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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
après avoir lu morganna ..
je ne compose pas du tout..
quoque j'essaie..
mais je suis nul de chez nul ...
pire que ça ..nullissime ..
alors...
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
je vais proposer des poèmes érotiques ..
pas porno ..
je ne veux pas ..
soruire
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
Je te salue, Ô merveillette fente,
Qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis,
Qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente
L’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits
Je sens sa force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu,
D’un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles:
Tous vers galans devraient, pour t’honorer,
A beaux genoux te venir adorer,
Tenant au poing leurs flambantes chandelles!
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
de qui est ce ??
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
celui-ci devrait faire palir certains et certaines !
Mignonne, sais-tu qu’on me blâme
De t’aimer comme je le fais ?
On dit que cela, sur mon âme !
Aura de singuliers effets;
Que tu n’es pas une duchesse,
Et que ton cul fait ta richesse,
Qu’en ce monde, ou rien n’est certain,
On peut affirmer une chose:
C’est que ton con vivant et rose
N’est que le con d’une putain !
Qu’est-ce que cela peut foutre ?
Lorsqu’on tient ces vains propos,
Je les méprise, et je passe outre,
Alerte, gaillard et dispo !
Je sais que près de toi je bande
Vertement, et je n’appréhende
Aucun malheur, sinon de voir,
Entre mes cuisses engourdies,
Ma pine flasque et molle choir !…
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ladybroum (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "granitalpina"de qui est ce ??
de toi !
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ladybroum (clôturé)
il y a 8 ans
Timide impatience
Je suis devant ce paysage féminin
Comme l’est un enfant devant le brûlant feu,
Le menton dans les mains, les larmes aux yeux,
Voulant plein de désir faire saillir vos deux seins.
Sont-ce, ma princesse, mes regards qui sans cesse
Vous font rougir, rire ? Devant tant de promesses
Je brûle d’impatience de vous parcourir
Au rythme langoureux de vos charnels soupirs.
Na !
de qui es ce ?
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "ladybroum"Timide impatience
Je suis devant ce paysage féminin
Comme l’est un enfant devant le brûlant feu,
Le menton dans les mains, les larmes aux yeux,
Voulant plein de désir faire saillir vos deux seins.
Sont-ce, ma princesse, mes regards qui sans cesse
Vous font rougir, rire ? Devant tant de promesses
Je brûle d’impatience de vous parcourir
Au rythme langoureux de vos charnels soupirs.
Na !
de qui es ce ?
meci gougle
Timide impatience
Je suis devant ce paysage féminin
Comme l’est un enfant devant le brûlant feu,
Le menton dans les mains, les larmes aux yeux,
Voulant plein de désir faire saillir vos deux seins.
Sont-ce, ma princesse, mes regards qui sans cesse
Vous font rougir, rire ? Devant tant de promesses
Je brûle d’impatience de vous parcourir
Au rythme langoureux de vos charnels soupirs.
Alexandre Guillemaud
Je vous invite à visionner la version animée en flash de ce poème d'amour érotique "Timide impatience" sous ce lien : http://www.poemes-d-amour.123.fr/poemes2.html ou en cliquant au niveau de l'image du poème !
Je vous remercie par avance de partager vos commentaires !
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "ladybroum"Citation de "granitalpina"de qui est ce ??
de toi !
non pas !
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ladybroum (clôturé)
il y a 8 ans
la jouissance et les désirs sont ce que l'âme a de plus rare, d'un vit , d'un con , et de deux cœurs naît un accord plein de douceur
Que les dévots blâment sans cause
heuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
oui pas simple tout ça
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granitalpina (clôturé)
il y a 8 ans
L’épouseur de famille
Fuit la fille
Qui n’a pour dot qu’un cu
Sans écu.
Aussi, quoique jolie,
Azélie
Se trouve vierge encor
Faute d’or.
Le désir la picote
Sous sa cotte,
Et souvent elle doit
Mettre un doigt
Qui longtemps y repose
Sur sa rose.
Le dard raide et fumant
D’un amant
Ferait mieux son affaire,
Mais que faire
Quand on est seule au lit
Et qu’on lit
Un roman érotique
Spermatique,
Qui fait rentrer le bras
Sous les draps ?
La main partout lutine,
Libertine,
Agace le bouton
Du téton
Qui, sentant la caresse
Se redresse,
Passe au ventre poli
Sans un pli,
Tâte les fesses, rondes
Mappemondes,
Entr’ouvre les poils longs,
Bruns ou blonds
Et glisse triomphante
Dans la fente
Où, sous le capuchon
Folichon,
Le clitoris s’abrite,
Rose ermite.
L’index frotte d’abord
Sur le bord
La coquille rosée
Arrosée
Du liquide élixir
Du désir ;
Cherche le point sensible
De la cible,
Et trouvant le ressort
Bandé fort,
Fait jaillir Aphrodite
Interdite
D’avoir joué ce tour
À l’amour.
D’autres fois, plus lubrique,
Elle applique
En long son traversin
Sur son sein ;
Dans ses cuisses l’enferme,
Fort et ferme,
L’étreint comme un amant
Puisamment,
Lève les reins et frotte
À sa motte
Le molasse phallus
Tant et plus.
Ce sac de plume d’oie
Qui se ploie,
Représente assez mal
L’idéal.
Pourtant la pose est digne
Du beau cygne
Qui, chez les Grecs, banda
Pour Léda.
Hélas ! Sur la mortelle
Aucune aile
Des cieux en frémissant
Ne descend.
Aucun dieu de l’Olympe
Ne la grimpe :
Les dieux, chauds autrefois,
Sont très froids.
La jouissance arrive,
Convulsive,
Tachant d’un jet subtil
Le courtil.
Dans la petite coupe
Une soupe,
Où manque le bouillon
De couillon,
Par Vénus attrapée
Est trempée ;
Et l’amour autre part
Met son dard !
Moralité
Ma fille, sois ardente,
Mais prudente,
Et sentant l’oreiller
Se plier
Tout au bas de ton ventre
Où rien n’entre
Ne va pas, pour jouir,
Enfouir
Dans ta fleur élargie
Ta bougie.
Bientôt le chandelier
Tout entier
Suivrait, sans la bobèche
Qui l’empêche.
Au fond du temple étroit
Que le doigt
Respecte la membrane
Diaphane,
Dont passera l’hymen
L’examen.
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maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Je te salue, Ô merveillette fente,
Qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis,
Qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente
L’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits
Je sens sa force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu,
D’un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles:
Tous vers galans devraient, pour t’honorer,
A beaux genoux te venir adorer,
Tenant au poing leurs flambantes chandelles!
Dare dare dard çà c'est du Ronsard
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