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Le déserteur
Volent et vaguent sur des sons incertains
Les rires qui furent, hier encore, mutins.
J’ai quitté ma paillasse ce matin,
Délaissant la couche de mon lendemain.
En passant le porche,
J’ai salué le rouge gorge à la voix enjôleuse
Et souri à la glycine quelque peu pleureuse
Sur la balustrade laissé ma main baladeuse
Et soufflé baiser à l’agréable dormeuse.
J’ai quitté ma paillasse ce matin.
Dès lors je partirai seul sur les chemins
Offrant à mon autre un tierce quatrain
Empreint des fragrances des tons enfantins.
Souffle le vent frais et chasse mon souvenir
Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
Qu’elle ne puisse de cet endroit s’enfuir.
En passant le porche,
La barrière, en tournant sur ses gongs, a grincé
Traçant dans le sol les sillons de mon âpreté
Crois moi rossignol, en allant, je l’ai pleurée.
Modifié il y a 7 ans, le mercredi 22 mars 2017 à 11:13
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wouaw très joli j'adore sa tiens et bcp aussitôt ''
S....
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!!!! He! Et mouaa ?....j'suis quoi,moua ?
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Citation de "jaune-d-oeuf"!!!! He! Et mouaa ?....j'suis quoi,moua ?
Mon déjeuner?
Mouaaaahhhh mon tit oeuf
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Citation de "morganna"Le déserteur
Volent et vaguent sur des sons incertains
Les rires qui furent, hier encore, mutins.
J’ai quitté ma paillasse ce matin,
Délaissant la couche de mon lendemain.
En passant le porche,
J’ai salué le rouge gorge à la voix enjôleuse
Et souri à la glycine quelque peu pleureuse
Sur la balustrade laissé ma main baladeuse
Et soufflé baiser à l’agréable dormeuse.
J’ai quitté ma paillasse ce matin.
Dès lors je partirai seul sur les chemins
Offrant à mon autre un tierce quatrain
Empreint des fragrances des tons enfantins.
Souffle le vent frais et chasse mon souvenir
Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
Qu’elle ne puisse de cet endroit s’enfuir.
En passant le porche,
La barrière, en tournant sur ses gongs, a grincé
Traçant dans le sol les sillons de mon âpreté
Crois moi rossignol, en allant, je l’ai pleurée.
Franchement bien écrit, j'adore. Bravo.
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Citation de "rhett-butler"Citation de "morganna"Le déserteur
Volent et vaguent sur des sons incertains
Les rires qui furent, hier encore, mutins.
J’ai quitté ma paillasse ce matin,
Délaissant la couche de mon lendemain.
En passant le porche,
J’ai salué le rouge gorge à la voix enjôleuse
Et souri à la glycine quelque peu pleureuse
Sur la balustrade laissé ma main baladeuse
Et soufflé baiser à l’agréable dormeuse.
J’ai quitté ma paillasse ce matin.
Dès lors je partirai seul sur les chemins
Offrant à mon autre un tierce quatrain
Empreint des fragrances des tons enfantins.
Souffle le vent frais et chasse mon souvenir
Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
Qu’elle ne puisse de cet endroit s’enfuir.
En passant le porche,
La barrière, en tournant sur ses gongs, a grincé
Traçant dans le sol les sillons de mon âpreté
Crois moi rossignol, en allant, je l’ai pleurée.
Franchement bien écrit, j'adore. Bravo.
Bien le bonjour...
Merci énormément
Modifié il y a 7 ans, le mercredi 22 mars 2017 à 12:33
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kikoditca (clôturé)
il y a 7 ans
Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
J'aime particulièrement ces deux lignes
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apocope (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "kikoditca"Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
J'aime particulièrement ces deux lignes
Ce qui m'autorise à relever une fois de plus votre incurie :
La poésie française n'admet pas les hiatus (cf. «image autre», «dresse alentours (sic)»).
De plus, l'accord en nombre est fautif :
Qu'elle n'ait une image autre que …
Qu'elle n'ait d'images autres que… (… autre : adjectif ; autre que : épithète postposée)
Finalement, («dresse alentours (sic)), il s'agit de l'adverbe alentour et non pas du substantif, donc en l'occurrence alentour sans s.
Ainsi révisé en respectant les accords, l'orthographe et les liaisons :
Qu'elle n'ait d'autres images que la sienne à retenir
Et dresse aux alentours des murs dénués d’ire
(Et dresse quoi? Des murs ; Où? Aux alentours)
Reste à corriger les hiatus «sienne à» et «dresse aux».
Modifié il y a 7 ans, le mercredi 22 mars 2017 à 18:32
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Citation de "apocope"Citation de "kikoditca"Qu’elle n’ait d’image autre que la sienne à retenir
Et dresse alentours des murs dénués d’ire,
J'aime particulièrement ces deux lignes
Ce qui m'autorise à relever une fois de plus votre incurie :
La poésie française n'admet pas les hiatus (cf. «image autre», «dresse alentours (sic)»).
De plus, l'accord en nombre est fautif :
Qu'elle n'ait une image autre que …
Qu'elle n'ait d'images autres que… (… autre : adjectif ; autre que : épithète postposée)
Finalement, («dresse alentours (sic)), il s'agit de l'adverbe alentour et non pas du substantif, donc en l'occurrence alentour sans s.
Ainsi révisé en respectant les accords, l'orthographe et les liaisons :
Qu'elle n'ait d'autres images que la sienne à retenir
Et dresse aux alentours des murs dénués d’ire
(Et dresse quoi? Des murs ; Où? Aux alentours)
Reste à corriger les hiatus «sienne à» et «dresse aux».
Oui aux alentours, la forme permettant d ôter le « aux» .
Pourquoi image devrait elle être au pluriel ?
Il n est ici question que de l image d un visage substitué à l autre.
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loloh2o (clôturé)
il y a 7 ans
aprés le jour viens la nuit ,ces ruelles sombre les lampadaires qui clignote les ombres et moi mdrrrrrrrrrrrrrr
bonsoir au passage
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Citation de "loloh2o"aprés le jour viens la nuit ,ces ruelles sombre les lampadaires qui clignote les ombres et moi mdrrrrrrrrrrrrrr
bonsoir au passage
Avec ou sans imper ?
Mouuuuaaaahhhhhh sur ton nez
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kikoditca (clôturé)
il y a 7 ans
Ce qui m'autorise à relever une fois de plus votre incurie :
La poésie française n'admet pas les hiatus (cf. «image autre», «dresse alentours (sic)»).
De plus, l'accord en nombre est fautif :
Il ne le relève que les potentielles fautes d'orthographe , comme un comptable sans imagination ..................................................... notre pompeux québécois
Aucune sensibilité !
Il a une subtilité poétique de cuvette de chiottes où flotte l'étron égocentique
de sa suffisance
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Citation de "kikoditca"Ce qui m'autorise à relever une fois de plus votre incurie :
La poésie française n'admet pas les hiatus (cf. «image autre», «dresse alentours (sic)»).
De plus, l'accord en nombre est fautif :
Il ne le relève que les potentielles fautes d'orthographe , comme un comptable sans imagination ..................................................... notre pompeux québécois
Aucune sensibilité !
Il a une subtilité poétique de cuvette de chiottes où flotte l'étron égocentique
de sa suffisance
J attendais sa réponse quant à sa correction mais l hiatus ici est considéré valable pcq le e est caduc .
Mais bon.... il se tait.
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Sourire.. Avez-vous connu les secret des épines de roses qui poussent sur les branches''
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