ancyre

Défaite .

il y a 8 ans
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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"nous pouvons dans un premier temps remplacer le premeir mot "guerre" par "lutte" si tu veux Anna. tu fais la correction?

Oui d'accord.


j'ai vu la correction, mais nous pouvons chercher encore dans une autre voie, garder le premier mot "guerre" et changer au contraire le deuxième, faire en sorte que la violence de ton poème reste indemne. Le mot : lutte affaiblit la tension du poème, non? qu'en penses tu?

En effet, je trouve que lutte n'est pas assez fort. Je veux que le poème reste violent. J'avais bien vu cette répétition du mot. Mais je ne trouvais pas d'autre mot.


oui alors on va garder le premier "guerre" mais on va essayer de trouver un autre mot pour le deuxième, j'avais quelques idées mais je ne les ai pas notées! je devrais les retrouver. Tu es du genre violent ma petit Anna! alors que moi je m'adoucis maintenant!


Bientôt je ne pourrai plus chevaucher avec toi. Tu t'adoucis trop! Même le cheval va devoir être cravaché!


mais dis donc toi! c'est comme ça que tu parles à ton doux cheval! tu vas voir je vais galoper si vite que je vais m'envoler, et tant pis pour toi si tu as le vertige!


Tu crois? Je vais m'agripper à ta crinière . Impossible de le désarçonner!


je commence à me demander si je ne vais redevenir le cavalier! et toi tu monteras ce beau cheval volant!


Oui mais si tu redeviens le cavalier soit le cavalier invincible et impitoyable.


ah oui je vois ce que tu tu veux! hé hé hé! et toi tu seras une guerrière aussi? et tu monteras le cheval blanc blanc?

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

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Oui d'accord.


j'ai vu la correction, mais nous pouvons chercher encore dans une autre voie, garder le premier mot "guerre" et changer au contraire le deuxième, faire en sorte que la violence de ton poème reste indemne. Le mot : lutte affaiblit la tension du poème, non? qu'en penses tu?

En effet, je trouve que lutte n'est pas assez fort. Je veux que le poème reste violent. J'avais bien vu cette répétition du mot. Mais je ne trouvais pas d'autre mot.


oui alors on va garder le premier "guerre" mais on va essayer de trouver un autre mot pour le deuxième, j'avais quelques idées mais je ne les ai pas notées! je devrais les retrouver. Tu es du genre violent ma petit Anna! alors que moi je m'adoucis maintenant!


Bientôt je ne pourrai plus chevaucher avec toi. Tu t'adoucis trop! Même le cheval va devoir être cravaché!


mais dis donc toi! c'est comme ça que tu parles à ton doux cheval! tu vas voir je vais galoper si vite que je vais m'envoler, et tant pis pour toi si tu as le vertige!


Tu crois? Je vais m'agripper à ta crinière . Impossible de le désarçonner!


je commence à me demander si je ne vais redevenir le cavalier! et toi tu monteras ce beau cheval volant!


Oui mais si tu redeviens le cavalier soit le cavalier invincible et impitoyable.


ah oui je vois ce que tu tu veux! hé hé hé! et toi tu seras une guerrière aussi? et tu monteras le cheval blanc blanc?


Naturelle,ent je monterai ke cheval blanc, il est à moi ce cheval.

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

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Oui d'accord.


j'ai vu la correction, mais nous pouvons chercher encore dans une autre voie, garder le premier mot "guerre" et changer au contraire le deuxième, faire en sorte que la violence de ton poème reste indemne. Le mot : lutte affaiblit la tension du poème, non? qu'en penses tu?

En effet, je trouve que lutte n'est pas assez fort. Je veux que le poème reste violent. J'avais bien vu cette répétition du mot. Mais je ne trouvais pas d'autre mot.


oui alors on va garder le premier "guerre" mais on va essayer de trouver un autre mot pour le deuxième, j'avais quelques idées mais je ne les ai pas notées! je devrais les retrouver. Tu es du genre violent ma petit Anna! alors que moi je m'adoucis maintenant!


Bientôt je ne pourrai plus chevaucher avec toi. Tu t'adoucis trop! Même le cheval va devoir être cravaché!


mais dis donc toi! c'est comme ça que tu parles à ton doux cheval! tu vas voir je vais galoper si vite que je vais m'envoler, et tant pis pour toi si tu as le vertige!


Tu crois? Je vais m'agripper à ta crinière . Impossible de le désarçonner!


je commence à me demander si je ne vais redevenir le cavalier! et toi tu monteras ce beau cheval volant!


Oui mais si tu redeviens le cavalier soit le cavalier invincible et impitoyable.


ah oui je vois ce que tu tu veux! hé hé hé! et toi tu seras une guerrière aussi? et tu monteras le cheval blanc blanc?


Naturelle,ent je monterai ke cheval blanc, il est à moi ce cheval.


ça se défend, oui, en fait m'imagier en cheval monté par toi, visiblement ça ne m'inspire pas!je n'aime pas être monté! hé hé hé

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

je vais partir dormir! toi aussi je pense, tu travailles demain! et tu dois te lever tôt.

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

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Oui d'accord.


j'ai vu la correction, mais nous pouvons chercher encore dans une autre voie, garder le premier mot "guerre" et changer au contraire le deuxième, faire en sorte que la violence de ton poème reste indemne. Le mot : lutte affaiblit la tension du poème, non? qu'en penses tu?

En effet, je trouve que lutte n'est pas assez fort. Je veux que le poème reste violent. J'avais bien vu cette répétition du mot. Mais je ne trouvais pas d'autre mot.


oui alors on va garder le premier "guerre" mais on va essayer de trouver un autre mot pour le deuxième, j'avais quelques idées mais je ne les ai pas notées! je devrais les retrouver. Tu es du genre violent ma petit Anna! alors que moi je m'adoucis maintenant!


Bientôt je ne pourrai plus chevaucher avec toi. Tu t'adoucis trop! Même le cheval va devoir être cravaché!


mais dis donc toi! c'est comme ça que tu parles à ton doux cheval! tu vas voir je vais galoper si vite que je vais m'envoler, et tant pis pour toi si tu as le vertige!


Tu crois? Je vais m'agripper à ta crinière . Impossible de le désarçonner!


je commence à me demander si je ne vais redevenir le cavalier! et toi tu monteras ce beau cheval volant!


Oui mais si tu redeviens le cavalier soit le cavalier invincible et impitoyable.


ah oui je vois ce que tu tu veux! hé hé hé! et toi tu seras une guerrière aussi? et tu monteras le cheval blanc blanc?


Naturelle,ent je monterai ke cheval blanc, il est à moi ce cheval.


ça se défend, oui, en fait m'imagier en cheval monté par toi, visiblement ça ne m'inspire pas!je n'aime pas être monté! hé hé hé

Tu es le cavalier, tu redeviens le cavalier. Tu fais comme tu veux mais le cheval est à moi.

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

Je te propose cette nouvelle version, j'ai remis le premier guerre, et remplacé le deuxième par cimeterre, dis moi si ça te va Anna.



Tu apparus. L'hiver montrait sa face austère
Et ce visage ardu répugnait aux plus braves.
La bise avait mordu dans la nuit la joue hâve
D'un soleil blêmissant qui émergeait de terre.
Pour peu que le foyer de la guerre faiblisse,
Ardemment, les matins lançaient leurs cimeterres
De glace et de frimas; le jour entrait en lice.
Ce fut alors que tu frappas au col l'hiver
Et le frappas si fort, ce vieux cheval de bât,
Que, après-coup, on crut entendre par derrière
Battre le coeur des jours qui prenaient peur de toi.

Modifié il y a 8 ans, le vendredi 1 avril 2016 à 21:50

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.

Modifié il y a 8 ans, le vendredi 1 avril 2016 à 21:49

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "annonciation"Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.


Je suis satisfaite que tu retrouves ta violence, qu'elle ne t' ai pas abandonnée.
Je trouve que ton rêve est très puissant, il rappelle un tsunami. Mais aussi je sais pas ce qui se passe mais tu as eu l'pouvoir d'empêcher cette vague de t'emporter. Elle s'est juste déposée à tes pieds. C'était inquiétant puis étrange en même temps. C'est ta force une force mentale qui a arrêté la vague.

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.


Je suis satisfaite que tu retrouves ta violence, qu'elle ne t' ai pas abandonnée.
Je trouve que ton rêve est très puissant, il rappelle un tsunami. Mais aussi je sais pas ce qui se passe mais tu as eu l'pouvoir d'empêcher cette vague de t'emporter. Elle s'est juste déposée à tes pieds. C'était inquiétant puis étrange en même temps. C'est ta force une force mentale qui a arrêté la vague.


Ce type de rêve- des eaux puissantes et furieuses, m'environnant, détruisant tout, tout autre de moi, me menaçant même, mais finalement ne s'en prenant jamais à moi, j'en faisais de temps en temps, puis ces rêves ont disparu. et là, soudain, celui là, sans doute le plus puissant. j'y vois plutôt une violence intérieure qui ne s'en prend pas à moi, puisqu'elle est en moi. je pense que c'est toi, qui hier, m'a remis dans cette puissance-là.
et le poème, qu'est ce que tu en penses?

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.


Je suis satisfaite que tu retrouves ta violence, qu'elle ne t' ai pas abandonnée.
Je trouve que ton rêve est très puissant, il rappelle un tsunami. Mais aussi je sais pas ce qui se passe mais tu as eu l'pouvoir d'empêcher cette vague de t'emporter. Elle s'est juste déposée à tes pieds. C'était inquiétant puis étrange en même temps. C'est ta force une force mentale qui a arrêté la vague.


Ce type de rêve- des eaux puissantes et furieuses, m'environnant, détruisant tout, tout autre de moi, me menaçant même, mais finalement ne s'en prenant jamais à moi, j'en faisais de temps en temps, puis ces rêves ont disparu. et là, soudain, celui là, sans doute le plus puissant. j'y vois plutôt une violence intérieure qui ne s'en prend pas à moi, puisqu'elle est en moi. je pense que c'est toi, qui hier, m'a remis dans cette puissance-là.
et le poème, qu'est ce que tu en penses?


Oui ça me convient. C'est vrai que ce mot guerre était repris deus fois d'un vers à l'autre. Ça change un peu le poème, mais l'ensemble reste ce que je souhaitais.

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annonciation (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.


Je suis satisfaite que tu retrouves ta violence, qu'elle ne t' ai pas abandonnée.
Je trouve que ton rêve est très puissant, il rappelle un tsunami. Mais aussi je sais pas ce qui se passe mais tu as eu l'pouvoir d'empêcher cette vague de t'emporter. Elle s'est juste déposée à tes pieds. C'était inquiétant puis étrange en même temps. C'est ta force une force mentale qui a arrêté la vague.


Ce type de rêve- des eaux puissantes et furieuses, m'environnant, détruisant tout, tout autre de moi, me menaçant même, mais finalement ne s'en prenant jamais à moi, j'en faisais de temps en temps, puis ces rêves ont disparu. et là, soudain, celui là, sans doute le plus puissant. j'y vois plutôt une violence intérieure qui ne s'en prend pas à moi, puisqu'elle est en moi. je pense que c'est toi, qui hier, m'a remis dans cette puissance-là.
et le poème, qu'est ce que tu en penses?


Oui ça me convient. C'est vrai que ce mot guerre était repris deus fois d'un vers à l'autre. Ça change un peu le poème, mais l'ensemble reste ce que je souhaitais.


la violence de ton poème est conservée et le premier "guerre" est conservé. ou alors tu peux revenir à la version "lutte"

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"Je t'écris ici ce rêve Anna. C'est étrange, cette violence en moi revient maintenant avec intensité. je croyais qu'en vieillissant elle irait en s'atténuant, non, elle devient plus vaste encore qu'elle ne le fut jamais. Je t'offre cette violence que tu cherches à réveiller en moi. J'aime que tu aies en toi ces poèmes tendus, ces poèmes que ton métier difficile t'inspire, toi qui vois des personnes mourir là-bas dans ton service d'urgence dont tu as la responsabilité.
Je t'admire, j'aime que tu m'aiguillonnes, afin que jamais je n'oublie en moi cette violence ancestrale.

Ce fut un rêve d'eau.

Je suis face à L'Océan. A gauche, à l'horizon, je vois les eaux se lever progressivement en se déplaçant latéralement vers la droite comme si l'Océan suivait un courant parallèle à la côte. Les eaux se lèvent de plus en plus, cette élévation progresse de proche en proche, toujours vers la droite. Cette montagne mouvante d'eau se rapproche de moi. Je vois des courants d'eau se déplacer au sein de cette masse colossale et furieuse, des bords écumants frisent sur les crêtes, un grondement sourd envahit toute l'atmosphère, l'inquiétude me saisit. Soudain du sein de cette muraille d'eau sombre surgissent des boules de feu qui explosent dans un bruit sec et fracassant, qui projettent des geysers tout autour, dans l'air et sur la côte. La montagne est face à moi maintenant, l'eau à son pied est encore calme ; cela ne dure pas, je vois l'eau commencer à se soulever, je me sauve; je me réfugie dans un immeuble collectif, je me pense à l'abri, mais levant la tête je vois une énorme vague suspendue dans les cieux à près de cent mètres au dessus de moi. La vague immobile hésite puis s'écroule sur moi. Moment noir. Suis-je mort? Non, à l'instant le soleil luit, la vague a tout emporté, mais moi elle n'a fait que me mouiller les pieds. La vague a disparu.


Je suis satisfaite que tu retrouves ta violence, qu'elle ne t' ai pas abandonnée.
Je trouve que ton rêve est très puissant, il rappelle un tsunami. Mais aussi je sais pas ce qui se passe mais tu as eu l'pouvoir d'empêcher cette vague de t'emporter. Elle s'est juste déposée à tes pieds. C'était inquiétant puis étrange en même temps. C'est ta force une force mentale qui a arrêté la vague.


Ce type de rêve- des eaux puissantes et furieuses, m'environnant, détruisant tout, tout autre de moi, me menaçant même, mais finalement ne s'en prenant jamais à moi, j'en faisais de temps en temps, puis ces rêves ont disparu. et là, soudain, celui là, sans doute le plus puissant. j'y vois plutôt une violence intérieure qui ne s'en prend pas à moi, puisqu'elle est en moi. je pense que c'est toi, qui hier, m'a remis dans cette puissance-là.
et le poème, qu'est ce que tu en penses?


Oui ça me convient. C'est vrai que ce mot guerre était repris deus fois d'un vers à l'autre. Ça change un peu le poème, mais l'ensemble reste ce que je souhaitais.


la violence de ton poème est conservée et le premier "guerre" est conservé. ou alors tu peux revenir à la version "lutte"


Non c'est bien d'avoir gardé le premier guerre, lutte n'étais pas assez puissant, il affaiblissait le poème.

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oui je trouvais aussi, alors tu vas monter le beau cheval blanc?

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ancyre (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "annonciation"oui je trouvais aussi, alors tu vas monter le beau cheval blanc?

Ah mais oui. Je vais le monter, c'est mon cheval blanc. Tu as vu son regard? Il a l'air si doux. Il va m''emporter loin, très loin, vers des destinations lointaines. Peut être qu'il acceptera que tu le montes aussi. Je lui en toucherai un mot!

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Citation de "ancyre"Citation de "annonciation"oui je trouvais aussi, alors tu vas monter le beau cheval blanc?

Ah mais oui. Je vais le monter, c'est mon cheval blanc. Tu as vu son regard? Il a l'air si doux. Il va m''emporter loin, très loin, vers des destinations lointaines. Peut être qu'il acceptera que tu le montes aussi. Je lui en toucherai un mot!


ton langage m'indique que tu t'affranchis Anna! bientôt c'est moi qui te suivrai dans tes conquêtes!


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