|
Dans un décor céruléen souligné d'une brise
Portant dans ses bras les exhalaisons échauffées
Des lauriers et des haies aux milles floraisons
Bourdonne une vie semblant ailleurs suspendue.
Au détour d'une façade habitée de lézards
Qui s'enfuient au travers d'une course éternelle
Dans le rire des volets peints de bleu et de vert
Qui surplombent de leur placide magnificience
Le paysage trahi par le rose des bougainvilliers
Lourdement chargés de leur floraison luxuriante,
S'offre le spectacle intemporel d'un bord de mer,
Surveillé par la bonhommie de cactus aux fruits jaunis.
D'étroites ruelles séculaires aux murs blanchis
Se tortillant comme des chenilles au soleil,
Partagent leurs terrasses et leurs escaliers
Où s'étendent, désordonnées, les pierres brunies
Savamment placées et comblées par une nature
Invitant à la délectation d'une promenade
Dans une maestria méditerranéenne
Caressant la sensibilité du moindre passant.
Elles mènent le flâneur dans quelque mystère,
Mêlant obscurité et lumière dans une dualité
Avide de partager une séduction complice
Au son des vagues qui s'échouent sur la plage.
Expansives et joyeuses dames bien vêtues ,
Elles lèchent amoureusement les galets verdissants
De digues se noyant dans l'azur de l'horizon,
Exposant sans retenue les éclats de lait
D'une écume se plaisant à narguer l'inconscient
Qui se laisserait tenter par un bain improvisé.
Dans ce vacarme silencieux s'élève ainsi leur chant
Ainsi que les stridulations d'êtres invisibles
Qui bercent insatiablement les rares habitants,
Matous sauvages allongés paresseusement,
Dans les ombres soutenues des petites maisons
Aveuglantes de par leur pureté offerte au soleil.
|
|
J en ai Pécho une demi érection spontanée !
|
|
Citation de morganna
Dans un décor céruléen souligné d'une brise
Portant dans ses bras les exhalaisons échauffées
Des lauriers et des haies aux milles floraisons
Bourdonne une vie semblant ailleurs suspendue.
Au détour d'une façade habitée de lézards
Qui s'enfuient au travers d'une course éternelle
Dans le rire des volets peints de bleu et de vert
Qui surplombent de leur placide magnificience
Le paysage trahi par le rose des bougainvilliers
Lourdement chargés de leur floraison luxuriante,
S'offre le spectacle intemporel d'un bord de mer,
Surveillé par la bonhommie de cactus aux fruits jaunis.
D'étroites ruelles séculaires aux murs blanchis
Se tortillant comme des chenilles au soleil,
Partagent leurs terrasses et leurs escaliers
Où s'étendent, désordonnées, les pierres brunies
Savamment placées et comblées par une nature
Invitant à la délectation d'une promenade
Dans une maestria méditerranéenne
Caressant la sensibilité du moindre passant.
Elles mènent le flâneur dans quelque mystère,
Mêlant obscurité et lumière dans une dualité
Avide de partager une séduction complice
Au son des vagues qui s'échouent sur la plage.
Expansives et joyeuses dames bien vêtues ,
Elles lèchent amoureusement les galets verdissants
De digues se noyant dans l'azur de l'horizon,
Exposant sans retenue les éclats de lait
D'une écume se plaisant à narguer l'inconscient
Qui se laisserait tenter par un bain improvisé.
Dans ce vacarme silencieux s'élève ainsi leur chant
Ainsi que les stridulations d'êtres invisibles
Qui bercent insatiablement les rares habitants,
Matous sauvages allongés paresseusement,
Dans les ombres soutenues des petites maisons
Aveuglantes de par leur pureté offerte au soleil.
Tout est et bien dit sauf que tu as oublié de parler d'un égaré.
Va-tu venir avec cette préparation ?
bonne journée .Bon courage
|
|
Citation de full
J en ai Pécho une demi érection spontanée !
Un petit bikini et une peau dorée sur la plage,
Avec de grands yeux cachés sous un chapeau..
Et elle aurait été entière.
|
|
Citation de ihi
Tout est et bien dit sauf que tu as oublié de parler d'un égaré.
Va-tu venir avec cette préparation ?
bonne journée .Bon courage
Fallait- il un égaré ?
Le paysage est si beau sans personne..
Bien le bonsoir ihi
|
|
Citation de morganna
Dans un décor céruléen souligné d'une brise
Portant dans ses bras les exhalaisons échauffées
Des lauriers et des haies aux milles floraisons
Bourdonne une vie semblant ailleurs suspendue.
Au détour d'une façade habitée de lézards
Qui s'enfuient au travers d'une course éternelle
Dans le rire des volets peints de bleu et de vert
Qui surplombent de leur placide magnificience
Le paysage trahi par le rose des bougainvilliers
Lourdement chargés de leur floraison luxuriante,
S'offre le spectacle intemporel d'un bord de mer,
Surveillé par la bonhommie de cactus aux fruits jaunis.
D'étroites ruelles séculaires aux murs blanchis
Se tortillant comme des chenilles au soleil,
Partagent leurs terrasses et leurs escaliers
Où s'étendent, désordonnées, les pierres brunies
Savamment placées et comblées par une nature
Invitant à la délectation d'une promenade
Dans une maestria méditerranéenne
Caressant la sensibilité du moindre passant.
Elles mènent le flâneur dans quelque mystère,
Mêlant obscurité et lumière dans une dualité
Avide de partager une séduction complice
Au son des vagues qui s'échouent sur la plage.
Expansives et joyeuses dames bien vêtues ,
Elles lèchent amoureusement les galets verdissants
De digues se noyant dans l'azur de l'horizon,
Exposant sans retenue les éclats de lait
D'une écume se plaisant à narguer l'inconscient
Qui se laisserait tenter par un bain improvisé.
Dans ce vacarme silencieux s'élève ainsi leur chant
Ainsi que les stridulations d'êtres invisibles
Qui bercent insatiablement les rares habitants,
Matous sauvages allongés paresseusement,
Dans les ombres soutenues des petites maisons
Aveuglantes de par leur pureté offerte au soleil.
Bonjour belle sirène Aglaophème, enchanteresse des eaux bleues mythiques méditerranéennes, ton chant est toujours aussi irrésistible et envoûtant !
Félicitations !
Modifié il y a 5 ans, le mardi 13 août 2019 à 19:06
|
|
|
|
|
|
|