|
amanda__00 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "morganna"Dans la bise qui siffle dehors
Se perdent les cris des oiseaux morts
Autant de futilités balayées
Que de feuilles dans les sentiers.
Se rit ce temps aux éclats d argent
Peu importe les quolifichets passants
Tout est blanc, ni feu ,ni sang,
Lui seul survivra jusqu'au printemps.
tres beau Morgana..merciiiiiiiiiiiii
|
|
Je veux faire un petit conte d'hiver,moua aussi......mais je sais pas encore sur qui copier
|
|
amanda__00 (clôturé)
il y a 7 ans
Écoute, bûcheron, arrête un peu le bras;
Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas;
Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force
Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ?
Sacrilège meurtrier, si on pend un voleur
Pour piller un butin de bien peu de valeur,
Combien de feux, de fers, de morts et de détresses
Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses ?
Forêt, haute maison des oiseaux bocagers !
Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers
Ne paîtront sous ton ombre, et ta verte crinière
Plus du soleil d'été ne rompra la lumière.
Plus l'amoureux pasteur sur un tronc adossé,
Enflant son flageolet à quatre trous percé,
Son mâtin à ses pieds, à son flanc la houlette,
Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette.
Tout deviendra muet, echo sera sans voix ;
Tu deviendras campagne, et, en lieu de tes bois,
Dont l'ombrage incertain lentement se remue,
Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue ;
Tu perdras le silence, et haletants d'effroi
Ni Satyres ni Pans ne viendront plus chez toi.
tiré de la complainte du bucheron................de Pierre Ronsard.
|
|
pate_chinois (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "morganna"Dans la bise qui siffle dehors
Se perdent les cris des oiseaux morts
Autant de futilités balayées
Que de feuilles dans les sentiers.
Se rit ce temps aux éclats d argent
Peu importe les quolifichets passants
Tout est blanc, ni feu ,ni sang,
Lui seul survivra jusqu'au printemps.
Des oiseaux morts…
J'en ai évité de justesse hier, une volée d'oiseaux sombres qui picoraient au milieu de la route aux abords des rapides de la rivière Ashuapmushuan. C'est une petite route qui traverse un milieu forestier couvert d'épinettes noires (i.e. épicéa).
J'ignore l'espèce, qui à l'évidence passe l'hiver ici. D’abord, je ne les ai pas aperçus parce qu’ils étaient sur le gravier qui avait été épandu sur la chaussée.
Au dernier instant, j’ai freiné et klaxonné et c’est-là qu’ils ont vu mon véhicule qui arrivait et j’étais quasiment sur eux quand ils se sont envolés. J’ai eu le temps d’observer celui qui a failli s’écraser sur le pare-brise. Il m’a semblé qu’il avait un gros bec et une tache rouge sur le plumage brun de son aile. C’est la première fois que j’observe ces oiseaux-là.
|
|
Citation de "amanda__00"Citation de "morganna"Dans la bise qui siffle dehors
Se perdent les cris des oiseaux morts
Autant de futilités balayées
Que de feuilles dans les sentiers.
Se rit ce temps aux éclats d argent
Peu importe les quolifichets passants
Tout est blanc, ni feu ,ni sang,
Lui seul survivra jusqu'au printemps.
tres beau Morgana..merciiiiiiiiiiiii
Merci a toi
Bien le bonjour
|
|
Citation de "jaune-d-oeuf"Je veux faire un petit conte d'hiver,moua aussi......mais je sais pas encore sur qui copier
Essaye de poter pour voir...
Si tu fais les yeux doux y aura bien une bonne âme
|
|
Citation de "amanda__00"Écoute, bûcheron, arrête un peu le bras;
Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas;
Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force
Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ?
Sacrilège meurtrier, si on pend un voleur
Pour piller un butin de bien peu de valeur,
Combien de feux, de fers, de morts et de détresses
Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses ?
Forêt, haute maison des oiseaux bocagers !
Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers
Ne paîtront sous ton ombre, et ta verte crinière
Plus du soleil d'été ne rompra la lumière.
Plus l'amoureux pasteur sur un tronc adossé,
Enflant son flageolet à quatre trous percé,
Son mâtin à ses pieds, à son flanc la houlette,
Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette.
Tout deviendra muet, echo sera sans voix ;
Tu deviendras campagne, et, en lieu de tes bois,
Dont l'ombrage incertain lentement se remue,
Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue ;
Tu perdras le silence, et haletants d'effroi
Ni Satyres ni Pans ne viendront plus chez toi.
tiré de la complainte du bucheron................de Pierre Ronsard.
Ca se vérifie aujourd'hui cela...Toujours plusss de champs toujours moins de bois.
Et peu qui croient au petit peuple...
Merci du partage
Modifié il y a 7 ans, le lundi 5 décembre 2016 à 08:58
|
|
Citation de "pate_chinois"Citation de "morganna"s.
Des oiseaux morts…
J'en ai évité de justesse hier, une volée d'oiseaux sombres qui picoraient au milieu de la route aux abords des rapides de la rivière Ashuapmushuan. C'est une petite route qui traverse un milieu forestier couvert d'épinettes noires (i.e. épicéa).
J'ignore l'espèce, qui à l'évidence passe l'hiver ici. D’abord, je ne les ai pas aperçus parce qu’ils étaient sur le gravier qui avait été épandu sur la chaussée.
Au dernier instant, j’ai freiné et klaxonné et c’est-là qu’ils ont vu mon véhicule qui arrivait et j’étais quasiment sur eux quand ils se sont envolés. J’ai eu le temps d’observer celui qui a failli s’écraser sur le pare-brise. Il m’a semblé qu’il avait un gros bec et une tache rouge sur le plumage brun de son aile. C’est la première fois que j’observe ces oiseaux-là.
Howw fait attention de ne pas nous faire un accident toi... un oiseau qui rebondit mal et te voilà le carburateur qui embrasse un arbre.
Quelle idée d'aller becqueter le gravier...
Cela reste toujours impressionnant les oiseaux qui volent de façon trop proche.
Avant, les buses dans nos forêts faisaient pareil.
|
|
|
|
|
|
pate_chinois (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "morganna" Citation de "pate_chinois"
Des oiseaux morts…
J'en ai évité de justesse hier, une volée d'oiseaux sombres qui picoraient au milieu de la route aux abords des rapides de la rivière Ashuapmushuan. C'est une petite route qui traverse un milieu forestier couvert d'épinettes noires (i.e. épicéa).
J'ignore l'espèce, qui à l'évidence passe l'hiver ici. D’abord, je ne les ai pas aperçus parce qu’ils étaient sur le gravier qui avait été épandu sur la chaussée.
Au dernier instant, j’ai freiné et klaxonné et c’est-là qu’ils ont vu mon véhicule qui arrivait et j’étais quasiment sur eux quand ils se sont envolés. J’ai eu le temps d’observer celui qui a failli s’écraser sur le pare-brise. Il m’a semblé qu’il avait un gros bec et une tache rouge sur le plumage brun de son aile. C’est la première fois que j’observe ces oiseaux-là.
Howw fait attention de ne pas nous faire un accident toi... un oiseau qui rebondit mal et te voilà le carburateur qui embrasse un arbre.
Quelle idée d'aller becqueter le gravier...
Cela reste toujours impressionnant les oiseaux qui volent de façon trop proche.
Avant, les buses dans nos forêts faisaient pareil.
Aujourd’hui, les buses ont investi les villes et les villages… de même qu’il y a déjà quelque temps que l’automobile a troqué le carburateur pour l’injection…
Durant la saison froide, il n’y a pas que les oiseaux qui viennent sur la route pour profiter de l’épandage hivernal : les grosses bêtes comme les chevreuils et les orignaux viennent lécher le sel de déglaçage ; là, pour peu que vous rouliez vite, la collision est bien souvent mortelle (pour ceux qui sont dans l’automobile).
Quasiment tous les oiseaux ont besoin d’avaler du gravier pour digérer : l’oiseau broie ses aliments avec ce gravier qui va dans le gésier, lequel est une poche musclée qui lui sert en quelque sorte à mastiquer.
Bon! C’était pas une volée d’un genre de gros becs, un peu comme celui-ci :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f7/Grubodziob_c_coccothraustes2.jpg/220px-Grubodziob_c_coccothraustes2.jpg
Modifié il y a 7 ans, le lundi 5 décembre 2016 à 14:43
|
|
|
|
|
|
|
|
Citation de "pate_chinois"Citation de "morganna" Citation de "pate_chinois"
Des oiseaux morts…
J'en ai évité de justesse hier, une volée d'oiseaux sombres qui picoraient au milieu de la route aux abords des rapides de la rivière Ashuapmushuan. C'est une petite route qui traverse un milieu forestier couvert d'épinettes noires (i.e. épicéa).
J'ignore l'espèce, qui à l'évidence passe l'hiver ici. D’abord, je ne les ai pas aperçus parce qu’ils étaient sur le gravier qui avait été épandu sur la chaussée.
Au dernier instant, j’ai freiné et klaxonné et c’est-là qu’ils ont vu mon véhicule qui arrivait et j’étais quasiment sur eux quand ils se sont envolés. J’ai eu le temps d’observer celui qui a failli s’écraser sur le pare-brise. Il m’a semblé qu’il avait un gros bec et une tache rouge sur le plumage brun de son aile. C’est la première fois que j’observe ces oiseaux-là.
Howw fait attention de ne pas nous faire un accident toi... un oiseau qui rebondit mal et te voilà le carburateur qui embrasse un arbre.
Quelle idée d'aller becqueter le gravier...
Cela reste toujours impressionnant les oiseaux qui volent de façon trop proche.
Avant, les buses dans nos forêts faisaient pareil.
Aujourd’hui, les buses ont investi les villes et les villages… de même qu’il y a déjà quelque temps que l’automobile a troqué le carburateur pour l’injection…
Durant la saison froide, il n’y a pas que les oiseaux qui viennent sur la route pour profiter de l’épandage hivernal : les grosses bêtes comme les chevreuils et les orignaux viennent lécher le sel de déglaçage ; là, pour peu que vous rouliez vite, la collision est bien souvent mortelle (pour ceux qui sont dans l’automobile).
Quasiment tous les oiseaux ont besoin d’avaler du gravier pour digérer : l’oiseau broie ses aliments avec ce gravier qui va dans le gésier, lequel est une poche musclée qui lui sert en quelque sorte à mastiquer.
Bon! C’était pas une volée d’un genre de gros becs, un peu comme celui-ci :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f7/Grubodziob_c_coccothraustes2.jpg/220px-Grubodziob_c_coccothraustes2.jpg[/quote]
howww moi qui avait cru à des oiseaux plus gros..... je m'en faisais pour peu
J'avais oublié leur besoin de gravier pour digérer, merci du rappel. Mais par contre, les buses ne volent pas en ville. Aux abords, certes, mais elles restent dans les champs et les bois.
et pffffff ça va.... j'avoue, je connais pas la mécanique et je ne conduis pas.
|