Le vol des chimères

Répondre au sujet 1 - 15 sur 26 1 / 2 2
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras
	Citer Signaler airderien1 (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!!
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres.
	Citer Signaler airderien1 (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!! j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé
	Citer Signaler airderien1 (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!! j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!!
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!! j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!! tu es un amour toi...
	Citer Signaler airderien1 (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!! j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!! tu es un amour toi... passe une bonne nuit en attendant!!
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras tres beau poetesse!! on en arriverais presque a aimer le desespoire!! merci mon chamallow. mdrr je ferai un recueil de textes sombres. attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!! j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!! tu es un amour toi... passe une bonne nuit en attendant!! toi aussi mon beau. plein de jolis rêves
	Citer Signaler desmotspassent (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras Joli texte ! Une belle plume... Mais je me demande si le titre - magnifique ! - ne mériterait pas plutôt de porter un roman que la poésie... Belle journée !
	Citer Signaler morganna il y a 8 ans Citation de "desmotspassent"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras Joli texte ! Une belle plume... Mais je me demande si le titre - magnifique ! - ne mériterait pas plutôt de porter un roman que la poésie... Belle journée ! Bonjour merciiiii Qui sait, un jour serais je peut être capable de tenir un roman entier. c'est plus difficile à concevoir qu'une simple poésie, je ne m'y suis plus essayée depuis des années. bonne journée également
	Citer Signaler desmotspassent (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna"Citation de "desmotspassent"Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras Joli texte ! Une belle plume... Mais je me demande si le titre - magnifique ! - ne mériterait pas plutôt de porter un roman que la poésie... Belle journée ! Bonjour merciiiii Qui sait, un jour serais je peut être capable de tenir un roman entier. c'est plus difficile à concevoir qu'une simple poésie, je ne m'y suis plus essayée depuis des années. bonne journée également Il est vrai que la Poésie et le roman sont des singularités en soi.Il n'empêche qu'elles sont aussi difficiles l'une que l'autre,pour des raisons différentes. Simplement,il faut persévérer ! Il suffit d'avoir la sensation tenace d'avoir à dire.D'abord pour soi,sans doute! Puis,s'il y a encore insatisfaction,se hasarder à soumettre le travail accompli à d'autres qui eux-mêmes sont portés par ce que les mots peuvent leur apporter.
	Citer Signaler larchange (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna" Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots, L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer. Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves. Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots. Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient. Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. Je n'ai pas assez travaillé ce poème! cantonné désormais dans un donjon muré de parpaings tout fraichement maçonnés. Pourtant mon tort n'est il pas de tout rejeter, il n' y a pas dans ces territoires étranges que des chimères! même si elles abondent : "L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes. Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer." je les appelle moi les âmes mortes, ou les âmes errantes. Elles savent en effet pousser les cris envoutants qui tintent à mes oreilles et combien de fois alors j'ai envie de m'abimer dans les pièges dans quelles elles aiment prendre le voyageur inattentif! "Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin", hum, là tu m'agaces! ce pessimisme tu t'en contentes trop souvent! et toi? n'es -tu pas ce ventre d'où tu sors tout tes enfants? (je parle là de tes mots). "Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. " J'en ai marre de me fourvoyer en répondant aux chimères plutôt que de répondre à ceux qui vivent toujours! ici! Me fourvoyer? faire des expériences? ça me plait ça, faire des expériences, petite sirène!
	Citer Signaler larchange (clôturé) il y a 8 ans Citation de "morganna" Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ? Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras ah non! assez, ne fais pas de tes expériences personnelles une philosophie générale petite sirène, c'est très agaçant ce pessimisme dans lequel tu ne crois pas!
	Citer Signaler maquis (clôturé) il y a 8 ans Archange hum, là tu m'agaces! ce pessimisme tu t'en contentes trop souvent! et toi? n'es -tu pas ce ventre d'où tu sors tous tes enfants? (je parle là de tes mots). Quel plaisir de dire que je souscris à vos mots Archange Ce qui ne retire en rien le talent et la perpétuelle recherche de Morganna Arriverions nous enfin en ces territoires apaisés où seule l'entraide a droit de citer , d'écrire et de mourir serein ... Bien à toi Maquis
Répondre au sujet 1 - 15 sur 26 1 / 2 2

Auteur

Message

morganna il y a 8 ans

Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

airderien1 (clôturé) il y a 8 ans

morganna il y a 8 ans

Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

airderien1 (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

morganna il y a 8 ans

Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé

airderien1 (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé

je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!!

morganna il y a 8 ans

Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé

je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!!

tu es un amour toi... (k)

airderien1 (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé

je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!!

tu es un amour toi... (k)

passe une bonne nuit en attendant!!

morganna il y a 8 ans

Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Citation de "airderien1"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

tres beau poetesse!!
on en arriverais presque a aimer le desespoire!!

merci mon chamallow.
mdrr je ferai un recueil de textes sombres.

attention tt de meme a l'overdose!!le noir occupe deja la majeur partie de l'univers ,sans avoir besoin que tu l'y es aide pour ca!!

j'l'ai déjà faite l'overdose.. envoie moi du soleil steuplé

je t'en envoie ma belle,demain aux premieres lueurs de l'aube!!

tu es un amour toi... (k)

passe une bonne nuit en attendant!!

toi aussi mon beau. plein de jolis rêves

desmotspassent (clôturé) il y a 8 ans

morganna il y a 8 ans

Citation de "desmotspassent"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

Joli texte ! Une belle plume...

Mais je me demande si le titre - magnifique ! - ne mériterait pas plutôt de porter un roman que la poésie...

Belle journée !

Bonjour merciiiii

Qui sait, un jour serais je peut être capable de tenir un roman entier.
c'est plus difficile à concevoir qu'une simple poésie, je ne m'y suis plus essayée depuis des années.

bonne journée également

desmotspassent (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"Citation de "desmotspassent"Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

Joli texte ! Une belle plume...

Mais je me demande si le titre - magnifique ! - ne mériterait pas plutôt de porter un roman que la poésie...

Belle journée !

Bonjour merciiiii

Qui sait, un jour serais je peut être capable de tenir un roman entier.
c'est plus difficile à concevoir qu'une simple poésie, je ne m'y suis plus essayée depuis des années.

bonne journée également

Il est vrai que la Poésie et le roman sont des singularités en soi.Il n'empêche qu'elles sont aussi difficiles l'une que l'autre,pour des raisons différentes.
Simplement,il faut persévérer ! Il suffit d'avoir la sensation tenace d'avoir à dire.D'abord pour soi,sans doute! Puis,s'il y a encore insatisfaction,se hasarder à soumettre le travail accompli à d'autres qui eux-mêmes sont portés par ce que les mots peuvent leur apporter.

larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"
Les ailes grandes ouvertes, leurs ombres s'écrasant sur les flots,
L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer.

Amères et cruelles, les crocs acérés, dragons des allégories
Leurs serres déchirent le linceul tissé des espoirs et des rêves.
Donnant de quoi abreuver le soûl de l'assoiffé qui se meurt
Egarant l'esprit de l'homme sur les parois léchées par les flots.

Farandoles et fariboles, valses de mille lieues qui n'ont pas lieu
Cotillons qui se perdent dans la bise qui s'éprend de l'arbre
Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin
Ecoute le souffle grandissant qui s'en vient.

Donne ton sang et repais toi des chairs du coeur encore battant
Bataille et péris sous le coup des futiles aspirations impudiques
Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain.

Je n'ai pas assez travaillé ce poème! cantonné désormais dans un donjon muré de parpaings tout fraichement maçonnés. Pourtant mon tort n'est il pas de tout rejeter, il n' y a pas dans ces territoires étranges que des chimères! même si elles abondent :

"L'on entend leurs cris retentissants, longues plaintes envoutantes.
Immortelles,elles survolent et veillent, attendant chacune patiemment
Les âmes des égarés qui voudraient à leur sein se vouer."

je les appelle moi les âmes mortes, ou les âmes errantes. Elles savent en effet pousser les cris envoutants qui tintent à mes oreilles et combien de fois alors j'ai envie de m'abimer dans les pièges dans quelles elles aiment prendre le voyageur inattentif!

"Rêves et espoirs qui se glacent dès la sortie du ventre utérin",

hum, là tu m'agaces! ce pessimisme tu t'en contentes trop souvent! et toi? n'es -tu pas ce ventre d'où tu sors tout tes enfants? (je parle là de tes mots).

"Vis et survis par delà les heurts et fourvoye toi encore
Aspire à des demains qui ne seront pas morts nés en vain. "

J'en ai marre de me fourvoyer en répondant aux chimères plutôt que de répondre à ceux qui vivent toujours! ici! Me fourvoyer? faire des expériences? ça me plait ça, faire des expériences, petite sirène!

larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "morganna"

Diable, ne sais tu pas que l'amour n'existe pas ?
Vois au loin, les chimères le portent dans leurs bras

ah non! assez, ne fais pas de tes expériences personnelles une philosophie générale petite sirène, c'est très agaçant ce pessimisme dans lequel tu ne crois pas!

maquis (clôturé) il y a 8 ans

Archange

hum, là tu m'agaces! ce pessimisme tu t'en contentes trop souvent! et toi? n'es -tu pas ce ventre d'où tu sors tous tes enfants? (je parle là de tes mots).

Quel plaisir de dire que je souscris à vos mots Archange
Ce qui ne retire en rien le talent et la perpétuelle recherche de Morganna

Arriverions nous enfin en ces territoires apaisés où seule l'entraide a droit de citer , d'écrire et de mourir serein ...

Bien à toi
Maquis

Participants

Par région

Par département

Par ville

Rencontre gratuite