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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/green-business/une-route-en-plastique-recycle-l-idee-ecolo-d-une-ville-des-pays-bas-493743.html#xtor=EPR-2-[green-business]-20150728 Une route en plastique recyclé, l'idée écolo d'une ville des Pays-Bas Par latribune.fr | 22/07/2015 Avec une durée de vie estimée à 50 ans, les routes en plastique recyclé seraient moins affectées par la corrosion et nécessiteraient un moindre entretien La ville de Rotterdam veut créer des routes en plastique recyclé. Brevetée par l’entreprise hollandaise de BTP VolkerWessels, l’idée est écologique et économique : les routes en plastique auraient une durée de vie trois fois plus longue que celles en goudron. Connus pour leur amour du vélo, les néerlandais se lancent dans la construction d'une piste cyclable totalement constituée de plastique recyclé. Rotterdam a signé un contrat avec l'entreprise VolkerWessels, à l'origine de l'idée. Si l'expérience est concluante, la ville pourrait l'étendre à l'ensemble de ses routes. Pour l'instant le concept n'est qu'à l'état de papier, mais une série de tests réalisés dans un centre de Rotterdam devrait permettre la mise en place effective du projet d'ici trois ans. "La deuxième étape est de construire un prototype et de le tester dans un laboratoire pour vérifier la sécurité du matériel, notamment lorsqu'il est humide ou glissant. Nous cherchons des partenaires qui souhaitent collaborer sur notre projet pilote, aussi bien que des fabricants de l'industrie du plastique", expliquait Rolf Mars, le directeur de la branche route de VolkerWessels, au journal The Guardian. Des routes plus coûteuses mais plus résistantes Constituées de plastique recyclé, les routes de VolkerWessels seront construites dans des usines puis assemblées directement sur la surface désirée, un peu à la manière des Lego. Les différents tracés seront directement inscrits sur les pans de route, avant même qu'ils soient posés. Ce système permet aux routes d'être installées en plusieurs semaines, au lieu des quelques mois actuels. "Le plastique offre toute sorte d'avantages, comparé aux méthodes de construction actuelles. A la fois sur la pose des routes et sur leur maintenance" rappelle Rolf Mars. Le coût d'une telle organisation est supérieur à celui que requiert le coulage de béton, mais selon VolkerWessels, cela peut largement être compensé par la durabilité de son matériel. Avec une durée de vie estimée à 50 ans, les routes en plastique recyclé seraient moins affectées par la corrosion et nécessiteraient un moindre entretien. Pouvant résister à des températures extrêmes, allant de -40° à 80° Celsius, le matériel proposé par l'entreprise hollandaise pourrait permettre le développement de routes extrêmement silencieuse ou même chauffées. Une empreinte écologique limitée Les routes en plastique sont aussi une alternative au béton, dont l'asphalte produit 96 million de tonnes de CO2 par an. Prisée par les ingénieurs, l'épaisse substance noire est bon marché, facile à installer mais reste très polluante. En partant du recyclage du plastique présent au fond des océans, VolkerVessels propose un matériel écologiquement responsable, qui répond à la fois au souci du recyclage et celui du nettoyage de l'environnement. De quoi alléger les consciences. - - - - - - - - - - - Commentaires : Apres le marketing il risque de ne rester pas grand chose d'ecologique. Plastique est vague comme nomination. Il y a en a diverses sortes, pour ça que chez nous on a décidé de ne traiter au recyclage que les flacons (peu de variétés, bien identifiés (code embossé)). Il faut les charger (produit ajouté), les matériaux évoluent avec l'oxygène de l'air, les rayons ultraviolets (pour ça que les feuilles, sacs se fragmentent en petits bouts qu'on trouve dans les océans). Bientôt les vélos en plastique. _ _ _ _ _ _ _ _ plastique présent au fond des océans : Parle-t-il du continent de plastique ? ou d'autre chose ??? )
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Imperméabilisation des sols ... http://europa.eu/rapid/press-release_IP-11-624_fr.htm Environnement: l'imperméabilisation des sols dans l'Union européenne compromet la fourniture des services écosystémiques Chaque année, en Europe, des sols représentant une superficie plus vaste que la ville de Berlin sont perdus en raison de l'expansion urbaine et de la construction d'infrastructures de transport. Cette évolution contraire aux principes du développement durable met en péril la disponibilité de sols fertiles et de nappes aquifères pour les générations futures. Un nouveau rapport publié aujourd'hui par la Commission européenne recommande une approche en trois volets axée essentiellement sur la limitation de la progression de l'imperméabilisation des sols, l'atténuation de ses effets et la compensation des pertes de sols de grande valeur par l'adoption de mesures dans d'autres zones. S’exprimant sur le sujet, M. Janez Potočnik, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement, a déclaré: «Certains des services fondamentaux liés aux écosystèmes sont tributaires de la qualité des sols, et sans ces derniers, la vie sur notre planète serait menacée d'extinction. Nous ne pouvons pas laisser l'imperméabilisation des sols se poursuivre. Cela ne signifie pas pour autant qu'il faille mettre un terme au développement économique ou cesser de moderniser nos infrastructures, mais la démarche adoptée doit être plus durable.» L'asphalte gagne du terrain Un sol est imperméabilisé lorsqu'il est recouvert d'un matériau imperméable tel que l'asphalte ou le béton. Entre 1990 et 2000, 275 hectares au moins de sols ont été perdus chaque jour dans l'UE, soit 1 000 km2 par an. La moitié de ces sols sont recouverts de manière permanente par des couches imperméables de bâtiments, de routes et de parcs de stationnement. D'après le rapport, cette tendance s'est ralentie et a été ramenée à 252 hectares par jour au cours de ces dernières années, mais le rythme de consommation des terres demeure précupant. Entre 2000 et 2006, l'augmentation moyenne des surfaces artificielles a été de 3 % dans l'UE. C'est en Irlande, à Chypre et en Espagne que cette augmentation a été la plus marquée (respectivement 14 %, 14 % et 15 %). Recommandations Pour faire face au problème de l'imperméabilisation des sols, le rapport propose une approche en trois volets: limitation de la progression de l'imperméabilisation des sols par une amélioration de l'aménagement du territoire ou le réexamen des subventions «négatives» qui encouragent indirectement l'imperméabilisation des sols; mise en œuvre de mesures d'atténuation afin de limiter les dommages lorsque l'imperméabilisation des sols ne peut être évitée. Il s'agit par exemple de recourir à des revêtements perméables au lieu de l'asphalte ou du ciment classiques, ou de prévoir des toitures végétales; mise en place de mesures de compensation permettant de compenser partiellement les pertes de sols dans une zone par d'autres mesures réalisées ailleurs. Ces mesures peuvent se présenter sous la forme de paiements, comme dans la République tchèque et en Slovaquie, ou d'actions de remise en état de sols déjà imperméabilisés. Des exemples de bonnes pratiques ont notamment été observés à Dresde et à Vienne. Les résultats de ce rapport seront intégrés dans un document technique sur l'imperméabilisation des sols que la Commission élabore actuellement en collaboration avec des experts nationaux. Ce document, qui devrait être achevé début 2012, formulera, à l'intention des autorités nationales, régionales et locales, des orientations concernant les meilleures pratiques à mettre en œuvre pour limiter l'imperméabilisation des sols et en atténuer les effets. Contexte L'imperméabilisation des sols entraîne la perte irréversible des fonctions biologiques des sols. Étant donné que l'eau ne peut ni s'infiltrer, ni s'évaporer, le ruissellement s'accentue, avec parfois pour conséquence des inondations catastrophiques. Les paysages se fragmentent et les habitats deviennent trop exigus ou trop isolés pour abriter certaines espèces. En outre, le potentiel de production alimentaire des terres est perdu à jamais. Le Centre commun de recherche de la Commission estime que quatre millions de tonnes de blé sont perdues chaque année du fait de l'imperméabilisation des sols. De nombreuses régions d'Europe sont touchées par l'imperméabilisation croissante des sols, dont la moitié des régions des Pays-Bas, huit provinces italiennes (Vercelli, Lodi, Verona, Piacenza, Parma, Campobasso, Matera, Catanzaro), trois départements français (Vendée, Tarn-et-Garonne, Corrèze), la région de Poznan en Pologne, la Styrie occidentale en Autriche, la région estonienne de Põhja-Eesti, ainsi que la région de Jugovzhodna en Slovénie. La Commission, dans sa stratégie thématique en faveur de la protection des sols, a reconnu que la dégradation des sols, et notamment leur imperméabilisation, pose un grave problème au niveau de l'UE. Afin de protéger les sols de l'Union européenne, la Commission a présenté en 2006, avec le soutien du Parlement européen, une proposition de directive-cadre sur les sols. La proposition est toutefois bloquée au Conseil en raison de l'opposition de certains États membres. Pour de plus amples informations Rapport intitulé «Overview of best practices for limiting soil sealing or mitigating its effects in EU-27» (vue d'ensemble des meilleures pratiques à mettre en œuvre dans l'UE-27 pour limiter l'imperméabilisation des sols ou en atténuer les effets) http://ec.europa.eu/environment/soil/sealing.htm Le rapport sera présenté le 25 mai entre 9 h 00 et 11 h 00 à l'occasion de la conférence consacrée à la Semaine verte: http://ec.europa.eu/environment/greenweek/index.html Pour plus d'informations concernant la stratégie thématique en faveur de la protection des sols: http://ec.europa.eu/environment/soil/three_en.htm MEMO/06/341 sur la protection des sols Pour plus d'informations concernant la politique de l'Union européenne en faveur de la protection des sols: http://ec.europa.eu/environment/soil/index_en.htm
Modifié il y a 9 ans, le vendredi 31 juillet 2015 à 09:37
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Encore sur l'imperméabilisation des sols : http://www.journaldelenvironnement.net/article/comment-lutter-contre-l-impermeabilisation-des-sols,23331 Sites & Sols Comment lutter contre l’imperméabilisation des sols ? Le 24 mai 2011 par Célia Fontaine Politique & Société, Sites et sols urbains, Sites et sols naturels Les toitures végétalisées, comme au Japon, permettent de compenser la perte de sols recouverts. Chaque jour, l’Union européenne perd environ 252 hectares de sols à cause de l’expansion urbaine et des infrastructures de transport, soit 1 1.000 km2 kilomètres carrés par an. Cette avancée de l’asphalte se fait au détriment de la disponibilité des sols fertiles et des nappes aquifères. La Commission européenne s’est penchée sur cette question et publie le 23 mai un rapport qui recense les meilleures pratiques européennes pour limiter le rythme de consommation des terres et les effets de l’imperméabilisation des sols. Un quart des organismes vivants de la planète vivent dans le sol. « Le sol est la peau vivante de la terre et rend d’innombrables services à la vie (…). C’est une ressource cruciale qu’on ne peut plus ignorer», rappelait l’Agence européenne de l’environnement (AEE) en janvier dernier (dans le JDLE). Les bactéries et champignons assurent en effet des fonctions essentielles comme la biodégradation de la matière organique, la production de nutriments pour les plantes, la fixation d’azote, la dégradation des polluants, etc. Avec l’explosion de la démographie, en milieu urbain surtout, les sols sont recouverts par des infrastructures toujours plus nombreuses, ce qui a pour effet de les «imperméabiliser». Ainsi recouvert, le sol ne peut plus remplir ses fonctions naturelles (dans le JDLE). L'eau ne peut ni s'infiltrer, ni s'évaporer, le ruissellement s'accentue, avec parfois pour conséquence des inondations catastrophiques, explique la Commission européenne. L’artificialisation des sols s'accompagne également d'une fragmentation et d'un cloisonnement des milieux naturels, défavorables à de nombreuses espèces. Elle concourt à l'augmentation des déplacements et donc à celle des émissions de polluants et gaz à effet de serre. Entre 2000 et 2006, l'augmentation moyenne des surfaces artificielles a été de 3% dans l'UE. C'est en Irlande, à Chypre et en Espagne que cette augmentation a été la plus marquée (respectivement 14%, 14% et 15%), précise le communiqué publié le 23 mai. En France, les espaces artificialisés atteignent 9,4% du territoire en 2008, soit 5,1 millions d'hectares, selon l’Insee. Les mesures d’urbanisme prises dans le cadre des lois Grenelle n’étant pas encore appliquées, il est encore difficile de mesurer leurs effets sur l’imperméabilisation des sols. Pour l’instant, il n'existe aucun corpus législatif ni aucune réglementation visant spécifiquement la biodiversité des sols. La Commission a pourtant présenté en 2006, avec le soutien du Parlement européen, une proposition de directive-cadre sur le sujet. Mais en janvier 2008, une minorité de blocage (constituée de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne, de l’Autriche, des Pays-Bas et de la France) s’est opposée à l’adoption du texte, notamment en raison des coûts de mise en œuvre des obligations qui en découleraient. En attendant que les Etats se mettent d’accord, et sans vouloir mettre un terme aux activités économiques ou à la modernisation des infrastructures, la Commission propose dans son rapport une approche en trois volets. Le premier vise l’amélioration de l'aménagement du territoire ou le réexamen des subventions «négatives» qui encouragent indirectement l'imperméabilisation des sols. Le second suggère la mise en œuvre de mesures d'atténuation afin de limiter les dommages lorsque l'imperméabilisation des sols ne peut être évitée. Il s'agit par exemple de recourir à des revêtements perméables au lieu de l'asphalte ou du ciment classiques, ou de prévoir des toitures végétales. Les surfaces perméables peuvent améliorer les capacités de drainage du sol recouvert. Elles jouent donc un rôle non négligeable dans la prévention des inondations, puisqu’elles peuvent réduire la quantité et la vitesse de l’eau qui s’écoule. Cependant, ces surfaces ne peuvent pas être considérées comme des méthodes de «protection» du sol, car toutes les techniques nécessitent que l’on retire 30 centimètres de couche de terre pour les remplacer par des gravats, rappelle le rapport de la Commission. En ce qui concerne les toitures vertes, technique qui consiste à recouvrir le toit des bâtiments d'un substrat végétalisé, celles-ci ne peuvent pas à proprement parler être classées comme «instruments de réduction de l’imperméabilisation des sols». Elles ont surtout pour but de compenser la perte de terres recouvertes par l’asphalte en offrant de nouveaux espaces verts qui rafraichissent l’air des villes denses. Leur capacité de rétention hydraulique est intéressante: les toitures vertes rejettent nettement moins d'eau que les toitures traditionnelles lors d'averses intenses et la qualité des eaux rejetées est également meilleure. Inconvénient: les coûts restent élevés, tant de mise en place que d’entretien, surtout dans les pays où peu d’entrepreneurs les proposent. Le rapport de la Commission note également des inconvénients liés au climat. Les toitures vertes ne résistent pas bien aux vents forts. Le troisième axe proposé par les rapporteurs se concentre sur la mise en place de mesures de compensation permettant de compenser partiellement les pertes de sols dans une zone par d'autres mesures réalisées ailleurs. «Ces mesures peuvent se présenter sous la forme de paiements, comme dans la République tchèque et en Slovaquie, ou d'actions de remise en état de sols déjà imperméabilisés. Des exemples de bonnes pratiques ont notamment été observés à Dresde et à Vienne», peut-on lire dans le communiqué. Le rapport sera officiellement présenté le 25 mai à l'occasion de la conférence consacrée à la Semaine verte.
Modifié il y a 9 ans, le vendredi 31 juillet 2015 à 09:39
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carmencitalarevoila (clôturé)
il y a 9 ans
Je réponds aussi à ton post au sujet de l'urbanisme Dans ma ville de Hyères, on commence à en avoir assez des constructions, la dernière comprend 60 appartements dont de très grands de standing, prix 400 000 euros déjà tous vendus Et même pas de piscine...........MDR Bon, ça se comprend, les retraités de France et de Navarre viennent tous chercher le soleil Le hic est tout de même qu'il y a l'obligation des maires, de construire des logements sociaux au dessus d'un certain nombre d'habitants. Donc recrudescence des cambriolages par la même occasion, car malheureusement sans faire de discrimination, quand on construit en réservant 80% pour loger des ROMS, bien entendu il vaut mieux ne pas laisser ses portes ou fenêtres ouvertes tant pis s'il fait trop chaud. Donc on installe la climatisation, qui dégage de l'air chaud et voilà comment on réchauffe la planète Et vous marrez pas bande de oufs
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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "sibelius"Oh, s'il n'y avait que les Roms .. mais hélas, loin de là ! Et je ne dénoncerai pas une certaine Vicomtesse, une certaine autre Marquise, pas plus qu'un Avocat, etc .. Ni certaines méthodes policières ... ou alors, dans le creux de l'oreille ... (bon, ça, je peux : il est mort, donc .. " A un directeur de supermarché : On vous a volé combien de caisses de champagne ? 10 ? ha ... ben, ça ne vous fait rien si on déclare qu'on vous en a volé 12 ? .. et vous nous donnez 2 caisses .. ? .. Non ? ha mince .. alors, je crains bien qu'on n'arrive pas à retrouver les voleurs .. " L'homme qui a vu l'homme qui a vu la bête.... Calomniez il en restera toujours quelque chose
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http://www.environnement-magazine.fr/presse/environnement/actualites/5308/ Chimie verte Global Bioenergies prévoit sa première usine d’isobutène biosourcé en 2018 22 mai 2015 Global Bioenergies et la coopérative Cristal Union créent une co-entreprise pour industrialiser et commercialiser le procédé de production biologique d’isobutène. Global Bioenergie s’associe avec la coopérative Cristal Union. Le projet de cette co-entreprise, baptisée IBN-One, est de construire la première usine d’isobutène produit par des bactéries, d’une capacité de 50 000 t/an. Deux sites de Cristal Union sont déjà pressentis pour accueillir cette unité, soit à Pomacle-Bazancourt, dans la Marne, soit à Arcis-sur-Aube (Aube). « Ces deux sites ont la capacité de fournir près de 200 000 t/an de matière première, qui sera transformée par IBN-One en isobutène », indique Xavier Astolfi, directeur général adjoint de Cristal Union. Pour l’instant, les deux associés ont investi 1 million d’euros pour mener un avant-projet détaillé. Dès 2016, les études d’ingénierie devraient démarrer, puis la construction, pour un démarrage en 2018 après un investissement global de 100 millions d’euros, ouvert à d’autres partenaires. Pour l’instant, Global Bioenergies exploite avec succès son pilote de 10 t/an, installé dans les locaux d’ARD, sur le site de Pomacle-Bazancourt. La société, créée en 2008, vient de livrer le premier lot d’isobutène transformé en isooctane à son partenaire Audi. « Nous construisons également un démonstrateur industriel de 100 t/an sur le site pétrochimique de Leuna, en Allemagne », complète Marc Delcourt, fondateur et PDG de Global Bioenergies. ( bon .. on verra bien .. Cristal Union, il me semble bien que c'est un fabricant de sucre de betterave)
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Merci Sibelius pour toutes ces contributions. Le topic serait vite passé dans l'oublie sans toi :/ Mais, te voyant autant engagée (et informée sur le sujet, j'aimerais savoir ta position concernant le rapport écologie/élevage ? Et oui, tu sais que c'est un sujet qui me tient à coeur !
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Citation de "sibelius"sommet des consciences pour le climat Un "sommet des consciences pour le climat" pour un accord à Paris en décembre Le climat, « why do I care » (« pourquoi je m'en précupe ») était le mot d'ordre de ce sommet, auquel ont participé l'eecrétaire général des Nations unies Kofi Annan, le Bangladais Muhammad Yunus, pionnier du microcrédit et prix Nobel de la paix 2006, ou encore le patriarche orthodoxe Bartholomée. « Attention à ce que le fatalisme des uns ne développe pas le fanatisme des autres ! Voilà ce qui se joue à Paris : c'est la paix ou le conflit. Nous allons choisir la paix », a-t-il lancé. Le Bourget, près de Paris, accueillera du 30 novembre au 11 décembre la Conférence mondiale sur le climat, qui réunira 196 pays sous l'égide de l'ONU, avec pour objectif de limiter à 2 °C la hausse du thermomètre global. "... avec pour objectif de limiter à 2°C la hausse du thermomètre global" C'est mignon (ou pas)... se fixer des objectifs quantifiés pour une chose aussi globale que l'écologie... On dirait un chef d'entreprise qui donne des objectifs à atteindre à ses commerciaux Ou un président parlant du chômage dans son pays. Il ne me semble pas qu'aborder les choses sous cet angle amène à des changements profonds ! Je ne dénigre pas non plus les initiatives de ce genre, bien au contraire. Si les têtes dirigeantes s'entretiennent sur ce genre de sujets, ça ne peut qu'amener à des évolutions en faveur de l'écologie. Je dis juste que ça ressemble à des gens à responsabilités qui savent qu'ils se doivent d'aborder le sujet de l'écologie, mais qui ne le ressentent pas vraiment :$
Modifié il y a 9 ans, le jeudi 30 juillet 2015 à 13:39
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Comme l'a signalé un Smailien, voici un lien vers un très bon documentaire sur le fameux Continent de Plastique :
http://www.novaplanet.com/novamag/41407/un-documentaire-sur-le-continent-de-plastique
Avec l'effet circulaire des courants marins, au beau milieu des océans de la planète, des morceaux de plastique flottent en d'immenses masses de déchets. Formant un véritable continent de plastique au milieu des océans. Une prise de conscience commune est donc nécessaire et c’est ce à quoi œuvre l'expédition scientifique 7° Continent, qui s'est rendue en 2013 dans le gyre (tourbillon de courants marins) du Pacifique Nord. Le constat visuel et scientifique y est alarmant. C'est sur 6 fois la taille de la France que nous y trouvons 5kg de Plastique pour 1Kg de Plancton…
Grâce à un financement de crowdfunding, une expédition a pu être menée sur place. Il en découle un documentaire qui nous révèle qu’aucun océan n’est préservé par la présence massive de plastiques (8 à 10 millions de tonnes déversées par an, plusieurs centaines de millions de tonnes identifiées comme à la surface d’un océan)…ces plastiques véhiculent des perturbateurs endocriniens, métaux lourds et autres polluants, et sont autant de pièges de biodiversité pour les poissons, mammifères marins et oiseaux qui les avalent.
Ce documentaire est un document particulièrement important à l’heure où Paris accueille la conférence sur le climat ParisClimat2015, et ce sont les prises de consciences collectives qui permettent d’influer dans des débats souvent trop politiques et pas assez citoyens.
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Nourrir L'humanité - Les Grands Problèmes De L'agriculture Mondiale Au Xxie Siècle, de Bruno Parmentier : Un très bon livre ! (et pas cher, ce qui ne gâte bien ) ( Editions La Découverte )
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