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Citation de "compote.depomme2"puis-je le déposer là ? Gabrielle de COIGNARD Obscure nuit, laisse ton noir manteau, Va réveiller la gracieuse aurore, Chasse bien loin le soin qui me dévore, Et le discours qui trouble mon cerveau. Voici le jour gracieux, clair et beau, Et le soleil qui la terre décore, Et je n'ai point fermé les yeux encore, Qui font nager ma couche tout en eau. Ombreuse nuit, paisible et sommeillante, Qui sais les pleurs de l'âme travaillante, J'ai ma douleur cachée dans ton sein, Ne voulant point que le monde le sache, Mais toutefois, je te prie sans relâche, De l'apporter aux pieds du Souverain. Grâce à vous, je viens de chercher des détails sur cette antique poétesse, t ai trouvé ceci : Gabrielle de COIGNARD (?-1594) Perce-moi l'estomac d'une amoureuse flèche, Brûle tous mes désirs d'un feu étincelant, Élève mon esprit d'un désir excellent, Foudroie de ton bras l'obstacle qui l'empêche. Si le divin brandon de ta flamme me sèche, Fais sourdre de mes yeux un fleuve ruisselant : Qu'au plus profond du cœur je porte recélant, Des traits de ton amour la gracieuse brèche. Puisque tu n'es qu'amour, ô douce charité, Puisque pour trop aimer tu nous as mérité Tant de biens infinis et d'admirables grâces, Je te veux supplier par ce puissant effort De l'amour infini qui t'a causé la mort, Qu'en tes rêts amoureux mon âme tu enlaces. MERCI
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Je viens encore de dénicher une merveille : Louis MÉNARD Recueil : Rêveries d'un païen mystique Sois fort, tu seras libre ; accepte la souffrance Qui grandit ton courage et t'épure ; sois roi Du monde intérieur, et suis ta conscience, Cet infaillible dieu que chacun porte en soi. Espères-tu que ceux qui, par leur providence Guident les sphères d'or, vont violer pour toi L'ordre de l'univers ? Allons, souffre en silence, Et tâche d'être un homme et d'accomplir ta loi. Les grands dieux savent seuls si l'âme est immortelle ; Mais le juste travaille à leur oeuvre éternelle, Fût-ce un jour, leur laissant le soin de l'avenir, Sans rien leur envier, car lui, pour la justice Il offre librement sa vie en sacrifice, Tandis qu'un dieu ne peut ni souffrir ni mourir.
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alaveugle (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Alfred de VIGNY (1797-1863) La mort du loup Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement La girouette en deuil criait au firmament ; Car le vent élevé bien au dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçait la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse ; Mais les enfants du loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Le père était debout, et plus loin, contre un arbre, Sa louve reposait comme celle de marbre Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus. Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées. Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde, Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ; Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant. Il nous regarde encore, ensuite il se recouche, Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche, Et, sans daigner savoir comment il a péri, Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri. II J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois, Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ; Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, A ne jamais entrer dans le pacte des villes Que l'homme a fait avec les animaux serviles Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher, Les premiers possesseurs du bois et du rocher. Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. - Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur ! Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler, Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. " sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien meritees,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait reciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derriere le dos ,debout face a la sentence apres une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! c'est une plaisanterie j'espère
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laperouse30 (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "alaveugle"Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Alfred de VIGNY (1797-1863) La mort du loup Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement La girouette en deuil criait au firmament ; Car le vent élevé bien au dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçait la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse ; Mais les enfants du loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Le père était debout, et plus loin, contre un arbre, Sa louve reposait comme celle de marbre Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus. Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées. Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde, Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ; Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant. Il nous regarde encore, ensuite il se recouche, Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche, Et, sans daigner savoir comment il a péri, Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri. II J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois, Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ; Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, A ne jamais entrer dans le pacte des villes Que l'homme a fait avec les animaux serviles Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher, Les premiers possesseurs du bois et du rocher. Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. - Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur ! Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler, Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. " sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien meritees,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait reciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derriere le dos ,debout face a la sentence apres une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! c'est une plaisanterie j'espère MADAME si vous m'obligez a reciter ce poeme,je quitte definitivement smail et je dirai meme plus je prend la poudre d'escampette!!!!!
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laperouse30 (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "sibelius"Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Alfred de VIGNY (1797-1863) La mort du loup Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien méritées,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait réciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derrière le dos ,debout face a la sentence après une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! Comment ça, adieu, jeune homme ? je vous ordonne de rester ou de revenir (Poésie : je me souviens d'une classe .. le camarade avait très très bien récité son poème . mais (quelle idée ! ! ), l'a terminé par Tsoin tsoin Du coup, il a écopé d'un Zéro ... c'est grave sib tu m'accuse d'etre un jeune homme!!!!a cause de cela sur la plage g j'ai fait une touche.apres le 1er regard je mit dit non c'est pas possible et puis apres le 2eme,je confirme :une touche.donc t'as raison sib tu peut le redire autant de fois que tu le voudrai.(n et n)sifflement..!!!!!!!looooool
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Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Citation de "laperouse30"[quote login="sibelius"]Alfred de VIGNY (1797-1863) sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien méritées,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait réciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derrière le dos ,debout face a la sentence après une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! Comment ça, adieu, jeune homme ? je vous ordonne de rester ou de revenir c'est grave sib tu m'accuse d’être un jeune homme!!!!a cause de cela sur la plage g j'ai fait une touche. apres le 1er regard je mit dit non c'est pas possible et puis apres le 2eme,je confirme :une touche.donc t'as raison sib tu peut le redire autant de fois que tu le voudrai.(n et n)sifflement..!!!!!!!looooool je sifflerai tu siffleras il sifflera nous sifflerons vous sifflerez ils siffleront " Elle m'a dit d'aller siffler sur la colline,de l'attendre avec un petit bouquet d'églantine " Restez, GAMIN, et sifflez tant que vous voulez faites-les toutes craquer
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Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius" sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien méritées,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait réciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derrière le dos ,debout face a la sentence après une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! Comment ça, adieu, jeune homme ? je vous ordonne de rester ou de revenir Tenez, Lapérouse : voici de quoi siffler : http://jadaperlas.com/fr/wp-content/themes/jadaperlas/timthumb.php?src=http://jadaperlas.com/fr/wp-content/uploads/2013/01/Jennifer-Lauremce.jpg&h=330&w=660&a=c http://3.bp.blogspot.com/-KXWFzv1gCp8/TaqpjhGBqMI/AAAAAAAAB6Y/HzsDuvsYXM8/s1600/R2.jpg http://www.arows3.com/WOMAN%203.jpg Servez-vous merci sib pour ces morceaux de choix et je me sert bien sur en portions.http://s.wat.tv/image/images-droles-insolites-web_3uml5_1n6wcc.jpg Ha, ben, dites donc .. Monsieur ne s'ennuie pas, pendant les vacances
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laperouse30 (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "sibelius"Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius"Citation de "laperouse30"Citation de "sibelius" sib on est en plein été,les gens sont en vacances bien méritées,ils sont deconnexés de la vie reelle et ses problèmes.les souvenirs de cm1 ou cm2 ou il fallait réciter ce poeme de bon matin devant le bureau du maitre d'ecole par des matins froids et pluvieux,les mains derrière le dos ,debout face a la sentence après une ou deux fautes et les bégaiements qui vont avec.....merci sib pour ces merveilleux souvenirs.....mes adieux sur smail ,je n'en peut plus!!!!!!!!!!!!!! Comment ça, adieu, jeune homme ? je vous ordonne de rester ou de revenir Tenez, Lapérouse : voici de quoi siffler : http://jadaperlas.com/fr/wp-content/themes/jadaperlas/timthumb.php?src=http://jadaperlas.com/fr/wp-content/uploads/2013/01/Jennifer-Lauremce.jpg&h=330&w=660&a=c http://3.bp.blogspot.com/-KXWFzv1gCp8/TaqpjhGBqMI/AAAAAAAAB6Y/HzsDuvsYXM8/s1600/R2.jpg http://www.arows3.com/WOMAN%203.jpg Servez-vous merci sib pour ces morceaux de choix et je me sert bien sur en portions.http://s.wat.tv/image/images-droles-insolites-web_3uml5_1n6wcc.jpg Ha, ben, dites donc .. Monsieur ne s'ennuie pas, pendant les vacances t'en veut un morceau?lol
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