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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Museler l'art c'est museler la liberté de penser, le maire UMP du Blanc Mesnil ne doit pas trop apprécier les artistes....
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paturon (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "flo056"Museler l'art c'est museler la liberté de penser, le maire UMP du Blanc Mesnil ne doit pas trop apprécier les artistes.... j'suis d'accord avec vous , vive floo , vive la France , vive l'art !!
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sisyphealamontagne (clôturé)
il y a 9 ans
Art et politique ♪ Mieux vaut éviter de les marier. ♫ Comme l'a fait Dieudonnée Et l'invité du corps susnommé. Yeahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. L'art est un acte politique en soi. Mais sans contenir de discours politique direct. Sinon, ce n'est plus de l'art, mais de la propagande. Il n'est en rien muselé, on n'a pas encore ordonné de brûler ses CD, retiré son nom d'internet à coup de burin, et incarcéré son grand corps... Pour ce qui est la liberté de penser, je conseille la magnifique chanson de Florent Pagny... ou pas. Il est courant de confondre la liberté d'expression et la liberté de penser. Ici, c'est l'expression qui est censurée, pas la pensée profonde de ces auteurs-interprètes. Penser n'est pas une liberté même si j'aimerais le penser autrement. Et souvent ceux qui se taisent n'en pensent pas moins.
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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Citation de "flo056"Museler l'art c'est museler la liberté de penser, le maire UMP du Blanc Mesnil ne doit pas trop apprécier les artistes.... C esr con c'est dans la lignée du personnage
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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "sisyphealamontagne"Art et politique ♪ Mieux vaut éviter de les marier. ♫ Comme l'a fait Dieudonnée Et l'invité du corps susnommé. Yeahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. L'art est un acte politique en soi. Mais sans contenir de discours politique direct. Sinon, ce n'est plus de l'art, mais de la propagande. Il n'est en rien muselé, on n'a pas encore ordonné de brûler ses CD, retiré son nom d'internet à coup de burin, et incarcéré son grand corps... Pour ce qui est la liberté de penser, je conseille la magnifique chanson de Florent Pagny... ou pas. Il est courant de confondre la liberté d'expression et la liberté de penser. Ici, c'est l'expression qui est censurée, pas la pensée profonde de ces auteurs-interprètes. Penser n'est pas une liberté même si j'aimerais le penser autrement. Et souvent ceux qui se taisent n'en pensent pas moins. non l'art n'est pas obligatoirement politique.... Permettez moi de ne pas partager vos gout sur Florent pagny car sa chanson est tout a fait demagogique... surtout quand on sait qu'il a organisé sa faillite.....
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almadi35 (clôturé)
il y a 9 ans
Elite juive on na droit as. Rien
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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "almadi35"Elite juive on na droit as. Rien C'est n'importe quoi
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Citation de "sisyphealamontagne"Art et politique ♪ Mieux vaut éviter de les marier. ♫ Comme l'a fait Dieudonnée Et l'invité du corps susnommé. Yeahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. L'art est un acte politique en soi. Mais sans contenir de discours politique direct. Sinon, ce n'est plus de l'art, mais de la propagande. Il n'est en rien muselé, on n'a pas encore ordonné de brûler ses CD, retiré son nom d'internet à coup de burin, et incarcéré son grand corps... Pour ce qui est la liberté de penser, je conseille la magnifique chanson de Florent Pagny... ou pas. Il est courant de confondre la liberté d'expression et la liberté de penser. Ici, c'est l'expression qui est censurée, pas la pensée profonde de ces auteurs-interprètes. Penser n'est pas une liberté même si j'aimerais le penser autrement. Et souvent ceux qui se taisent n'en pensent pas moins. Décidément ce sisyphealamontagne, j'aime bien ses interventions...en tout cas ce que j'aime bien dans cette réponse, c'est une certaine ouverture des possibles, non conventionnels, dans sa façon d'amener un état de réflexion ; et celui-ci par exemple en est un : " Penser n'est pas une liberté même si j'aimerais le penser autrement. Et souvent ceux qui se taisent n'en pensent pas moins. " C'est vaste comme implications que cela sous entend, toutes celles de l'antagonisme entre l'enfermement, l'auto-enfermement même, de l'émotionnel (ressenti) et/ou de l'expression (le dire) et celui du relationnel à l'autre qu'il le soit ouvert ou restreint. En effet penser n'est pas une liberté, c'est un acquis qu'on ne peut facilement réduire, tout au plus lui imposer un silence vis à vis de certaines choses qu'il pourrait s'autoriser la liberté et la plus ou moins intense velléité de dire. Quoique, si l'on observe certaines catégories de personnes dans des situations particulières, on pourrait remarquer qu'elles ont toujours la liberté de penser - enfin son possible - mais que par soumission, captation, enfermement culturelles ou/et sociétaux, elles auraient presque oublié jusqu'à l'acquit de cette possibilité de penser...cette possibilité de penser...autre...car la pensée ne trouvera jamais plus grande liberté à développer son acquit que si elle conserve son libre arbitre interne...celui qui la fait s'interroger sur le monde, sur l'environnement, sur l'autre, sans oublier sur soi-même.
Modifié il y a 9 ans, le samedi 16 mai 2015 à 14:21
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Maintenant pour en revenir à ce que sous entend, en arrière plan, la question de l'initial du sujet, l'art et une certaine contrainte, il faudrait avoir une vision dépassionnée je serais tenté de dire, car l'art est une forme presque "récréative" d'une pensée émise se voulant différente ou forte ou "interpellative" ; récréative ou re-créative, on est pas loin, même si proche avec ses deux mots qui pourraient indiquer le vaste de ce que l'art peut apporter à une façon de penser, une façon de le dire, une façon de suggérer le percevoir. Vouloir réduire l'art à certaines convenances culturelles et sociétales, c'est un début de dictature insidieuse que l'on installe. Le problème dans nos sociétés et ce que nous avons fait, est que l'humain n'a pas atteint la maturité de ce qu'il devrait avoir atteint...la non peur de l’expression, de toute l’expression, parce que s’il l’avait atteint – cette maturité – il n’aurait aucun autre dictat vis-à-vis d’une pensée dérangeante, même amenée sur le terrain de l’art, que lui opposer et pourquoi pas aussi avec art, une pensée contradictoire ou différente ; c’est en pensant différemment ou multiple et qu’on l’affiche et autorise l’autre à le faire, qu’on se permet une possible véritable avancée...
Modifié il y a 9 ans, le samedi 16 mai 2015 à 15:12
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sisyphealamontagne (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rienousipeu"... En effet penser n'est pas une liberté, c'est un acquis qu'on ne peut facilement réduire, tout au plus lui imposer un silence vis à vis de certaines choses qu'il pourrait s'autoriser la liberté et la plus ou moins intense velléité de dire. Quoique, si l'on observe certaines catégories de personnes dans des situations particulières, on pourrait remarquer qu'elles ont toujours la liberté de penser - enfin son possible - mais que par soumission, captation, enfermement culturelles ou/et sociétaux, elles auraient presque oublié jusqu'à l'acquit de cette possibilité de penser...cette possibilité de penser...autre...car la pensée ne trouvera jamais plus grande liberté à développer son acquit que si elle conserve son libre arbitre interne...celui qui la fait s'interroger sur le monde, sur l'environnement, sur l'autre, sans oublier sur soi-même. La question cyclique que je me pose, c'est pourquoi est-ce que je pense ce que je pense et pourquoi je pense ainsi ? Question qui m'amène à la folie, celle d'un tourbillon sans fin qui s'avale lui-même. Et elle reste donc sans réponse. Où plutôt elle m'amène à la constatation que je suis construit ainsi. Et non pas que je me construis. Ce qui me donne plus l'impression d'être programmé que libre et d'avoir un inconnu en moi qui gouverne dans l'ombre. L'inconscient de Freud (mais le mien quand même) peut-être, je ne sais pas. Même si ce programme me donne la possibilité d'évoluer et d'apprendre, selon un schéma qui m'échapperait et qui ne m'appartient pas. Je n'ai donc pas l'impression que la culture nourrit réellement l'essence de ma pensée, mais fais évoluer le filtre qui me dit ça j'aime, ça j'aime pas... Ce qui permet une certaine ouverture et une plus grande liberté de choix. La matière à penser étant influencé par le monde extérieur, augmenter son influence, la diversifié plutôt, me permet de trouver quelques parts, je pense, une connaissance du moi caché. Qui m'est inconnue, car découverte au contact de l'extérieur et à une certaine introspection ? L'introspection sans nourriture extérieure,peut-elle vraiment être une liberté et permettre de se connaître ou d'évoluer ? Une connaissance peut-être très réduite comme vous la décrivez. Peut-être, voulais-je simplement demander : 1)si la pensée autre, est intérieur ou extérieur ou la somme des deux ? 2)Et si le libre arbitre n'est pas quelque chose d'interne qui ne se contrôle pas. Et est aussi libre du je. Un penseur libre en nous et libre de nous. Quelque chose comme ça...
Modifié il y a 9 ans, le samedi 16 mai 2015 à 19:43
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flo056 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "sisyphealamontagne"Citation de "rienousipeu"... En effet penser n'est pas une liberté, c'est un acquis qu'on ne peut facilement réduire, tout au plus lui imposer un silence vis à vis de certaines choses qu'il pourrait s'autoriser la liberté et la plus ou moins intense velléité de dire. Quoique, si l'on observe certaines catégories de personnes dans des situations particulières, on pourrait remarquer qu'elles ont toujours la liberté de penser - enfin son possible - mais que par soumission, captation, enfermement culturelles ou/et sociétaux, elles auraient presque oublié jusqu'à l'acquit de cette possibilité de penser...cette possibilité de penser...autre...car la pensée ne trouvera jamais plus grande liberté à développer son acquit que si elle conserve son libre arbitre interne...celui qui la fait s'interroger sur le monde, sur l'environnement, sur l'autre, sans oublier sur soi-même. La question cyclique que je me pose, c'est pourquoi est-ce que je pense ce que je pense et pourquoi je pense ainsi ? Question qui m'amène à la folie, celle d'un tourbillon sans fin qui s'avale lui-même. Et elle reste donc sans réponse. Où plutôt elle m'amène à la constatation que je suis construit ainsi. Et non pas que je me construis. Ce qui me donne plus l'impression d'être programmé que libre et d'avoir un inconnu en moi qui gouverne dans l'ombre. L'inconscient de Freud (mais le mien quand même) peut-être, je ne sais pas. Même si ce programme me donne la possibilité d'évoluer et d'apprendre, selon un schéma qui m'échapperait et qui ne m'appartient pas. Je n'ai donc pas l'impression que la culture nourrit réellement l'essence de ma pensée, mais fais évoluer le filtre qui me dit ça j'aime, ça j'aime pas... Ce qui permet une certaine ouverture et une plus grande liberté de choix. La matière à penser étant influencé par le monde extérieur, augmenter son influence, la diversifié plutôt, me permet de trouver quelques parts, je pense, une connaissance du moi caché. Qui m'est inconnue, car découverte au contact de l'extérieur et à une certaine introspection ? L'introspection sans nourriture extérieure,peut-elle vraiment être une liberté et permettre de se connaître ou d'évoluer ? Une connaissance peut-être très réduite comme vous la décrivez. Peut-être, voulais-je simplement demander si la pensée autre est intérieur ou extérieur ou la somme des deux ? Et si le libre arbitre n'est pas quelque chose d'interne qui ne se contrôle pas et est aussi libre du je. Un penseur libre en nous et libre de nous. Quelque chose comme ça... Le libre arbitre est quelque chose d'internet... Mais le libre arbitre ce n'est pas l'opposition systématique du blanc ou du noir ou de la mort avec la vie... Le libre arbitre peut être une opposition entre deux morts deux vies deux blancs... Il est de bon ton surtout avec Internet de faire croire que l'on vous manipule... Et paradoxalement plus avez accès à des connaissances plus vous penser que l'on peut vous manipuler... Mais ce n'est pas parce que vous avez accès à la connaissance que vous avez la connaissance... La plupart ici font cette confusion ils ne font plus l'effort suffisant de la thèse et de l'antithèse... Par exemple vous avez des gens qui vont vous dire que tel médicament est dangereux puisqu'il a fait plus de mille morts en occultant les millions de vies qu'il a sauvé... Pour l'art ici c'est pareil un grand nombre va vous dire que l'art coûte cher que c'est pour les bobos et qu'artiste est un métier de feneants... Oubliant que l'art à des retombées financières extraordinaires... Pour citer par exemple les vieilles charues, Avignon, la hellfest... Trois styles différents trois retombées économiques enormes
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sisyphealamontagne (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "cousin-hubert" http://www.marsactu.fr/culture/la-mairie-daubagne-interdit-des-artistes-pornographiques-35140.html http://www.lerougeetlenoir.org/reinformation/les-breves/exclusif-le-suicide-francais-d-eric-zemmour-censure-dans-plusieurs-bibliotheques-municipales l'intolérance est de partout ! C'est bien la preuve qu'il ne faut pas tenir pour un acquis la liberté d'expression et qu'elle mérite toujours que l'on se batte pour elle. Je reviens aussi sur le fait que l'art est politique. Sinon pourquoi les politiciens n'arrêtent pas de la censurer ou de le récompenser ? Que la plupart des religions bannissent l'art et/ou le contrôlent totalement et l'utilisent comme propagande. Les oeuvres présentées sont violentes, mais l'artiste s'en défend très bien. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu quelque chose d'aussi percutant artistiquement que ce soit la toile sur la sexualité ou la statue animée. Maintenant que l'expression ou le message derrière dérange, c'est l'ouverture à un dialogue soit artistique ou autre. Mais un pas vers la maturité dont parlait rienousipeu et qui n'est vraiment pas atteinte même dans le pays de la liberté... D'ailleurs, les artistiques qui marquent leur temps sont ceux qui dérangent et son annonciateur d'un changement, d'une prise de conscience collective. La différence avec ces deux oeuvres et le concert annulé c'est qu'il n'y a pas de propagande pour un parti ou une couleur politique clairement affichés. Juste le ressenti affectif, intellectuel, l'expression des artistes. Qui amène un débat politique déjà sur la question de l'art peut-il tout montrer. Sans encore parler des messages des oeuvres elles-mêmes. Mais est-ce de l'intolérance ou un muselage ? Quel politicien parle de sexualité ou de la natalité ? Et je ne crois pas que ces oeuvres peuvent être considérées ou qualifiées de pornographiques (enfin, peut-être, mais le terme est tellement vide et génériquement hygiénique comparé au contenu).
Modifié il y a 9 ans, le samedi 16 mai 2015 à 22:22
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