Bohème sur la septième...

Citation de "desmotspassent"






" Est-ce que notre ruine profite à la Terre ",est-il demandé.


Par " Terre ",il faut entendre: toutes les autres formes de vie.
J'essaie d'imaginer ce silence de l'Univers si toutes disparaissaient par notre faute.
Nous en sommes les principaux spectateurs.
Il n'y aurait plus de spectateurs...
Ce qui confirmerait peut-être le non-sens foncier de l'humaine condition et de ses questionnements.

Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"





Nous sommes des êtres vraiment particuliers puisque nous sommes capables de mimer la barbarie dont nous nous rendons coupables dans des conditions " appropriées "...

Faire basculer les préjugés, l'outrecuidance... gros, GROS boulot !


Parfois je re-lis la fraîcheur de nos commencements.
Épictète par exemple.

Un Iris

...///

Citation de "desmotspassent"Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"





Nous sommes des êtres vraiment particuliers puisque nous sommes capables de mimer la barbarie dont nous nous rendons coupables dans des conditions " appropriées "...

Faire basculer les préjugés, l'outrecuidance... gros, GROS boulot !


Parfois je re-lis la fraîcheur de nos commencements.
Épictète par exemple.



Je crois que je vais remettre un peu d'ordre dans ma "bibliothèque" quelque peu éparse...
Un long, très long W.E. pluvieux...

Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"





Nous sommes des êtres vraiment particuliers puisque nous sommes capables de mimer la barbarie dont nous nous rendons coupables dans des conditions " appropriées "...

Faire basculer les préjugés, l'outrecuidance... gros, GROS boulot !


Parfois je re-lis la fraîcheur de nos commencements.
Épictète par exemple.



Je crois que je vais remettre un peu d'ordre dans ma "bibliothèque" quelque peu éparse...
Un long, très long W.E. pluvieux...

Arf !

Pourquoi y mettre de l'ordre !
La mienne est un parfait foutoir...
J'entends bien qu'elle demeure ainsi même si parfois je ne mets pas rapidement la main sur un bouquin que je veux consulter.
La vie quoi...
( Sans compter que trop d'ordre... )

Les 4 chiffres de ce post sont: 1018 - formidable hasard ! - Ou un signe ?
Enfin bref...

Mais j'entends le marchand de sable passer...
Il fait bien: quelques berceuses de ce genre sauront doucettement rendre mon esprit aux limbes:

Douce nuit Gigidelamar & Tutti !

Citation de "desmotspassent"



Un Iris

...///

J'ai beaucoup de chance, je crois, d'avoir la possibilité d'admirer ces magnifiques paysages au quotidien... Chaque saison, chaque journée apporte un nouvel émerveillement...

"C'est toujours le même" se risquent à me dire certains mais ils ne perçoivent pas les nuances...
Dommage...

Les nuances.

Citation de "desmotspassent"Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"Citation de "gigidelamar"Citation de "desmotspassent"





Nous sommes des êtres vraiment particuliers puisque nous sommes capables de mimer la barbarie dont nous nous rendons coupables dans des conditions " appropriées "...

Faire basculer les préjugés, l'outrecuidance... gros, GROS boulot !


Parfois je re-lis la fraîcheur de nos commencements.
Épictète par exemple.



Je crois que je vais remettre un peu d'ordre dans ma "bibliothèque" quelque peu éparse...
Un long, très long W.E. pluvieux...

Arf !

Pourquoi y mettre de l'ordre !
La mienne est un parfait foutoir...
J'entends bien qu'elle demeure ainsi même si parfois je ne mets pas rapidement la main sur un bouquin que je veux consulter.
La vie quoi...
( Sans compter que trop d'ordre... )

Les 4 chiffres de ce post sont: 1018 - formidable hasard ! - Ou un signe ?
Enfin bref...



J'ai, disons, une conception particulière de l'ordre...
C'est plus une façon d'en faire ressurgir quelques-uns oubliés sous pile ou sur une poutre ou...

Allez dodo !

Bonne et douce nuit Desmots...

Les 4 chiffres de ce post sont: 1018 - formidable hasard ! - Ou un signe ?

C'est sûrement un signe !

Citation de "desmotspassent"Citation de "mislead"Militer pour la défense des phoques, toujours d'actualité. Les mêmes profits...L'industrie.
http: //www.chasse-auhoques.com/ (sans espace après le http: et le pho...le lien ne passe pas affiché)


Comme l'a dit quelqu'un il y a quelques années,on ne peut pas s'occuper de toute la misère du monde.
Les hommes sont des prédateurs - dans tous les sens du terme.
J'ai eu à voir parfois des reportages sur l'ignoble massacre de bébés phoques.Leur regard si tendre devant la caméra avant que l'immonde boucherie débute...
Mais dans nos contrées cela ne vaut guère mieux avec les animaux de nos contrées.La tuerie est universelle...
Moi je pense aux hannetons connus lors de mes vertes années.En été ils pullulaient le soir sous les éclairages publics pendant que les mômes jouaient au foot devant le regard émerveillé de leurs parents.Ces insectes bourdonnaient à qui mieux et parfois venaient se cogner à nous - quel festival ! C'était amusant et ça ajoutait à notre gaieté !
Il y a belle lurette que je n'ai plus croisé des hannetons nuitamment...

Si tous les gars du monde:

http://www.paroles.net/compagnons-de-la-chanson/paroles-si-tous-les-gars-du-monde



La laideur de l'humanité...Se voiler la face, fermer les yeux sur les atrocités n'est que lâcheté, peur. La regarder, la connaître c'est pouvoir l'affronter, la combattre. Quand certains (es) se prennent pour des tous-puissants, penser diriger tels des tortionnaires, dans le microcosme virtuel, ils ne font que nous offrir le spectacle réjouissant de leur décadence, déchéance. Tellement insignifiantes face à la réalité. Ah! L'ignorance, la bêtise...Nous pouvons tous devenir tortionnaires, victimes...L'histoire "parle"..."Libérateurs devenus cruauté.

Modifié il y a 8 ans, le vendredi 5 février 2016 à 10:13

Citation de "desmotspassent"Citation de "gorf"Phoque, je sors!... (pôv bête...)...

La vie, c 'est dehors.... alors Vamos!

Une interrogation métaphysique.

Dehors...pas toujours...

Pendant que dedans souvent ça ne vaut guère mieux...



Excellent film. Je mets le synopsis pour rappeler son thème.


Le film évoque la bataille de Guadalcanal dans le Pacifique en 1942, qui opposa les Américains aux Japonais lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans un paysage paradisiaque, les soldats vont se livrer une bataille sanglante où tous perdront une partie d'eux-mêmes. « Les monologues intérieurs des personnages finissent par se confondre, pour ne former qu'une seule voix. Une seule âme aux milliers de visages. Et les deviner tous si fragiles, si démunis, si éphémères aussi, procure, à chaque fois le même bouleversement. »1.

Le film commence par des instants de calme qui se déroulent sur une des îles tenues par les Japonais, Guadalcanal. Le soldat Witt est ensuite réprimandé pour y avoir déserté : le sergent Welsh se veut clément, mais estime le soldat inadapté à l'armée et lui affirme que dans ce monde un homme seul n'est rien et qu'il n'y a pas d'autre monde. Le soldat Witt lui prête tort.

Les personnages, apeurés avant même leur débarquement, doivent parcourir un long chemin pour finalement arriver à la colline 210, fortement protégée par un bunker. L'assaut ne peut être que frontal, accompagné d'une médiocre préparation d'artillerie. Le capitaine Staros constate rapidement que les pertes sont très lourdes. L'intendance ne suit pas, l'eau manque. Il en vient à désobéir à un ordre de son supérieur, lui demandant de redonner l'assaut, ce qui est pour lui un massacre inutile.

Après de longues heures d'attente, une patrouille de sept volontaires est chargée de finir la montée en reconnaissance discrète et d'attaquer si possible. Les soldats parviennent, à l'abri d'une petite corniche, à neutraliser le bunker et à faire des prisonniers.

S'ensuit alors un atroce massacre où les Japonais sont humiliés. L'enfer terminé, les hommes de la compagnie Charlie retrouvent un peu d'humanité en arrivant à l'aérodrome. Ils se voient de nouveau confier une mission. Mais en chemin ils sont repérés par l'ennemi et une nouvelle patrouille part en reconnaissance. La tentative est un échec et pour sauver ses camarades, le soldat Witt se sacrifie seul dans une diversion.

Gigi, plus léger... Un extrait de "My fair lady", Audrey Hepburn...ravissante.

DMP...Bonne journée le post.

Citation de "gigidelamar"Les 4 chiffres de ce post sont: 1018 - formidable hasard ! - Ou un signe ?

C'est sûrement un signe !

J'ai failli la rater...