Je croyais qu'amour
ne rimait qu'avec toujours
ce n'est pourtant pas le cas
puisque tu t'es tiré loin de moi
une autre fait battre ton cœur
tu me souhaites de trouver le bonheur
ne comprends-tu donc pas
que je n'pourrais aimer un autre que toi
de rage j'ai brulé tes photos
mises aux poubelles tes cadeaux
quand je te traite de salop au téléphone
en m'disant que tu es à moi ou personne
amour ne m'en veux pas
ce n'est que pour entendre ta voix
tant de choses faites par chagrin
comme de ta voiture coupée les freins
désolés de t'avoir poussé sous l'métro
c'était pour qu'elle ne te trouve pas beau
elle, ça m'étonnerait que tu la vois encore
puisque j'ai enterré son corps
tout est aller crescendo
quand sur ta tête est tombé le piano
j'espère que tu me reviendras
une fois sortie de ton coma
pourquoi ne comprends-tu pas
que c'est seulement par amour que j'ai fait ça
Citation de calliope1
Je croyais qu'amour
ne rimait qu'avec toujours
ce n'est pourtant pas le cas
puisque tu t'es tiré loin de moi
une autre fait battre ton cœur
tu me souhaites de trouver le bonheur
ne comprends-tu donc pas
que je n'pourrais aimer un autre que toi
de rage j'ai brulé tes photos
mises aux poubelles tes cadeaux
quand je te traite de salop au téléphone
en m'disant que tu es à moi ou personne
amour ne m'en veux pas
ce n'est que pour entendre ta voix
tant de choses faites par chagrin
comme de ta voiture coupée les freins
désolés de t'avoir poussé sous l'métro
c'était pour qu'elle ne te trouve pas beau
elle, ça m'étonnerait que tu la vois encore
puisque j'ai enterré son corps
tout est aller crescendo
quand sur ta tête est tombé le piano
j'espère que tu me reviendras
une fois sortie de ton coma
pourquoi ne comprends-tu pas
que c'est seulement par amour que j'ai fait ça
amour vache
En guise de réponse à calliope1, via Morganna, l’ondoyante initiatrice de ce fil, qui rassemble en une même unité poétique océan et forêt.
Mourir dans le métro par celle qui aimait trop
Ou celle qui aimait mal, prenant cœur pour cachot
Rien à l’horizon de ses bleus regards amers
Gravant oraisons dans le marbre des cimetières
Ailes sombres mortifères des sentiments glacés
Ne vous repliez plus sur l’Amour-Liberté
Nu à demi, gisant sur le ballast froid
Aucun signe de toi n’étranglera ma voix
Et bien sûr, de tendres baisers à ma louloutte éternelle, à mon Haffaf sans qui je ne suis plus rien.
Citation de arno35000
En guise de réponse à calliope1, via Morganna, l’ondoyante initiatrice de ce fil, qui rassemble en une même unité poétique océan et forêt.
Mourir dans le métro par celle qui aimait trop
Ou celle qui aimait mal, prenant cœur pour cachot
Rien à l’horizon de ses bleus regards amers
Gravant oraisons dans le marbre des cimetières
Ailes sombres mortifères des sentiments glacés
Ne vous repliez plus sur l’Amour-Liberté
Nu à demi, gisant sur le ballast froid
Aucun signe de toi n’étranglera ma voix
Et bien sûr, de tendres baisers à ma louloutte éternelle, à mon Haffaf sans qui je ne suis plus rien.
Plus de son, plus de vent, juste un battement
Sourd rythme qui bat de sa marche macabre,
Dois je me réveiller et ouïr celle qui me ment
Ou m'évanouir dans les limbes, leurs palabres.
Bat mon coeur donne moi le chemin du temps,
Qui me bercera quiètement sous ma peau glabre.
Citation de morganna
Plus de son, plus de vent, juste un battement
Sourd rythme qui bat de sa marche macabre,
Dois je me réveiller et ouïr celle qui me ment
Ou m'évanouir dans les limbes, leurs palabres.
Bat mon coeur donne moi le chemin du temps,
Qui me bercera quiètement sous ma peau glabre.
Mes bras t’ont attendue, mes bras t’ont espérée
Ondine rafraîchissante à chevelure dorée
Ravissements éphémères, espoirs laminés
Générique de fin, l’histoire est terminée
À tes vers oniriques répondent mes abîmes
Né de ton chant sublime, je péris à sa rime
Naïade désinvolte dont les mots assassinent
Approche et contemple mes maux gonflés de spleen
Citation de morganna
Plus de son, plus de vent, juste un battement
Sourd rythme qui bat de sa marche macabre,
Dois je me réveiller et ouïr celle qui me ment
Ou m'évanouir dans les limbes, leurs palabres.
Bat mon coeur donne moi le chemin du temps,
Qui me bercera quiètement sous ma peau glabre.
MORGANNA – la fonte des nuits
Matinée opalescente des sens en fusion
Ourlets d’écume-albâtre soulignant l’horizon
Réveillés à peine, symphonie d’oiseaux de mer
Gardons serrés encore nos corps en pleine lumière
À cette nuit fondue dans le métal des rêves
Ne répond que l’envie d’une ivresse sans trêve
Nos battements de cœur cherchant leur harmonie
Arpégeront les mots que la nuit tu m’écris
Citation de arno35000
MORGANNA – la fonte des nuits
Matinée opalescente des sens en fusion
Ourlets d’écume-albâtre soulignant l’horizon
Réveillés à peine, symphonie d’oiseaux de mer
Gardons serrés encore nos corps en pleine lumière
À cette nuit fondue dans le métal des rêves
Ne répond que l’envie d’une ivresse sans trêve
Nos battements de cœur cherchant leur harmonie
Arpégeront les mots que la nuit tu m’écris
Et voici la nuit feutre qui s'approche, louve vaillante,
Soufflant l'une après l'autre les flammes vacillantes,
Plus de bruits ni de chants, juste une brume grisonnante
Dansant sur le ressac apaisant de la belle ondoyante,
Donne moi ta main et prenons place sous la canopée,
A même le sol sur la mousse du sable juste asséché
Que ciel et horizon soient toiles à muser et esquisser
Pour que de nos rêves naissent jolies pensées.
Citation de morganna
Et voici la nuit feutre qui s'approche, louve vaillante,
Soufflant l'une après l'autre les flammes vacillantes,
Plus de bruits ni de chants, juste une brume grisonnante
Dansant sur le ressac apaisant de la belle ondoyante,
Donne moi ta main et prenons place sous la canopée,
A même le sol sur la mousse du sable juste asséché
Que ciel et horizon soient toiles à muser et esquisser
Pour que de nos rêves naissent jolies pensées.
MORGANNA – poétesse pyromane
M’étendre loin de l’abrupte réalité
Oublier un instant ta virtualité
Ressentir encore ta main posée sur ma taille
Garder de tes regards d’abyssales entailles
À ces ponts jetés entre nos deux horizons
Nés des mots que nuitamment nous nous échangeons
Nés de l’innocence qui dans l’alcôve se noie
À toi qui jettes du feu sur mes sens en émoi
Citation de arno35000
MORGANNA – poétesse pyromane
M’étendre loin de l’abrupte réalité
Oublier un instant ta virtualité
Ressentir encore ta main posée sur ma taille
Garder de tes regards d’abyssales entailles
À ces ponts jetés entre nos deux horizons
Nés des mots que nuitamment nous nous échangeons
Nés de l’innocence qui dans l’alcôve se noie
À toi qui jettes du feu sur mes sens en émoi
Au plaisir palpable chaque fois renouvelé
De la lecture de tes mots joliment posés,
Je soufflerai baiser dans ton cou parfumé.
De ta taille à tes mains, en toute insouciance
Une caresse, les flammes d'un pas de danse,
Nos doigts qui se mêlent avec aisance.
Tends l'oreille, malgré la distance et inscris
Sur tes lèvres un séraphique sourire ravi,
Car je chuchote, contre ton être le mien blotti.