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Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morçure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immmortels tourments.
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C'est beau et fort dans l'ultime de ce que cela (me) suggère :
La solitude d'un écueil n'attendant plus que le vent, comme un amant,
pour ne s'en offrir de sa morsure, qu'une pensée défiant encore le temps.
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maachou258147 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morçure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immmortels tourments.
bonjour.
toujours des jolie poème
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Citation de "morganna"Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morsure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immortels tourments.
Superbe, une fois de plus  
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romeo-juliette (clôturé)
il y a 9 ans
Si je te disais la peine de mon coeur, ô ma muse
En serais-tu émue et jusqu'oû m'emporter
Vent, bourrasques, tempête, déferlant danger
éloignez des tourments mon âme confuse
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lamuse5 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morçure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immmortels tourments.
C'est jolie à lire....
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Citation de "rienousipeu"C'est beau et fort dans l'ultime de ce que cela (me) suggère :
La solitude d'un écueil n'attendant plus que le vent, comme un amant,
pour ne s'en offrir de sa morsure, qu'une pensée défiant encore le temps.
belle interprétation... la solitude comme présence et l'éphémère de la relation. merci
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Citation de "maachou258147"Citation de "morganna"Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morçure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immmortels tourments.
bonjour.
toujours des jolie poème
heyyy coucou toi.... ça faisait longtemps
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Citation de "rlomaan"Tu touches mon âme
j'en suis flattée.
bisou bonsoir toi 
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Citation de "romeo-juliette"Si je te disais la peine de mon coeur, ô ma muse
En serais-tu émue et jusqu'oû m'emporter
Vent, bourrasques, tempête, déferlant danger
éloignez des tourments mon âme confuse
tournoie et emporte vent et sentiment
entre les falaises abruptes de l'inconscient
chevauche les flots amers ardents
et trouve le repos entre les bras de l'amant
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airderien1 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Je serai écueil au coeur des océans,
caryatide résistant à la morçure des temps
offerte aux bourrasques des non venants
périssant sous la lame des faux semblants.
Enclave perdue dans l'imaginaire blanc
je deviendrai tour à tour un tout et un néant
repos de l'âme du guerrier, mère de l'enfant
vestige des mondes qui furent auparavant.
Au sein des opalines déferlantes déchainées
pour toi écrin passionnel de ton coeur torturé,
à mes pieds lécheront les écumes mordorées
volubiles larmes des gémissantes égarées.
Donne moi la main, danse, vent impatient,
grise toi aux exhalations des lieux céans
abandonne corps pieds âme lorsqu'il sera temps
sur mon âme aux cent immmortels tourments.
tu vas finir par faire peur a ts ces hommes avec autant de talent!!
bsr jolie morgana!!
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Citation de "morganna"Citation de "rienousipeu"C'est beau et fort dans l'ultime de ce que cela (me) suggère :
La solitude d'un écueil n'attendant plus que le vent, comme un amant,
pour ne s'en offrir de sa morsure, qu'une pensée défiant encore le temps.
belle interprétation... la solitude comme présence et l'éphémère de la relation. merci
Le vent qui raconterait presque à sa façon si caressante ou brusque du hasard de sa consistance, la vie avec ses attentes, ses réalités, ses espérances.
Humains qui pris dans son courent, courent-ils ou restent-ils à attendre l'inconnu de leur destinée.
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viril1966 (clôturé)
il y a 9 ans
En cette matinée d'automne éclairée
les feuilles tombent doucement
l'approche de l'hiver me dégoûte
à mes yeux, rien ne trouve grâce
Sauf toi ma jolie colombe d'amour
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