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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
J’ai souvent rencontré deux genres de femmes.
Celles que je ne remarque pas dans l’instant, que je ne regarde qu’after midnight, parce que leurs formes sont séduisantes, évocatrices.
Et les autres, l’autre.
Celle que j’ai vue, immédiatement, sans oser m’arrêter mais vers laquelle un subconscient déterminé me meut, timidement mais sans hésitation.
Celle que je ne détaille pas parce que sous l’emprise d’une douce vibration qui me porterait au bout du monde sans autre ambition que d’être près d’elle.
Les premières sont choses communes, la seconde est plus rare et…
Je crois que c’est elle qui m’a fait un croc en jambe ce matin.
Un couple surgit d’une ruelle.
Une petite et un petit brun.
Ils semblent très heureux et portent les stigmates d’une nuit pas comme les autres.
Ils passent devant nous, lancent quelques mots que je n'atteins pas et s’éloignent main dans la main.
Le soleil envahit la terrasse tandis qu’un balai, encore un balai, expulse les déchets d’hier, que la rue s’anime progressivement, telle l’entrée d’une ruche au début de la matinée.
Contemplation.
Contemplation émue et fébrile.
Je suis incapable de déceler une imperfection dans le souvenir de ses traits.
Pas de signe négatif qui serait la séquelle d’un vécu bad.
Pourquoi je cherche à la diminuer !
Maintenir l’amour à distance, préférant une course interminable derrière de lointaines chimères.
Beautés surfaites et artificielles, images d’un amour synthétique et givré dans lequel je prétends me complaire ?
J’aimerais une femme qui m’apprenne des choses mais je ne lui laisse pas le temps d’être intelligente, la cantonnant à ses sens.
Je cherche une femme ayant de l’humour ne me permettant pas de rire de ses mots d’esprit.
J’aimerais parfois échanger de ces mièvreries câlines d’enfants attardés mais, très vite, je crains qu’elle me prenne pour son père.
Une femme qui me connaisse si parfaitement, qu’aucune de mes réactions ne soit un secret pour elle ?
Je ne lui laisse pas le temps de me connaître. Je la décortique avant.
Je me sens parfois seul.
Si seul qu’il n’y a plus de place en moi pour laisser entrer quelqu’un.
Et, pour m’isoler davantage, je ne me fais pas vraiment confiance.
Plus je cherche et plus je me sens seul d’autant que, cette femme, je l’ai idéalisée.
Idéalisée pour être sur de ne jamais la rencontrer.
Nous devons nous revoir.
Heures longues comme de grands jours.
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Que serait la nuit sans le privilège de la regarder, assis, face à la vallée que le silence envahit accompagné de la lune ?
L’amour est chose étonnante.
Tout prête à sourires.
Il déborde et, tel les rayons d’un soleil hilare dans un ciel azuré, propage la joie et le bien-être, transformant le quotidien en un moment sans précédent.
Me souviens-je d’avoir aimé ?
Aventures souvent sans lendemain, ce sans à priori.
Un jour, un an…
Aimant furtivement, égoïstement, faisant tout pour que l’on ne m’aime pas !
Ne plus ressentir le besoin, ne plus vouloir, comme le bon sens l’entend, m’enfermer dans un couple pour ne pas être seul.
Cultiver la solitude dans la promiscuité.
Une promiscuité inconfortable et castratrice.
Fort de quelques années d’expérience je crois être.
Années que j’ai consommées, qui ne laissent ni regret, ni amertume, beaucoup de souvenirs et qui me permettent de savoir ce que je ne veux plus, ce qui m’est nécessaire pour être.
Je suis maintenant conscient de la nécessité de s’éclipser à certains moments, de la non-permanence d’un lien qui tend à se rompre si on ne lui permet pas un minimum d’élasticité.
Conscient de la présence d’un ego monstre et omniprésent qui tente de bannir l’être « aimé » tout en le désirant.
Alors ?
Peut-être que maintenant, de l’amour, je saurai préserver la fraîcheur de la naissance ?
Aimer.
Aujourd’hui… plus tard.
Je me sens propulsé, ma main effleure ses cheveux, sa joue, annonçant et conduisant mes lèvres aux siennes.
Violé le charme de la contemplation.
L’émotion m’émeut.
Sans un mot.
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lumierevive (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de na0-le-vrai
J’ai souvent rencontré deux genres de femmes.
Celles que je ne remarque pas dans l’instant, que je ne regarde qu’after midnight, parce que leurs formes sont séduisantes, évocatrices.
Et les autres, l’autre.
Celle que j’ai vue, immédiatement, sans oser m’arrêter mais vers laquelle un subconscient déterminé me meut, timidement mais sans hésitation.
Celle que je ne détaille pas parce que sous l’emprise d’une douce vibration qui me porterait au bout du monde sans autre ambition que d’être près d’elle.
Les premières sont choses communes, la seconde est plus rare et…
Je crois que c’est elle qui m’a fait un croc en jambe ce matin.
Un couple surgit d’une ruelle.
Une petite et un petit brun.
Ils semblent très heureux et portent les stigmates d’une nuit pas comme les autres.
Ils passent devant nous, lancent quelques mots que je n'atteins pas et s’éloignent main dans la main.
Le soleil envahit la terrasse tandis qu’un balai, encore un balai, expulse les déchets d’hier, que la rue s’anime progressivement, telle l’entrée d’une ruche au début de la matinée.
Contemplation.
Contemplation émue et fébrile.
Je suis incapable de déceler une imperfection dans le souvenir de ses traits.
Pas de signe négatif qui serait la séquelle d’un vécu bad.
Pourquoi je cherche à la diminuer !
Maintenir l’amour à distance, préférant une course interminable derrière de lointaines chimères.
Beautés surfaites et artificielles, images d’un amour synthétique et givré dans lequel je prétends me complaire ?
J’aimerais une femme qui m’apprenne des choses mais je ne lui laisse pas le temps d’être intelligente, la cantonnant à ses sens.
Je cherche une femme ayant de l’humour ne me permettant pas de rire de ses mots d’esprit.
J’aimerais parfois échanger de ces mièvreries câlines d’enfants attardés mais, très vite, je crains qu’elle me prenne pour son père.
Une femme qui me connaisse si parfaitement, qu’aucune de mes réactions ne soit un secret pour elle ?
Je ne lui laisse pas le temps de me connaître. Je la décortique avant.
Je me sens parfois seul.
Si seul qu’il n’y a plus de place en moi pour laisser entrer quelqu’un.
Et, pour m’isoler davantage, je ne me fais pas vraiment confiance.
Plus je cherche et plus je me sens seul d’autant que, cette femme, je l’ai idéalisée.
Idéalisée pour être sur de ne jamais la rencontrer.
Nous devons nous revoir.
Heures longues comme de grands jours.
Toi plus je te lis plus je t'apprécie....!
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de lumierevive
Toi plus je te lis plus je t'apprécie....!
Ah non !
Pas à quatre !
Seuls les chiffres "impair" fonctionnent. Sourire
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
4 voyelles, 4 consonnes pour Amour ?
Un abonnement gratuit d'un an à Smail pour la bonne réponse, après tirage au "sort" parmi ceux qui auront trouvé.
Modifié il y a 5 ans, le samedi 13 avril 2019 à 16:51
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de Superform 60 de tour de taille.
Ne pas confondre avec le Tourmallet.
Il est loin de ses performances à vélo, qu'il nous contait, principalement dans le "Lubéron", jusqu'à ce que Hubert Honnisseur du Boniment lui dise :
Le "Luberon" !
"les gens normaux,sympa,s'abstiennent de venir echanger içi"
Ici ?
C'est comme ce vieux "canard" de province, de Colombey les Deux Mosquées, qui s'étonne que l'on oublie le Général de Waza.
Ici ?
C'est, à défaut de débattre, sur des sujets qui ne valent la peine, se prosterner devant les témoins "vivants" d'une ère, de la nostalgie de la Wazamie et de l'illusoire suprématie de forumeurs prétendant s'élever au-dessus de la moyenne.
Alors que ?
Ils n'ont pas su suivre le temps et sont obsolètes comme le formica.
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Doit-on en rigoler ?
"Dans cette maternité privée de Grenoble, les deux parents peuvent désormais profiter d’une belle nuit de sommeil après la naissance de leur enfant.
Deux lits doubles parentaux ont en effet été installés au sein du Groupe Hospitalier Mutualiste (GHM) début avril."
Source : https://www.huffingtonpost.fr/entry/maternite-grenoble-lits-doubles_fr_5cac56fae4b01b34503af246
J'ai eu des clients, que j'ai ensuite refusés, les délégant à ceux qui les "cautionnaient", qui demandaient, après une "soirée d'affaires", d'être "emmenés" (emmenés parce qu'ils n'auraient pas eu les couilles d'y aller seuls) à Pigalle, tandis que leur épouse était à la maternité...
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loreen78 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de na0-le-vrai
4 voyelles, 4 consonnes pour Amour ?
Un abonnement gratuit d'un an à Smail pour la bonne réponse, après tirage au "sort" parmi ceux qui auront trouvé.
ça correspond à "julienne"...
j'ai bon? j'ai bon?
bonsoir na0
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de loreen78
ça correspond à "julienne"...
j'ai bon? j'ai bon?
bonsoir na0
Oui.
Attendons le tirage au sort, plutôt au bonheur.
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loreen78 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de na0-le-vrai
Oui.
Attendons le tirage au sort, plutôt au bonheur.
attendons sa réponse, surtout!
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de loreen78
attendons sa réponse, surtout!
Oui.
Je suis anxieux.
Tu crois que j'ai une chance ?
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loreen78 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de na0-le-vrai
Oui.
Je suis anxieux.
Tu crois que j'ai une chance ?
elle a l'air de t'apprécier...
mais aura-t-elle les mots?
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de loreen78
elle a l'air de t'apprécier...
mais aura-t-elle les mots?
Le silence est parfois éloquent.
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loreen78 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de na0-le-vrai
Le silence est parfois éloquent.
t'essayes de te rassurer là? sourire
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Une image pour Marcel qui a été sage aujourd’hui.
Je suppose qu'il était à Toulouse ?
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