interpréter ce que j'écris,mais juste à lire....
C'est toi qui me parle de menard en 70,je te réponds que je n'etais pas avec lui,mais dans les annėes 70 il etait anarchiste de gauche comme la bande à Rouillan.
Pithaing que tu peux être chiante.....mdrr
« No Pasaran » : les rappeurs du déshonneur et leurs suiveurs
Depuis 48 heures, cette chanson collective anti-RN déchaîne les critiques. Pourtant, ses relents conspirationnistes – voire pire – passent crème dans certaines chapelles.
Par Philippe Guedj
Publié le 03/07/2024 à 18h46 Le point.
Il faut les supporter, ces presque dix minutes assez insupportables. Un tunnel d'appel à la violence, de délire obsidional, d'antisionisme répétitif, d'obsession pour la Palestine, d'identitarisme hypertrophié, de vulgarité misogyne, de complotisme moyenâgeux… Voilà « No Pasaran » : un titre fleuve qui se noie dans ses saumâtres flows de rappeurs éructant leur seau d'injures pyromanes, sous le couvert d'une chanson partisane.
Sur le papier, l'objectif du morceau, disponible sur les plateformes de streaming depuis la nuit du 1er au 2 juillet, n'avait rien de déshonorant (que l'on soit d'accord ou non avec la démarche) : appeler la jeunesse à voter contre le Rassemblement national (RN) au second tour des élections législatives anticipées, le 7 juillet. Mais la tempête déclenchée depuis quarante-huit heures par l'indignité crasse de certaines rimes fait l'effet d'un véritable repoussoir.
Rappel des faits : à l'initiative du designer Ramdane Touhami et du producteur Djamel Fezari, alias DJ Kore, une vingtaine de rappeurs ont conjugué, la semaine dernière en studio, leur rage pour enregistrer ce « No Pasaran » au titre lourdement emprunté au cri de ralliement des partisans espagnols anti-franquistes.
Dans son édition du lundi 1er juillet, le quotidien Libération relate une rencontre de sa journaliste avec le tandem, organisée le jeudi 27 juin dans un hôtel parisien, alors que les deux hommes mettent la touche finale au brûlot, décrit dans l'article comme « un projet aussi colossal qu'urgent ». « Il fallait qu'on revienne à l'essence du rap : faire passer un message. […] On ne pouvait pas rester les bras croisés », dit l'un. « On n'est pas que des débilos. […] On va vous amener sur un terrain où vous ne nous avez jamais vus pour la plupart », promet l'autre.
Apologie du trafic de drogue, ambiance islamiste
L'autrice de l'article, qui a donc écouté le résultat en avant-première, décrit ainsi la prose des artistes : « Une variété d'angles assez enthousiasmante […], de la naïveté, voire la crétinerie totale, jusqu'à la précision documentaire, en passant par la violence pure et quelques injonctions classiques à aller niquer telle ou telle mère (sic). Il y a fort à parier que deux ou trois punchlines, qu'on ne citera pas ici pour ne pas prémâcher le travail aux détracteurs, ne manqueront pas d'être sorties de leur contexte pour discréditer le projet. »
Florilège de ce que l'article désigne comme de la « violence artistique », paraphrasant l'une des voix de « No Pasaran », le rappeur Alkpote – qui, rappelons-le, avant d'enregistrer une chanson avec l'artiste Bilal Hassani, se revendiquait clairement homophobe.
Qu'avons-nous là ? Apologie du trafic de drogue par Zola : « Ferme les frontières mais la dope remontera d'Marbella quand même/Donc ouais c'est pour ça qu'je les ken, donc ouais c'est pour ça qu'j'ai la paye (ouais, ouais). » Ambiance islamiste et misogynie brutale par Alkpote : « J'recharge la kalachnikov comme Ramzan Kadyrov/Nique l'imam Chalgoumi et ceux qui suivent le Sheitan à tout prix [l'imam de Drancy menacé de mort depuis des années pour ses prises de position républicaines, NDLR]/Marine et Marion les putes, un coup de bâton sur ces chiennes en rut. »
Toujours chez monsieur Capote, une petite louche de complotisme enfiévré : « Nique tous ces députés, on sait qu'ils manipulent les statistiques/Font du mal à nos enfants/Ils veulent nous injecter une puce dans le sang (Antéchris) », suivie par une charge antimaçonnique assénée par Cokein : « Espèce de franc-maçon, tu te nourris du sang qu'tu consommes/Dans leurs ambassades, c'est le Sheitan qui les passionne. » Ailleurs, c'est Mac Tyer qui se risque au jeu de mots borderline : « Le monde est contrôlé par les illu… minés » (petit clin d'œil au terme Illuminati, chouchou des sphères conspirationnistes colorées d'antisémitisme).
Complainte collective communautariste
Criblé d'une doxa du « eux contre nous », cultivant les graines d'un esprit de séparatisme plutôt qu'un appel à la concorde pour affronter les périls ensemble, ce cantique de petites fripouilles – pour paraphraser à notre tour l'une des expressions favorites de l'ex-garde des Sceaux Christiane Taubira – va encore un peu plus loin quand Akhenaton prend le micro.
En roue libre depuis les années Covid via ses réseaux sociaux, antivax complotiste et antisioniste déclaré, l'ex-leader du groupe I Am s'en donne à cœur joie dans ses passions tristes : culture du « tous pourris »malaxé de relativisme flou (« Vingt piges de 11 Septembre, de Syrie, d'attentats et de faits divers miteux en boucle, tous les jours dans les médias/L'État nous fait les poches, prend le fric, avec, on s'fait taper par les flics ») et inversement des valeurs avec cible obsessionnelle (« Les années 30 font leur come-back, normal que Sheytanyahou soit le Blanc qui assure leur contact »). Comme ses confrères, Akhenaton est obnubilé par le Sheitan (version arabe de Satan, citée trois fois dans la chanson), tandis que l'auditeur cherche encore le rapport de nos élections législatives avec le Premier ministre israélien. Le Mia nous manque…
Enfin, autre récurrence : la Palestine, encore et toujours hors sujet mais encore et toujours au cœur de la logorrhée des rappeurs monomaniaques, de Costa (« Vive la Palestine, d'la Seine au Jourdain, fuck Jordan, c'est une marionnette ») à Demi Portion (« Les racistes votent, nous aussi, et mon cœur est en Palestine/On reste fiers, c'est nos principes et mon cœur est en Palestine »).
Ici et là, heureusement, dans certains recoins de cette complainte collective communautariste et tout sauf politiquement responsable (le rappeur RK se vante même de n'avoir « jamais voté »), quelques paroles plutôt bien troussées derrière la brutalité sauvent l'honneur. Et l'appel à se rendre aux urnes reste, même dans cette forme brutale, toujours salutaire. Mais comment fermer les yeux sur le reste ?
Curieuse indulgence, Akhenaton érigé en sage
Les auteurs de « No Pasaran » en rêvaient, une certaine presse le fait. Et s'obstine à ne pas voir – ou dénoncer – les facettes les plus intolérables de ce délire. Dans un article publié ce 3 juillet, Libération reconnaît les « saillies antisémites » de « No Pasaran », mais le quotidien défend quand même le titre controversé pour la seule raison qu'« il donne aussi, par le conflit médiatique qui s'est ouvert depuis sa sortie, un avant-goût du genre d'intimidation et de censure qui attend tous les artistes si le Rassemblement national arrive au pouvoir ».
Oui, « No Pasaran » est « problématique », concèdent nos confrères, mais « qui aurait pu imaginer une seconde qu'une réplique in extremis du monde du rap français à la menace du RN au pouvoir prendrait la forme pondérée d'une protest song lardée de belles rimes adoubée par l'Académie française ? ». Et le journal de conclure : « Qu'on ne se trompe pas d'indignation. » S'indigner contre l'antisémitisme, c'est donc se tromper de cause, selon Libé.
Ailleurs, une curieuse indulgence domine aussi : Le Parisien évoque sobrement « des paroles particulièrement virulentes contre le Rassemblement national ou ses dirigeants ». Sur le site de France Info, on lit que « les rappeurs utilisent des paroles incisives pour dénoncer la montée de l'extrême droite », tandis que Le Monde résume l'affaire par ces mots sur les artistes impliqués dans ce sinistre tube : « Certains tiennent des propos sexistes et outranciers sur Marine Le Pen et Marion Maréchal ou font planer la menace d'une riposte violente. Mais le sage Akhenaton, qui se plaint d'écrire la même histoire depuis quarante ans, conclut : “Rien n'a changé/Je préfère la main tendue au bras tendu.” »
Certes, la main tendue est preuve de sagesse. Hélas, on ne peut pas en dire autant, en parcourant son fil X, du reste des prises de parole d'Akhenaton. À vrai dire, on aurait préféré le voir s'ériger plus courageusement, tout comme ses amis, pour prendre la défense du rappeur iranien condamné à mort Toomaj Salehi, mais leurs ennemis sont ailleurs.
Inspiré aussi d'un autre morceau rap contestataire de 11 minutes 30 composé contre les lois Debré en 1997, « No Pasaran » trempe malheureusement quant à lui dans la même « sous-culture conspirationniste la plus crasse, non dénuée de remugles antisémites » (pour reprendre un argument du site Conspiracy Watch et de la Licra au sujet de la chanson « Empire » du groupe sulfureux Sniper) trop souvent scandée dans un certain rap français, sur laquelle une partie de la gauche a choisi de fermer les yeux.