romeo-juliette

Amour espoir

il y a 9 ans
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Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

Tu es mortelle dans ta mémoire immortelle
Tu es partie mais ta mémoire repose en moi
comme dans le reposoir d'une divine chapelle
Je te suis resté fidèle dans l'amour et l'espoir.

Où que tu sois, préserve en toi mon image
Garde l'amour qui nous a fait un temps rêver
Garde l'espoir de vivre, garde ta foi qui délivre
l'âme immortelle de la mortalité nous sauver

L'espoir, lumière qui nous illumine, nous guide
L'amour, rayon de soleil, liqueur qui nous enivre
La foi, notre prière au plus profond de nous-mêmes
Trésors inestimables plus jamais ne nous quittent !

Si un jour le hasard te fait reposer
tes pieds de voyageuse fatiguée
Lis et relis ces quelques vers
que je hasarde pour toi mon aimée

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

vraiment très très très joli mon roméo

(k)

Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "morganna"vraiment très très très joli mon roméo

(k)


Merci
Bonne nuit bisous

Photo de davibilitus
davibilitus il y a 9 ans

Style intéressant. Joli.

Photo de un.regard.et....plouf
un.regard.et....plouf il y a 9 ans

Citation de "romeo-juliette"Tu es mortelle dans ta mémoire immortelle
Tu es partie mais ta mémoire repose en moi
comme dans le reposoir d'une divine chapelle
Je te suis resté fidèle dans l'amour et l'espoir.

Où que tu sois, préserve en toi mon image
Garde l'amour qui nous a fait un temps rêver
Garde l'espoir de vivre, garde ta foi qui délivre
l'âme immortelle de la mortalité nous sauver

L'espoir, lumière qui nous illumine, nous guide
L'amour, rayon de soleil, liqueur qui nous enivre
La foi, notre prière au plus profond de nous-mêmes
Trésors inestimables plus jamais ne nous quittent !

Si un jour le hasard te fait reposer
tes pieds de voyageuse fatiguée
Lis et relis ces quelques vers
que je hasarde pour toi mon aimée



Bonsoir toi
Merci ... je vais m'endormir avec la tête pleine de rêves <-)

Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "un.regard.et....plouf"Citation de "romeo-juliette"Tu es mortelle dans ta mémoire immortelle
Tu es partie mais ta mémoire repose en moi
comme dans le reposoir d'une divine chapelle
Je te suis resté fidèle dans l'amour et l'espoir.

Où que tu sois, préserve en toi mon image
Garde l'amour qui nous a fait un temps rêver
Garde l'espoir de vivre, garde ta foi qui délivre
l'âme immortelle de la mortalité nous sauver

L'espoir, lumière qui nous illumine, nous guide
L'amour, rayon de soleil, liqueur qui nous enivre
La foi, notre prière au plus profond de nous-mêmes
Trésors inestimables plus jamais ne nous quittent !

Si un jour le hasard te fait reposer
tes pieds de voyageuse fatiguée
Lis et relis ces quelques vers
que je hasarde pour toi mon aimée



Bonsoir toi
Merci ... je vais m'endormir avec la tête pleine de rêves <-)


Bonne nuit et jolis rêves

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

Seule ombre s'évaporant sur les pontons abandonnés,
les flots clapotent, sourds et rieurs, à mes pieds.
Les volutes aurore des brumes matinales alanguies
se meuvent sensuelles à la surface du miroir de nos vies.

Ma robe se perd sur les lattes de bois noir léché
laissant mes doigts révéler à l'eau ton visage dissipé.
Gravé à jamais en mon sein, caryatide je subsisterai
attendant ton retour ou ton bonheur pour me libérer.

L'esprit vide de toutes pensées et mon corps dispos,
le froid hiver entrera serpentaire en mon coeur esseulé
Laissant pour seul subsistant ton nom en lettres sang
battant éternellement chaud au coeur de l'ange absent.



Modifié il y a 9 ans, le jeudi 17 septembre 2015 à 11:42

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

J ai rêvé, assise sur mon balcon
Que le vent me chantait ton nom
Sussurré au creux de mon oreille
Mon coeur en émoi mon âme en éveil
J ai fermé les yeux sur l immensité
Aspirant à respirer ta fragrance dorée
L herbe grasse dansant devant moi
Pareille à la caresse de tes doigts
L océan battant mesure ouragan
Comme nos coeurs liés passionnément
La flamme des bougies frétillant
Au son de nos rires de nouveau enfants
J ai rêvé dans le bruit silencieux
Des oiseaux des nuages et du bleu
Bercée par l ivresse du sentiment
Ivre de bonheur en attente déchirant
J ai rêvé, amour, assise sur mon balcon
Qu un temps se mêlaient nos horizons.

Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

commedia

J'ai dansé sur les rais du soleil levant
et chuté sur les neiges de l'hiver mourant
j'ai tenté d'attrapper les poussières du temps
sur les ailes immortelles d'un cheval volant
j'ai voulu et espéré tant de tous venants
j'ai perdu et étiolé trop de faux semblants

Virevolteuse de mi temps, libellule de printemps
aérienne et translucide je reste à présent
mon coeur bat, mes yeux voient, peu de sang
une âme a croisé mon chemin il y a longtemps
je ne suis ce que je voudrais mais ce que je sens
sylphide improbable attendant son éphèbe amant

Le feu a brûlé la terre en la dominant
la glace a gelé les enfers en se soumettant
Improbables rencontres du jour et nuit désirants
Arachnéenne toile de désirs et de sentiments
l'existence recèle moults facettes de changements
mais toujours mon coeur vers toi impatient.


Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

L'été se meurt, reviendras-tu ?

Tu es partie début du printemps trouver ton bonheur,
me disant ... mais tu es toujours dans mon cœur.
Le printemps se meurt et déjà l'automne tue l'été !
Ainsi le temps passe sans que tu te sois manifestée
J'attend toujours un signe de toi du lointain des horizons.
L'attente toujours avec crainte de l'hiver et frissons.
Reviens-moi vite, Oh amour, déjà je me meurs
Reviens me brûler encore de ton ardent amour feu.

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

J'ai erré des jours et des nuits, transie
avançant vers ton visage au creux des nuits
J'ai plongé encore et encore dans les vies
cherchant sans cesse à retrouver l'envie

Tu as ramé des nuits sur les flots déchainés
brassant le vide éternel sous tes pieds
Tu as volé d'espaces en vides saturés
appelant sans cesse la voie où me retrouver

Les flots s'écrasant sur les falaises mortes
paraissent rumeurs que le temps emporte
Le vent soufflera encore les saisons fortes
avant que la tourmente ne ferme sa porte

Combien est cruel le temps qui sépare les amants
l'on entends leurs cris au travers des champs
par delà les flots et les faux semblants
âmes et coeurs qui se cherchent déchirants.

Photo de rrloman
rrloman il y a 9 ans

Citation de "morganna"J'ai erré des jours et des nuits, transie
avançant vers ton visage au creux des nuits
J'ai plongé encore et encore dans les vies
cherchant sans cesse à retrouver l'envie

Tu as ramé des nuits sur les flots déchainés
brassant le vide éternel sous tes pieds
Tu as volé d'espaces en vides saturés
appelant sans cesse la voie où me retrouver

Les flots s'écrasant sur les falaises mortes
paraissent rumeurs que le temps emporte
Le vent soufflera encore les saisons fortes
avant que la tourmente ne ferme sa porte

Combien est cruel le temps qui sépare les amants
l'on entends leurs cris au travers des champs
par delà les flots et les faux semblants
âmes et coeurs qui se cherchent déchirants.



Magnifique ....

Photo de morganna
morganna il y a 9 ans

Citation de "rrloman"Citation de "morganna"J'ai erré des jours et des nuits, transie
avançant vers ton visage au creux des nuits
J'ai plongé encore et encore dans les vies
cherchant sans cesse à retrouver l'envie

Tu as ramé des nuits sur les flots déchainés
brassant le vide éternel sous tes pieds
Tu as volé d'espaces en vides saturés
appelant sans cesse la voie où me retrouver

Les flots s'écrasant sur les falaises mortes
paraissent rumeurs que le temps emporte
Le vent soufflera encore les saisons fortes
avant que la tourmente ne ferme sa porte

Combien est cruel le temps qui sépare les amants
l'on entends leurs cris au travers des champs
par delà les flots et les faux semblants
âmes et coeurs qui se cherchent déchirants.



Magnifique ....


(k)

Photo de romeo-juliette
romeo-juliette (clôturé) il y a 9 ans

Souvenir (Lamartine)

En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !

Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.

Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.

Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.

Non, tu n'as pas quitté mes yeux;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.

Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.

Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !

Du zéphyr l'amoureuse haleine
Soulève encor tes longs cheveux ;
Sur ton sein leurs flots onduleux
Retombent en tresses d'ébène,

L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.

Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.

C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage;
L'onde réfléchit ton image;
Le zéphyr m'apporte ta voix.

Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.

Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.

Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.

C'est ta main qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.

Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.

Pendant mon sommeil, si ta main
De mes jours déliait la trame,
Céleste moitié de mon âme,
J'irais m'éveiller dans ton sein !

Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !


Participants

Photo de morganna Photo de davibilitus Photo de un.regard.et....plouf Photo de rrloman