rienousipeu

La thérapie par l'écriture...

il y a 8 ans
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rienousipeu il y a 8 ans

La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !

Modifié il y a 8 ans, le vendredi 13 mai 2016 à 08:50

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immanente (clôturé) il y a 8 ans

Je n'ai pas le temps de te lire, là, tout de suite. mais je reviendrai.
Je veux que tu le gardes ce topic.
Et que tu l'enrichisses.
Et que tu t'y tiennes.
Quelles soient les fulgurances de quelques ennemis inattendus qui viendront ici te déstabiliser.
Tiens.
Je reviens.

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rienousipeu il y a 8 ans

Merci pour avoir compris.

Aucun soucis, je ne supprime jamais un écrit.

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morganna il y a 8 ans

bonjour..

Je suis d'accord, l'écriture est depuis toujours considérée comme thérapie libératrice de la pensée.

Mais pour ton voisin qui n'est pas littéraire, tu pourrais songer s'il n'accroche pas, à explorer les domaines de la peinture ou de la sculpture.
La fin dans cette thérapie étant de faire sortir par les doigts ce que le corps peut renfermer.

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cecil28 (clôturé) il y a 8 ans

bonjour,
Je vais faire échos à morgana , car l'idée est de l'aider par le biais de support qui lui parle à lui..il faut qu'il soit pleinement acteur et qu'il y prenne du plaisir...:).

Sinon je suis admirative des gens qui sont capable d'exprimer tellement de choses par le biais de l'écriture ... ce n'est pas donné à tout le monde ...

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rienousipeu il y a 8 ans

Citation de "morganna"bonjour..

Je suis d'accord, l'écriture est depuis toujours considérée comme thérapie libératrice de la pensée.

Mais pour ton voisin qui n'est pas littéraire, tu pourrais songer s'il n'accroche pas, à explorer les domaines de la peinture ou de la sculpture.
La fin dans cette thérapie étant de faire sortir par les doigts ce que le corps peut renfermer.


Bonjour et merci du partage.

Activité manuelle, voir artistique ( manuelle plus création ) cela a déjà été plus qu'évoqué, mais il y a blocage rapide.

Pourtant avant, il s'était trouvé un but, justement de création en rapport avec le très manuel de son expérience de menuisier et d'ébéniste ; mais il n'a plus de gout à rien.

Il est même dans un automatisme de vie complètement désincarné...n'allant même plus au marché des petits producteurs locaux (pourtant moins cher que la G.D. à qualité égale) pour une alimentation plus saine comme il aime tant.

Demain, justement, je l'emmène avec moi à ce marché...il est d'accord.

Je vais procéder par étapes avec lui, avant de lui proposer l'exercice de l'écriture, car il y a danger avec elle, celui d'aller se fouiller en soi pour tenter de comprendre.

PS : Il faut que je m'absente. Je reviendrai ce soir.

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sakuramanga (clôturé) il y a 8 ans

Bonjour

Sujet très intéressant .

Il n'était pas aisé de trouver les mots juste pour parle de soi , les écrire pour certains cela peut être plus ardu.

C'est pour cela qu'il existe l'art-thérapie qui fait appelle à la création artistique ( les arts plastiques, la danse, le conte,le théâtre, la musique... )

Il suffit de trouver dans quel domaine on aura plus de facilité à s'exprimer.

Beaucoup d'entre nous font appelle à l'art-thérapie ,car bon nombre hésitent à entreprendre une thérapie classique
ou une psychanalyse.

"L’art-thérapie est à éviter en cas de dépression profonde ou de phase de grande excitation. Elle est également
déconseillée aux personnes possédant de grandes dispositions artistiques car rares sont ceux qui acceptent de
mettre leur talent en péril pour mieux se rencontrer." (copier-coller sur le net)

Moi je sais que j'ai du mal à prendre la plume. Donc soyez indulgent :-)

bonne journée à vous.

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domimi il y a 8 ans

J'écris comme je parle, je parle comme je pense.

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immanente (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !


D'abord pourquoi penser thérapie ? comme s'il y avait une maladie ! Penser "thérapie" c'est avoir en soi un modèle pensé idéal. D'où vient ce modèle ? d'une parole le plus souvent rationnelle.
Moi je te dis : " On en a rien à faire de la parole dominante rationnelle".
Pas de modèle idéal, rien que le désir de vivre.
Donc tu écris.
Ce n'est pas une thérapie, ce n'est pas une honte, c'est une affirmation.

Photo de truc-machin
truc-machin (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "immanente"Citation de "rienousipeu"La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !


D'abord pourquoi penser thérapie ? comme s'il y avait une maladie ! Penser "thérapie" c'est avoir en soi un modèle pensé idéal. D'où vient ce modèle ? d'une parole le plus souvent rationnelle.
Moi je te dis : " On en a rien à faire de la parole dominante rationnelle".
Pas de modèle idéal, rien que le désir de vivre.
Donc tu écris.
Ce n'est pas une thérapie, ce n'est pas une honte, c'est une affirmation.


Que tu es redondante, à défaut d'être amusante.
Vivement lundi. Sourires

Photo de immanente
immanente (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "truc-machin"Citation de "immanente"Citation de "rienousipeu"La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !


D'abord pourquoi penser thérapie ? comme s'il y avait une maladie ! Penser "thérapie" c'est avoir en soi un modèle pensé idéal. D'où vient ce modèle ? d'une parole le plus souvent rationnelle.
Moi je te dis : " On en a rien à faire de la parole dominante rationnelle".
Pas de modèle idéal, rien que le désir de vivre.
Donc tu écris.
Ce n'est pas une thérapie, ce n'est pas une honte, c'est une affirmation.


Que tu es redondante, à défaut d'être amusante.
Vivement lundi. Sourires


Mais oui c'est une jalouse ! mais oui tu as la plus grosse queue ma chérie ! n'angoisse pas ! tu es la plus intelligente, ça m'ennuie que tu te sentes castrée quand tu me lis.

Modifié il y a 8 ans, le vendredi 13 mai 2016 à 13:17

Photo de immanente
immanente (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !


N'oublie pas que la 'chose en soi " est hors de portée de notre connaissance !!!

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immanente (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"La thérapie par l’écriture :

Parfois et surtout suivant la résultante de l'incidence d'une vie, il arrive un instant qui vous livre une expérience !

Laquelle expérience par l'impromptu et la soudaineté et ce dont vous ne pouviez point vous douter, sa singularité, agit comme une explosion, explosion par l’inhabituel de ce qui vous arrive, de la façon de le ressentir et de la façon de l’interpréter.

Comme toute explosion, il peut en résulter pour vous des conséquences.

Souvent on subit les conséquences parce qu'on ne fait pas, ne veut pas ou ne sait pas faire le travail sur soi.

Il faut dire que le travail sur soi est un des plus difficiles, voir même plus, des plus hermétiques à débusquer.

Mais parfois, il arrive - par opportunisme presque chanceux, serais-je tenté de dire plus que m'en glorifier d'avec un égo, toujours inopportun, si on y pense - qu'on se trouve une manière de thérapie.

Une thérapie en plusieurs étapes qui va nommer sans concessions aucunes la chose en soi, la décortiquer dans la composante complexe et antagoniste de ce qu'elle est, analyser l'influence et les conséquences de ce qu'elle fait faire, vivre et penser, et ensuite trouver une voie pour la contrer.

L'écriture - aussi étrangement que cela puisse paraître pour quelqu'un dont ce n'est ni le cursus premier de ses études, ni celui de ses activités professionnelles ou de ses fréquentations sociétales - aura, pour moi, été une voie.

Parce que l'écriture - au delà de ce que l'on peut assez souvent pour beaucoup, ne la considérer que comme le moyen technologique d'une communication - cela va beaucoup plus loin.

L'écriture, c'est la matérialisation, voir même et plus, s'obliger à la matérialisation de la pensée.

Ainsi la pensée, quelque soit même le dévastateur de ce qu'elle vous oblige, lorsqu'on fait l'effort de la matérialiser en couchant son "dire" physiquement sur une feuille ou tout autre support, elle se livre, mais elle se livre plus vraie, moins dans le flou de ce que sa non maitrise pourrait être tenté de nous faire croire.

Et j'ai fait ce travail d'avec une voie, celle de l'écriture.

Ainsi, l'étrange pouvoir et force de l'écriture - pas la littérature, encore moins la grande littérature, bien évidemment en ce qui me concerne mais juste l'exercice que l'on s'impose par l'écriture -, auront réussit une sorte de soin dans la pathologie induite par un certain émotionnel.

Et cela va même plus loin car il est en train de s’opérer ( s'o.pérer) en moi comme un accompagnement dans ce soin, en ce sens qu'il va même orienter la façon dont je vais réagir, plus tard et en d'autres circonstances, face à la sensibilité, l'émotionnel...une sorte de lucidité.

Et ce qu'il y a de curieux, c'est que j'ai envie de partager cette expérience ou de la suggérer.

Il y a quelqu'un, un ami résidant à quelques centaines de mètres d'où j'habite, qui est en prise depuis un certain temps - cela revient par vagues, comme les déferlantes de la mer - avec les conséquences terribles de son émotionnel, d'autant que malgré le temps, il ne sait pas comment s'en sortir.
Il me fait peur pour lui, par ce qu'il risque, peut-être, de faire.
Le presque savoir par avance, c'est terrible…sorte de non assistance à personne en danger.

Il n'est pas du tout littéraire, mais j'ai envie d'essayer avec lui, la même chose que pour moi, car je ressens qu'il en a encore plus besoin et qu'il y aurait urgence.

Essayer de lui proposer de s'exercer à l'écriture et de s'en servir aussi comme d'une thérapie.

Absolument sur de rien quand au possible que cela se fasse et à la finalité, mais...essayer pour l'autre vaudra toujours mieux que...

Les trois points de suspension, ne pourraient-ils représenter ce que l'on devrait faire de son égo - que l'on n’emporte pas plus dans la tombe que tout le matériel que l'on accumule ou que l’on désirerait posséder -, le laisser de côté et penser la vie différemment ?...!

Penser la vie différemment !

L'écriture, être si immatériel, et pourtant tellement étonnant dans ce qu'elle peut vous avoir fait autrement voir, penser et réfléchir.

Il y a plusieurs auto-stoppeuses sur le bord des routes de la vie, dont la sensibilité, la curiosité, la tolérance.

Elles apportent, si on les fait monter à notre bord, leur ouvrant la portière du véhicule de la vie, tellement de beauté et de nuance, peintres un peu plus subtiles de l'existence.

Et il y en a une autre, pas entrevue immédiatement ; peut-être se tient-elle si souvent en retrait.

C'est l'écriture !...et si on la fait aussi monter à son bord, elle vous délivre un message...la lucidité, laquelle est assurément, dans certains cas, une thérapie.

Penser la vie différemment !

Merci à elle !


Rien ne te dit que cet ami c'est l'écriture qu'il lui faut. Il ne s'agit pas de penser que nos émotions sont des "maladies" !!! Une émotion devient néfaste quand elle ne peut pas se réaliser. Elle n'est pas une maladie en soi. Même quand elle est excessive ! pourquoi se censurer au nom du regard des autres ? qu'il délire s'il le faut, mais qu'il réalise ses émotions.

Photo de poptones
poptones (clôturé) il y a 8 ans

Superbe ce post sur l'écriture !!
Je te conseillerai juste de ....continuer !

Photo de immanente
immanente (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "morganna"bonjour..

Je suis d'accord, l'écriture est depuis toujours considérée comme thérapie libératrice de la pensée.

Mais pour ton voisin qui n'est pas littéraire, tu pourrais songer s'il n'accroche pas, à explorer les domaines de la peinture ou de la sculpture.
La fin dans cette thérapie étant de faire sortir par les doigts ce que le corps peut renfermer.


Bonjour et merci du partage.

Activité manuelle, voir artistique ( manuelle plus création ) cela a déjà été plus qu'évoqué, mais il y a blocage rapide.

Pourtant avant, il s'était trouvé un but, justement de création en rapport avec le très manuel de son expérience de menuisier et d'ébéniste ; mais il n'a plus de gout à rien.

Il est même dans un automatisme de vie complètement désincarné...n'allant même plus au marché des petits producteurs locaux (pourtant moins cher que la G.D. à qualité égale) pour une alimentation plus saine comme il aime tant.

Demain, justement, je l'emmène avec moi à ce marché...il est d'accord.

Je vais procéder par étapes avec lui, avant de lui proposer l'exercice de l'écriture, car il y a danger avec elle, celui d'aller se fouiller en soi pour tenter de comprendre.

PS : Il faut que je m'absente. Je reviendrai ce soir.


Juste avant de partir : attention l'écriture ne doit pas être envisagée seulement avec une intention d'analyse. Tu as l'écriture synthétique aussi; par exempte quand Morganna écrit, quand elle poétise, c'est une écriture qui synthétise le divers qui est en elle. C'est l'écriture créatrice.
L'écriture analytique peut vite devenir dangereuse. Surtout si elle pratiquée seule.
Si ton ami va mal, s'il a des émotions violentes en lui, il vaut mieux l'inciter à écrire des poèmes, ou des "brèves", des "saillies émotionnelles" des "visions", des "fulgurances" car l'important est la libération en lui des tensions qui le minent.
Ce qui arrête les gens , dans leur écriture libre, c'est le regard supposé ou réel des autres. Les autres rationalisent le plus souvent. Ils stigmatisent du mot "délire" ce qui n'est pas convenu.
Si ce sont les convenances, le désir d'être "sain d'esprit" qui l'invalide, aide le à se libérer de la "normalité" qu'il consente à la folie, à l'excès, au délire.
Alors il se réalisera.
Mais s'il délire dans ses écrits, sauras tu le lire ? sans immédiatement réduire son écriture sous une exigence de rationalité et de bonne santé ?


Participants

Photo de rienousipeu Photo de morganna Photo de domimi Photo de woland