Citation de na0-le-vrai
Marcel serait témoin de Jéhovah que je n'en serait pas surpris...
Ou, alors ?
Trop humble pour accepter d'être né d'une poussière d'étoile ? Sourire
Être né sur une poussière d'étoile ou dans un choux-fleur, ou avoir été déposé là par des cigognes, ne répond pas à LA question qui, elle, reste en suspend !
Mais on peut aussi vivre sa vie, tranquille, la tête enfonçée dans le sable - pourquoi pas...
Tu peux développer toutes les spiritualités que tu voudras, avec ou sans le moindre dieu. Vivre également sans aucune.
Mais ça ne changera rien au fait que LA question demeurera posée...
Citation de duschnock
Tu peux développer toutes les spiritualités que tu voudras, avec ou sans le moindre dieu. Vivre également sans aucune.
Mais ça ne changera rien au fait que LA question demeurera posée...
Je suis un homme des bois qui ne se pose pas de question.
Je ne me demande pas pourquoi ni comment je suis arrivé ici.
Je remercie ce corps confortable qui m’a accueilli et apporté beaucoup de plaisir...
Je demeure cependant attentif à toute hypothèse crédible.
Non pas à ces tentatives de manipulation "propres" à ceux qui veulent dominer...
Au confluent du Ruisseau et de l'un de ses nombreux "enfants", vous apercevrez une boutique à l'enseigne bariolée...
"À la tortue zébrée".
Une tortue de Californie lâchement jetée par ses maîtres dans le Ruisseau, suite à une mutation qui les a effrayés, regrettant cependant la tendresse de la cellule familiale, eut l'idée de créer ce magasins de bonbons.
On y trouve mille et une sortes de confiseries du monde, tendres ou plus dures, toutes colorées à l'image du propriétaire.
Un ambiance bon enfant y règne.
Vous y rencontrerez régulièrement la Pie qui y chante le mercredi après-midi.
Aigre-vice qui n'aime que la réglisse.
Marcel qui a une préférence pour les marshmallows, afin de travailler sa diction.
La Duchesse, Elle, se réfère aux bonbons à la pomme de terre.
Puis, tout ce petit monde du Ruisseau, son petit sac bondé à la main, va s'asseoir au bord de l'eau pour partager ses goûts en une convivialité inégalée qui attire les trois mammouths qui les observent de la rive opposée.
Parfois, une âme généreuse leur lance une bêtise, sur laquelle ils se précipitent, d'un même élan en se bousculant.
Force est de constater que la femelle est la plus rapide surtout si ce sont des fraises flagada !
En face de la "Tortue zébrée", il y a l'échoppe de Maître Bob, écrivain public.
On l'appelle ainsi parce qu'il porte un bob, quelque soit le temps.
On aurait pu dire Maître Tongue, ou Maître Short parce que c'est sa tenue, même pour dormir, que ce soit seul ou accompagné.
Maître Remington ?
Seuls quelques connaisseurs le surnomment ainsi.
Il est régulièrement sollicité, alors que, assis sur sa terrasse, derrière ou devant, selon l'angle de vue, une énorme Remington datant du siècle dernier, il attend le client.
Clients auquel il répond, inlassablement :
"Je n'écris que pour moi."
En fait, Maître Bob rêve de devenir un "privé", un détective spécialisé dans l'adultère, les histoires salaces, avec des poupées pulpeuses et des maris et amants exsangues...
Un peu plus en amont, dans cet affluent, il y a l'atelier de Cassenoixdecajou.
Une rivale pour Aigre-Vice, puisqu'elle est blonde et, surtout, a une utilité dans le Ruisseau.
Non pas que Aigre-Vice ne serve à rien !
Si vous n'arrivez pas à ouvrir un bocal, ou n'avez pas de destructeur de documents (son plaisir, ce sont les cd et les cartes à puce, scrunch) allez la voir !
Cassenoixdecajou fait davantage dans la subtilité, la dentelle...
Fruits secs, oignons, aulx, ciboulette...
Elle vous hachera tout en deux temps, trois mouvements, accompagnés d'un sourire.
Citation de duschnock
Tu peux développer toutes les spiritualités que tu voudras, avec ou sans le moindre dieu. Vivre également sans aucune.
Mais ça ne changera rien au fait que LA question demeurera posée...
Oui, elle demeure...
La question existentielle entre toutes.
Parce qu’elle revient, reviendra, encore et pour probablement très longtemps ou toujours.
Elle est cette inconnue perdue au plus profond de la nuit des temps.
On la suit, à la trace, qu’elle laisse immuable derrière elle et devant notre quête de cet ultime savoir qui est si primordial en ce sens qu’il nous permettrait, peut-être, de comprendre qui nous sommes vraiment et surtout par rapport à quoi nous le sommes.
C’est un grand et très énigmatique film qui déroule inlassablement son intrigue aux spectateurs si petits que nous sommes devant son écran, en plus que cinémascope du dimensionnel de l’Univers ; celui aussi de l’autre Univers de temps si insaisissable de l’instant de son origine.
En a-t-il eu de début ?
Pas sûr…dirait l’Autre question.
Il est possible que la seule entité supérieure ne soit que : C’est.
C’est. : Quelque chose d’intemporel et de non conscience de son existence dans son existence ; juste le facteur qui a fait que. Quelque chose qui a toujours été là et qui sera encore là pour toujours dans le futur, de même qu’il a toujours été là dans le passé.
La question existentielle entre toutes.
Parce qu’elle revient, reviendra, encore et pour probablement très longtemps ou toujours.
Elle est cette inconnue perdue au plus profond de la nuit des temps.
On la suit, à la trace, qu’elle laisse immuable derrière elle et devant notre quête de cet ultime savoir qui est si primordial en ce sens qu’il nous permettrait, peut-être, de comprendre qui nous sommes vraiment et surtout par rapport à quoi nous le sommes.
C’est un grand et très énigmatique film qui déroule inlassablement son intrigue aux spectateurs si petits que nous sommes devant son écran, en plus que cinémascope du dimensionnel de l’Univers ; celui aussi de l’autre Univers de temps si insaisissable de l’instant de son origine.
En a-t-il eu de début ?
Pas sûr…dirait l’Autre question.
Il est possible que la seule entité supérieure ne soit que : C’est.
C’est. : Quelque chose d’intemporel et de non conscience de son existence dans son existence ; juste le facteur qui a fait que. Quelque chose qui a toujours été là et qui sera encore là pour toujours dans le futur, de même qu’il a toujours été là dans le passé.
Immuable et sans nom et...sans intention.
La réponse : …
Rien ou si peu ?
La vie ?
Bonsoir...
Ne devons-nous pas laisser cette interrogation aux scientifiques ?
Où ?
Sommes-nous comme eux à la recherche du Graal et de cette immortalité qui nous importunerait ?