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romeo-juliette (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant
je laisserai ma robe et mon corps aux vents
éphémère aux milles regards changeants
sur ton âme je marcherai à pas de géant.
Mon coeur enserré dans les valses florales
emporté par les chants des blanches vestales
le soleil caressera ma peau fraiche et pâle
miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles
Mon corps goûte aux milles rayons doux de la lune.
Mon âme s'ennivre des chants de ta douce voix.
Mon corps baigne, heureux dans tes caresses nocturnes,
Je me laissant emporter là où mon destin choit
porté par les flots des vagues des mers sans fonds
accompagné du chant des sirènes aux reflets myrifiques
laisse donc ton corps et ton âme, en mes mains fonds
ressent les effets des embruns de poussières magiques
Les mers sont souvent porteuses de mort
Les vagues peuvent t'amener là où tu ne veux pas.
Mais entre tes mains je peux trouver refuge
Ton cœur est le rempart de mes adversité.
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tes adversités qui ne seront que chants et rires cristaux de poussières brillant sous les rais du revers de ma main leur fin je soulignerai et ferai des pans de ma robe un monde sans ire plongeons toi et moi dans le silence du bruit bercés par le ressac des vagues sur les rochers perdons notre chemin dans l'irraison qui nait l'herbe et le ciel comme unique accueillant lit
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verena (clôturé)
il y a 9 ans
Bonjour les poètes... J'aime taquiner la muse à mes heures, moi aussi!rire On m'a coupé les ailes Je ne sais plus voler Contemplant l'hirondelle Je ne puis que l'envier. J'en ai fait des voyages En vrai et en pensées J'ai survolé les nuages Où tu m'accompagnais. Maintenant c'est fini Restent quelques bagages Devenus défraîchis Sous les affres de l'âge...
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Citation de "verena"Bonjour les poètes... J'aime taquiner la muse à mes heures, moi aussi!rire On m'a coupé les ailes Je ne sais plus voler Contemplant l'hirondelle Je ne puis que l'envier. J'en ai fait des voyages En vrai et en pensées J'ai survolé les nuages Où tu m'accompagnais. Maintenant c'est fini Restent quelques bagages Devenus défraîchis Sous les affres de l'âge... heyyy ravie de t'accueillir ici.. très joli texte , merci du partage
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Citation de "verena"Bonjour les poètes... J'aime taquiner la muse à mes heures, moi aussi!rire On m'a coupé les ailes Je ne sais plus voler Contemplant l'hirondelle Je ne puis que l'envier. J'en ai fait des voyages En vrai et en pensées J'ai survolé les nuages Où tu m'accompagnais. Maintenant c'est fini Restent quelques bagages Devenus défraîchis Sous les affres de l'âge... Assis sur les lattes des bancs en bois les souvenirs et les pensées font foi souvent j'ai parcouru les allées des rois et frôlé les frais paysages de bon aloi Mes ailes et mes pieds le temps ont dominé le vent pour compagnon avec tes baisers le soleil pour amant derrière tes rires amusés que de fois ne t'ai-je désiré ... Tout est début et tout est fin éternel recommencement prends ma main nous ne serons jamais seuls jamais en faim toujours au coeur des mains du destin
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romeo-juliette (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "verena"Bonjour les poètes... J'aime taquiner la muse à mes heures, moi aussi!rire On m'a coupé les ailes Je ne sais plus voler Contemplant l'hirondelle Je ne puis que l'envier. J'en ai fait des voyages En vrai et en pensées J'ai survolé les nuages Où tu m'accompagnais. Maintenant c'est fini Restent quelques bagages Devenus défraîchis Sous les affres de l'âge... heyyy ravie de t'accueillir ici.. très joli texte , merci du partage On dirait pas pour les affres de l'âge L'essentiel c'est qu'il nous reste quelques bagage. Pour parvenir sans ambages A vivre sa vie sans trop nous mettre en cage. Et moi un apprenti et piètre poète Tout ce que je sais faire c'est compter toute ma vie des digits Et encore pour un petit bout de temps
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Vautrée dans la merde grasse du poney Je laisserai mon corps aux palefreniers Éphèbes aux milles spermatozoïdes gluants Sur ton âne je me ferais sauter par un géant. Mon cul enserré par les valseuses amorales Emporté par les blancheurs séminales Le sot caressera ma peau pendant qu’il m’empale Et il me laissera de l'argent pour entendre mon râle.
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Citation de "piquenique"Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Vautrée dans la merde grasse du poney Je laisserai mon corps aux palefreniers Éphèbes aux milles spermatozoïdes gluants Sur ton âne je me ferais sauter par un géant. Mon cul enserré par les valseuses amorales Emporté par les blancheurs séminales Le sot caressera ma peau pendant qu’il m’empale Et il me laissera de l'argent pour entendre mon râle. très fin à cette heure... je ne te savais pas poète
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loloh2o (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "piquenique"Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Vautrée dans la merde grasse du poney Je laisserai mon corps aux palefreniers Éphèbes aux milles spermatozoïdes gluants Sur ton âne je me ferais sauter par un géant. Mon cul enserré par les valseuses amorales Emporté par les blancheurs séminales Le sot caressera ma peau pendant qu’il m’empale Et il me laissera de l'argent pour entendre mon râle. très fin à cette heure... je ne te savais pas poète euh sucré ou salé aie aie
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Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "piquenique"Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Vautrée dans la merde grasse du poney Je laisserai mon corps aux palefreniers Éphèbes aux milles spermatozoïdes gluants Sur ton âne je me ferais sauter par un géant. Mon cul enserré par les valseuses amorales Emporté par les blancheurs séminales Le sot caressera ma peau pendant qu’il m’empale Et il me laissera de l'argent pour entendre mon râle. très fin à cette heure... je ne te savais pas poète euh sucré ou salé aie aie j'aurais dit amer
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loloh2o (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "piquenique"Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Vautrée dans la merde grasse du poney Je laisserai mon corps aux palefreniers Éphèbes aux milles spermatozoïdes gluants Sur ton âne je me ferais sauter par un géant. Mon cul enserré par les valseuses amorales Emporté par les blancheurs séminales Le sot caressera ma peau pendant qu’il m’empale Et il me laissera de l'argent pour entendre mon râle. très fin à cette heure... je ne te savais pas poète euh sucré ou salé aie aie j'aurais dit amer coup de blues
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kouig (clôturé)
il y a 9 ans
je m'pouvre et j'ai peur il s'ouvre et derriére nos masques s'entrouvent un lumiére que de nous deux tout ces fantasmes et ces interdits qui s'initient osons on ose charniére d'une vie qui se pêrmet d'aimer oser ne plus s'interdir toutes ces barriéres a tomber.... tirer la charrette cherra ....................... il me trouble...................m'ose a oser..... une autre page..................sa lolita agée avec me cicatrices................................... a se devoilée ouffffffffffffffffffffff est ce qui j'y ai droit....mon assoc et tout ce changement................
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Comme un pompier Débile Pété Sur le Largactil J’épile les ailes Des crocodiles pendus à mes aisselles Émigrés des îles où il n’y a pas de vaisselle J’édenterais une monture Pour dissimuler mon or Point suis-je une âme pure Mais plutôt un gros porc L’annuaire des abonnés du téléphone Indéniablement me passionne Car les pompiers y jouent du trombone. Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin Pon Pin
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kouig (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Allongée dans les herbes grasses du ponant je laisserai ma robe et mon corps aux vents éphémère aux milles regards changeants sur ton âme je marcherai à pas de géant. Mon coeur enserré dans les valses florales emporté par les chants des blanches vestales le soleil caressera ma peau fraiche et pâle miel sur fil d'argent qui tiendra tes râles
clin d'oeil ma belle sourire.........
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