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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
takkine
mdr
et ben
c'est direct !
mais au moins c'est clair !!!
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takkine (clôturé)
il y a 7 ans
fredvienne
Jamais trouvé utile de tourner autour du pot alors qu'il suffit de plonger dedans.
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sunset64 (clôturé)
il y a 7 ans
Il n'y'a pas d'autres poétesses ?
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
takkine
ca c'est sur !!
un pot avec des poils autour ??????
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
même si je mets une robe, je ne serais jamais poetesse ni muse !!
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sunset64 (clôturé)
il y a 7 ans
fredvienne
Ceci n'est pas un poéme mais une petite citation :
Dans chaque femme il y'a quelque chose de bien.....
Mais vous devez l'introduire vous même .....
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Dehors, les fleurs de cerisier tombent en virevoltant
et le ciel se couvre de nuées s'emmoutonnant
Allons viens, quitte cette fenêtre, belle enfant
l'embrasure n'est pas aussi douce que ton amant.
Allonge toi et offre à ma bouche ton globe immaculé
blanche et tendre gourmandise parfumée à abuser
et d'un coup de langue, sa cerise rosée à titiller,
ses contours avec doigté à redessiner.
Laisse, belle enfant, mes mains dans le creux de tes reins
que j'attire ton corps au confins du mien
ma bouche à gober ta langue qui avant s'égarait en chemin
mes doigts habiles à gravir ton cul , plaisir divin.
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En ta présence les jardins
Fleurissent chaque matin…
Et l’histoire se transforme
En des pépites de saphir
Que les prêtres sèment
Dans les temples sumériens
Chaque nuit de pleine Lune ..
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morganna.....Wouaw ... Très joli belle preincesse ( k )
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comptefermer
moui quand je veux je sais aligner mes mots
j'aime tes poésies aussi tit soleil
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moirosa (clôturé)
il y a 7 ans
feeronce Que de vulgarité de la part d'une femme, quelle audace !!!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
puis je remettre un poème sans être la cible de certains ??
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
moirosa
lol
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Certes, elle n'était pas femme et charmante en vain,
Mais le terrestre en elle avait un air divin.
Des flammes frissonnaient sur ses lèvres hardies ;
Elle acceptait l'amour et tous ses incendies,
Rêvait au tutoiement se risquait pas à pas,
Ne se refusait point et ne se livrait pas ;
Sa tendre obéissance était haute et sereine;
Elle savait se faire esclave et rester reine,
Suprême grâce ! et quoi de plus inattendu
Que d'avoir tout donné sans avoir rien perdu !
Elle était nue avec un abandon sublime
Et, couchée sur un lit, semblait sur une cîme.
A mesure qu'en elle entrait l'amour vainqueur
On eût dit que le ciel lui jaillissait du coeur ;
Elle vous caressait avec de la lumière ;
La nudité des pieds fait la marche plus fière
Chez ces êtres pétris d'idéale beauté ;
Il lui venait dans l'ombre au front une clarté
Pareille à la nocturne auréole des pôles ;
A travers les baisers de ses blanches épaules
On croyait voir sortir deux ailes lentement ;
Son regard était bleu, d'un bleu de firmament ;
Et c'était la grandeur de cette femme étrange
Qu'en cessant d'être vierge elle devenait ange.
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