a propos de susceptibilité, tu ne serais pas un petit récupérateur de vidé ?
Mettre sur ton post ce que j'ai posté ici alors que tu te permets des remarques à Liz (non justifiées, en tout cas je n'ai jamais trouvé quoi que ce soit qui étaye)
Citation de charrette
a propos de susceptibilité, tu ne serais pas un petit récupérateur de vidé ?
Mettre sur ton post ce que j'ai posté ici alors que tu te permets des remarques à Liz (non justifiées, en tout cas je n'ai jamais trouvé quoi que ce soit qui étaye)
arf,
clairement...
je n'attends pas après tocard 1er
pour poster .....
mdr ....
même dans ce domaine
il se prend pour qq un
qu'on aurait envie de copier....
tu sais quoi ?
je n'aimerais pas être dans sa tête...
c'est sûrement un beau bordel
"organisé "
par son ego hypertrophié
et sa mégalomanie....
quel mytho ce tocard ....
mdr...
j'attends tjrs le copyright
de toutes ses pseudo-propriétés ici.....
vidé.os, sourires, points de suspension , style ....etc etc ....
Ce texte de 1834 de Victor Hugo décrit parfaitement la personnalité du dédaigneux.
« C'était un de ces hommes qui n'ont rien de vibrant ni d'élastique, qui sont composés de molécules inertes, qui ne résonnent au choc d'aucune idée, au contact d'aucun sentiment, qui ont des colères glacées, des haines mornes, des emportements sans émotion, qui prennent feu sans s'échauffer, dont la capacité calorique est nulle, et qu'on dirait souvent faits de bois ; ils flambent par un bout et sont froids par l'autre. La ligne principale, la ligne diagonale du caractère de cet homme, c'était la ténacité. Il était fier d'être tenace, et se comparait à Napoléon. Ceci n'est qu'une illusion d'optique. Il y a nombre de gens qui en sont dupes et qui, à certaine distance, prennent la ténacité pour de la volonté, et une chandelle pour une étoile. Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu'il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu'au bout de la chose absurde. L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. Cela va loin. En général, quand une catastrophe privée ou publique s'est écroulée sur nous, si nous examinons, d'après les décombres qui en gisent à terre, de quelle façon elle s'est échafaudée, nous trouvons presque toujours qu'elle a été aveuglément construite par un homme médiocre et obstiné qui avait foi en lui et qui s'admirait. Il y a par le monde beaucoup de ces petites fatalités têtues qui se croient des providences.»
Extrait de "Claude Gueux", Victor Hugo, 1834.
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extrait :
""Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu'il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu'au bout de la chose absurde. L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. ""
Ce texte de 1834 de Victor Hugo décrit parfaitement la personnalité du dédaigneux.
« C'était un de ces hommes qui n'ont rien de vibrant ni d'élastique, qui sont composés de molécules inertes, qui ne résonnent au choc d'aucune idée, au contact d'aucun sentiment, qui ont des colères glacées, des haines mornes, des emportements sans émotion, qui prennent feu sans s'échauffer, dont la capacité calorique est nulle, et qu'on dirait souvent faits de bois ; ils flambent par un bout et sont froids par l'autre. La ligne principale, la ligne diagonale du caractère de cet homme, c'était la ténacité. Il était fier d'être tenace, et se comparait à Napoléon. Ceci n'est qu'une illusion d'optique. Il y a nombre de gens qui en sont dupes et qui, à certaine distance, prennent la ténacité pour de la volonté, et une chandelle pour une étoile. Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu'il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu'au bout de la chose absurde. L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. Cela va loin. En général, quand une catastrophe privée ou publique s'est écroulée sur nous, si nous examinons, d'après les décombres qui en gisent à terre, de quelle façon elle s'est échafaudée, nous trouvons presque toujours qu'elle a été aveuglément construite par un homme médiocre et obstiné qui avait foi en lui et qui s'admirait. Il y a par le monde beaucoup de ces petites fatalités têtues qui se croient des providences.»
Extrait de "Claude Gueux", Victor Hugo, 1834.
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extrait :
""Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu'il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu'au bout de la chose absurde. L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. ""
voilà voilà ....
je pose ça là ...
sourires...
les années passent , la manière de l'exprimer évolue, mais ces descriptions traversent les siècles, l'homme évolue peu...