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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "lumiererouge"Citation de "morganna"A la nuit tombée je te prendrai au creux de ma main
aussi léger que le verre de vin
sera le goût de ton être à mon palais.
Goûlu et goûteux fruit pourpre défendu
sous la charmille le sceau sera rompu...
Doucereux miel du pélerin aux sens repus,
à la faveur nocturne et ses reflets carmins
enivré par les effluves de jasmin,
les fleurs seront le linceul de ton corps éperdu
au plaisir offert de mes chatteries insolentes.
désolée , mais sincérement boffffffff!!!!!!!!!!
Elle répète inlassablement le même poème depuis des ans. Bloquée dans un trou temporel.
tin..... l'inculte qui passe chez moi...
Tiens tu sors enfin de ton coma.
t'ai je manqué ?
Bien sûr. Tu me connais, non ?
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "lumiererouge"Citation de "morganna"A la nuit tombée je te prendrai au creux de ma main
aussi léger que le verre de vin
sera le goût de ton être à mon palais.
Goûlu et goûteux fruit pourpre défendu
sous la charmille le sceau sera rompu...
Doucereux miel du pélerin aux sens repus,
à la faveur nocturne et ses reflets carmins
enivré par les effluves de jasmin,
les fleurs seront le linceul de ton corps éperdu
au plaisir offert de mes chatteries insolentes.
désolée , mais sincérement boffffffff!!!!!!!!!!
Elle répète inlassablement le même poème depuis des ans. Bloquée dans un trou temporel.
tin..... l'inculte qui passe chez moi...
Tiens tu sors enfin de ton coma.
t'ai je manqué ?
Bien sûr. Tu me connais, non ?
moui le coeur sur la main et l'esprit toujours guilleret
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Viens, allongeons nous à l'ombre des figuiers
à l'âpreté de la guarrigue se fera douce ta peau velourée.
Provocante rondeur à l'éveil de ma convoitise,
ambroisie coulant à même ma gorge soumise.
Entends la complainte des feuilles échauffées ?
Ainsi résonne ma boulimie de tes effluves parfumées
amignonnée par mes doigts avides de ta chair dorée,
rendant ternes les robes des fières lavandes à côté,
étanche la soif en mon sein, sois le fruit de ma satiété.
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dis moi schtroumpfet... de quoi parlent les poèmes ?
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"dis moi schtroumpfet... de quoi parlent les poèmes ?
J'ai la tête ailleurs la poétesse, en ce moment. Je suis injuste avec toi.
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"dis moi schtroumpfet... de quoi parlent les poèmes ?
J'ai la tête ailleurs la poétesse, en ce moment. Je suis injuste avec toi.
Et le jugement hâtif comme toujours.
Est ce juste la peur de se tromper de réponse ?
Peu m'importe.
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"dis moi schtroumpfet... de quoi parlent les poèmes ?
J'ai la tête ailleurs la poétesse, en ce moment. Je suis injuste avec toi.
Et le jugement hâtif comme toujours.
Est ce juste la peur de se tromper de réponse ?
Peu m'importe.
Tu m'agaces.
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"dis moi schtroumpfet... de quoi parlent les poèmes ?
J'ai la tête ailleurs la poétesse, en ce moment. Je suis injuste avec toi.
Et le jugement hâtif comme toujours.
Est ce juste la peur de se tromper de réponse ?
Peu m'importe.
Tu m'agaces.
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Plaisir dansant aux bouts des ces doigts
Luisant vert au contact de tes yeux
Le verre en main ivre de parfums
Moût de raisin mélange au jasmin
Même goût aux palais bords partagés
Lune sera témoin au passage de pèlerin
Corps mouvant inertes nuit à languir
Frappantes effluves vives à l'échange
Frison duel des courants en décharge
De main en main le plaisir en partage.
ihi
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elixir07 (clôturé)
il y a 8 ans
Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
Voilà que, titillé par une envie pressante,
Grassouillet est allé retrouver son amante.
Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
La France est médusée, les Français sont perplexes,
Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
On avait échappé aux frasques de D.S.K.
Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
La posture du dindon cachait un Cupidon.
Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle,
Elles se sont succèdes pour que Monsieur copule.
Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
Il a casé Anne la lèche babouches à la mairie de Paris.
Finie la vie en rose avec sa Valérie,
Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
Jai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con..
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
Que des IMPÔTS nouveaux ajoutés à la liste.
François d’Arabie, chef de l’état islamique Français à les doigts de pieds en éventail avec la lèche babouches à RIO de JANEIRO et le code secret de la bombe atomique dans la poche,
pourvu qu’il le perde pas !
on serait alors dans la merde jusqu’au coup,
moi qui suis plus grand que vous, j’en aurai jusqu’aux genoux !
Bien mon Général !
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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Et où donc est la gourmandise ?
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Citation de "ihi"Plaisir dansant aux bouts des ces doigts
Luisant vert au contact de tes yeux
Le verre en main ivre de parfums
Moût de raisin mélange au jasmin
Même goût aux palais bords partagés
Lune sera témoin au passage de pèlerin
Corps mouvant inertes nuit à languir
Frappantes effluves vives à l'échange
Frison duel des courants en décharge
De main en main le plaisir en partage.
ihi
Bisous poète.... Merci d'être passé chez moi
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freebird57 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "elixir07"Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
Voilà que, titillé par une envie pressante,
Grassouillet est allé retrouver son amante.
Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
La France est médusée, les Français sont perplexes,
Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
On avait échappé aux frasques de D.S.K.
Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
La posture du dindon cachait un Cupidon.
Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle,
Elles se sont succèdes pour que Monsieur copule.
Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
Il a casé Anne la lèche babouches à la mairie de Paris.
Finie la vie en rose avec sa Valérie,
Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
Jai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con..
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
Que des IMPÔTS nouveaux ajoutés à la liste.
François d’Arabie, chef de l’état islamique Français à les doigts de pieds en éventail avec la lèche babouches à RIO de JANEIRO et le code secret de la bombe atomique dans la poche,
pourvu qu’il le perde pas !
on serait alors dans la merde jusqu’au coup,
moi qui suis plus grand que vous, j’en aurai jusqu’aux genoux !
Bien mon Général !
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Super bon
Modifié il y a 8 ans, le dimanche 7 août 2016 à 03:16
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A la fraicheur de ta peau lissée par ta jeunesse
j'avancerai mes doigts usés par le travail funeste,
allongée sur la paille coupée séchant au soleil,
en toute humilité je te tirerai de ton suave sommeil.
Caressant ta ronde courbe aux accents de perfection
attirant tel un écueil les affres de mes tentations.
Je fermerai les yeux à la pénétration de ma dague
laissant s'enfuir de ton corps ton jus en vagues.
j'abreuverai mes lèvres asséchées au sucre de ton baiser
je me rassasierai avec délectation de ton être tout entier.
Le vent sur la peau nue sera le chant de sérénité
d'une extase partagée dans les champs glanés d'été .
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elixir07 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Et où donc est la gourmandise ?
écrit par un sans dent
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