Jean-Paul Belmondo, le monstre sacré du cinéma français, est mort ce lundi 6 septembre à son domicile à Paris à l'âge de 88 ans. Bébel a tourné dans 80 films et laisse derrière lui des rôles inoubliables.
Quoi ma gueule ? aurait pu demander Jean-Paul Belmondo. Car, de fait, il ne collait pas vraiment aux canons de la beauté pure : un pif en pois chiche, des poches sous les yeux, une grosse bouche parfois asymétrique… Rien à voir avec la grâce irréprochable d’Alain Delon, son éternel challenger, ou la trogne mignonne et espiègle d’un Jean-Claude Brialy.
D’ailleurs, le sourcilleux Pierre Dux, professeur au Conservatoire national d’art dramatique, décrète devant cet élève atypique : « Avec la tête qu’il a, il ne pourrait jamais prendre une femme dans ses bras, car cela ne serait pas crédible ! » Heureusement que même les profs du Conservatoire, y compris quand ils sont d’immenses comédiens se trompent parfois. Car Belmondo, c’est surtout un œil qui pétille, un sourire qui fait craquer, une mèche judicieusement coquine, bref, un charme dingue qui arrache l’empathie. Allez, on ose enlever sa chemise, pour tâter les abdos et vérifier les pectoraux : là, tout est parfait ! Franchement, qui n’aimait pas « Bébel » ? Et qui ne l’aime pas aujourd’hui ?
D’ailleurs, Jean-Paul Belmondo est né sportif. Cabotin, et sportif. Diablotin et sportif. Insolent et sportif. Son père, le sculpteur Paul Belmondo l’inscrit dans les meilleures écoles, il s’en fait virer. Il préfère le foot, le cyclisme et la boxe : neuf combats, quatre victoires, un nul.
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Citation de savanee
Jean-Paul Belmondo, le monstre sacré du cinéma français, est mort ce lundi 6 septembre à son domicile à Paris à l'âge de 88 ans. Bébel a tourné dans 80 films et laisse derrière lui des rôles inoubliables.
Quoi ma gueule ? aurait pu demander Jean-Paul Belmondo. Car, de fait, il ne collait pas vraiment aux canons de la beauté pure : un pif en pois chiche, des poches sous les yeux, une grosse bouche parfois asymétrique… Rien à voir avec la grâce irréprochable d’Alain Delon, son éternel challenger, ou la trogne mignonne et espiègle d’un Jean-Claude Brialy.
D’ailleurs, le sourcilleux Pierre Dux, professeur au Conservatoire national d’art dramatique, décrète devant cet élève atypique : « Avec la tête qu’il a, il ne pourrait jamais prendre une femme dans ses bras, car cela ne serait pas crédible ! » Heureusement que même les profs du Conservatoire, y compris quand ils sont d’immenses comédiens se trompent parfois. Car Belmondo, c’est surtout un œil qui pétille, un sourire qui fait craquer, une mèche judicieusement coquine, bref, un charme dingue qui arrache l’empathie. Allez, on ose enlever sa chemise, pour tâter les abdos et vérifier les pectoraux : là, tout est parfait ! Franchement, qui n’aimait pas « Bébel » ? Et qui ne l’aime pas aujourd’hui ?
D’ailleurs, Jean-Paul Belmondo est né sportif. Cabotin, et sportif. Diablotin et sportif. Insolent et sportif. Son père, le sculpteur Paul Belmondo l’inscrit dans les meilleures écoles, il s’en fait virer. Il préfère le foot, le cyclisme et la boxe : neuf combats, quatre victoires, un nul.
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" Avec Bebel, depuis plusieurs années, tout ne passait plus que par le regard. Et il s’en passait des choses, dans le regard... Infinie gratitude pour tout ce que tu nous a donné, Jean-Paul, Le Magnifique ! Toutes mes condoléances à Paul et Luana. "
Citation de savanee
bonsoir fouthese ...
j'avais un ami photographe qui était le portrait de Nicolas Peyrac ...
et bien entendu "fan" de ses chansons ...
Hello Savanee,
tu t'adresses à un photographe là...
Du genre: qui recherche le Beau plutôt que des scoops !
Aventure permettant une grande ouverture au monde...