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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
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La belette et le patagonum
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L'été était arrivé et commençait à fouetter le sang du patagonum.
Celui-ci, sans être particulièrement fort, courait vite et était plutôt adroit.
Il allait à travers les bois quand il s'avisa de rendre visite à une belette. Il s'approcha de la cahute de la belette, elle était sur le poêle, ses rejetons, assis à la fenêtre.
Repérant le patagonum, elle ordonna à ses chérubins :
< Allons, mes petiots, si ce biaiseur vient et veut vous questionner, dites-lui que je ne suis pas là. C'est le diable qui le pousse aux fesses ! Il y a longtemps que j'en veux à ce coquin , peut-être arriverai-je cette fois à le coincer. >
Là essus, la belette se cache. Le patagonum arrive et frappe à la porte.
<Qui est là > demandent les petits.
C'est moi, dit le patagonum , bonjour, mes petits ! Votre mère est-elle à la maison ?
Non, elle n'est pas à la maison !
Dommage ! Moi qui venais pour la baiser, et elle n'est pas là ! reprit le patagonum qui repartit aux bois.
La belette l'entendit et dit :
< Ah ! fils de hyènes , diable d'effronté ! Attends un peu, je vais te montrer de quel bois je me chauffe ! >
Elle descendit du poêle et se mit au taquet derrière la porte pour voir s'il allait oser revenir.
Et vu : le patagonum arriva par le même sentier et demanda de nouveau aux chiards :
Bonjour, mes petits < est-ce que votre mère est à la maison ? <
Non, elle n'est pas à la maison !
Dommage, reprit le patagonum, je l'aurais bien fourrée à ma façon !
Sur ce, la belette surgit :
< Bonjour, mon cher ! >
Le patagonum détala au plus vite, courut à toutes jambes, lâchant des crottes sur son chemin. Et la belette de le poursuivre.
< Non, monsieur le biaiseur, cette fois, tu ne m'échapperas pas ! >
Et la voilà près de le rattraper ! Le patagonum bondit entre deux bouleaux très rapprochés l'un de l'autre , la belette veut l'imiter, mais elle reste coincée : impossible d'avancer ou de reculer ! Quoi qu'elle fasse, elle n'arrive pas à se libérer.
Monsieur le louche regarde autour de lui, voit la situation on ne peut plus favorable, revient sur ses pas, et de se mettre à baiser la belette. Tout en la besognant, il dit :
<< Voilà comment on fait chez nous ! Voilà comment on fait chez nous ! >>
Après l'avoir bien fourrée, il reprend sa route, et voit non loin de là une fosse à charbon , le patagonum court à la fosse, se vautre dans la poussière et la suie jusqu'à ce qu'il ait l'air d'un vrai moine. Il revient sur la route, relâche ses oreilles et s'assied.
Pendant ce temps, la belette a réussi, à grand-peine, à se dégager et elle s'est mise à la recherche du patagonum. Elle le voit alors, assis, et le prend pour un moine :
< Bonjour, mon frère, dit-elle, n'as-tu pas vu quelque part un louche ? >
Lequel ? Celui qui t'a foutue tantôt ?
La belette rougit de honte et rentra chez elle.
< Ah, le gredin ! Il a déjà répandu la chose dans tous les monastères ! >
PS: Aussi rusée que fût la belette, le patagonum était encore arrivé à la duper !
PS du PS : Les fables de Von Trickster
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tisonire (clôturé)
il y a 9 ans
C'est une fort jolie fable......
Mdrrrrr!
j'adoreeeeeeeeeeeeee!
Bien le bonjour mon petit Lutin.
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
Bonsoir très chère « Tisonire »
Je suis littéralement enchanté que ma « Fable » vous ait intéressée au point, dites-vous, de l’adorer . Et certes le vocabulaire est une bien belle peau. Il est une tentative de possession du mont Fuji, le mont de Vénus. De notre forum, en tout cas.
Un jour, si l'occasion s'en présente, je vous conterai des fables et des amours , pour l'instant revenons à notre petit patagonum, très agile, et la belette , plus assoupie.
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Citation de "trickster"
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La belette et le patagonum
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L'été était arrivé et commençait à fouetter le sang du patagonum.
Celui-ci, sans être particulièrement fort, courait vite et était plutôt adroit.
Il allait à travers les bois quand il s'avisa de rendre visite à une belette. Il s'approcha de la cahute de la belette, elle était sur le poêle, ses rejetons, assis à la fenêtre.
Repérant le patagonum, elle ordonna à ses chérubins :
< Allons, mes petiots, si ce biaiseur vient et veut vous questionner, dites-lui que je ne suis pas là. C'est le diable qui le pousse aux fesses ! Il y a longtemps que j'en veux à ce coquin , peut-être arriverai-je cette fois à le coincer. >
Làessus, la belette se cache. Le patagonum arrive et frappe à la porte.
<Qui est là > demandent les petits.
C'est moi, dit le patagonum , bonjour, mes petits ! Votre mère est-elle à la maison ?
Non, elle n'est pas à la maison !
Dommage ! Moi qui venais pour la baiser, et elle n'est pas là ! reprit le patagonum qui repartit aux bois.
La belette l'entendit et dit :
< Ah ! fils de hyènes , diable d'effronté ! Attends un peu, je vais te montrer de quel bois je me chauffe ! >
Elle descendit du poêle et se mit au taquet derrière la porte pour voir s'il allait oser revenir.
Et vu : le patagonum arriva par le même sentier et demanda de nouveau aux chiards :
Bonjour, mes petits < est-ce que votre mère est à la maison ? <
Non, elle n'est pas à la maison !
Dommage, reprit le patagonum, je l'aurais bien fourrée à ma façon !
Sur ce, la belette surgit :
< Bonjour, mon cher ! >
Le patagonum détala au plus vite, courut à toutes jambes, lâchant des crottes sur son chemin. Et la belette de le poursuivre.
< Non, monsieur le biaiseur, cette fois, tu ne m'échapperas pas ! >
Et la voilà près de le rattraper ! Le patagonum bondit entre deux bouleaux très rapprochés l'un de l'autre , la belette veut l'imiter, mais elle reste coincée : impossible d'avancer ou de reculer ! Quoi qu'elle fasse, elle n'arrive pas à se libérer.
Monsieur le louche regarde autour de lui, voit la situation on ne peut plus favorable, revient sur ses pas, et de se mettre à baiser la belette. Tout en la besognant, il dit :
<< Voilà comment on fait chez nous ! Voilà comment on fait chez nous ! >>
Après l'avoir bien fourrée, il reprend sa route, et voit non loin de là une fosse à charbon , le patagonum court à la fosse, se vautre dans la poussière et la suie jusqu'à ce qu'il ait l'air d'un vrai moine. Il revient sur la route, relâche ses oreilles et s'assied.
Pendant ce temps, la belette a réussi, à grand-peine, à se dégager et elle s'est mise à la recherche du patagonum. Elle le voit alors, assis, et le prend pour un moine :
< Bonjour, mon frère, dit-elle, n'as-tu pas vu quelque part un louche ? >
Lequel ? Celui qui t'a foutue tantôt ?
La belette rougit de honte et rentra chez elle.
< Ah, le gredin ! Il a déjà répandu la chose dans tous les monastères ! >
PS: Aussi rusée que fût la belette, le patagonum était encore arrivé à la duper !
PS du PS : Les fables de Von Trickster
Il s'est sauvé?
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
Si la piste est trop facile et que tu crois tenir le patagonum, c'est qu'il est derrière toi, les yeux fixés sur ta nuque.
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "trickster"
Si la piste est trop facile et que tu crois tenir le patagonum, c'est qu'il est derrière toi, les yeux fixés sur ta nuque.
tu veux dire sa raie ?
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Citation de "trickster"Citation de "trickster"
Si la piste est trop facile et que tu crois tenir le patagonum, c'est qu'il est derrière toi, les yeux fixés sur ta nuque.
tu veux dire sa raie ?
façon Ikepoyo?
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
C'est une machine ou bien ?
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
Surement une machine à pointer des interrogations écrites
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Ikepyo... un ours bien lèché.
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trickster (clôturé)
il y a 9 ans
Gisèle Lepouis a connu la libération sexuelle, pris la pilule ou pas , mais elle a senti en elle le grand frisson de la liberté
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Citation de "sepulveda"Ikepyo... un ours bien lèché.
et les belettes aiment les ours.
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j-uliette (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "sepulveda"Ikepyo... un ours bien lèché.
Au contraire de toi ma pauvre Sep, visiblement...
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Citation de "sepulveda"Citation de "sepulveda"Ikepyo... un ours bien lèché.
et les belettes aiment les ours.
Ou le contraire.
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Citation de "j-uliette"Citation de "sepulveda"Ikepyo... un ours bien lèché.
Au contraire de toi ma pauvre Sep, visiblement...
Ma jubi, t'es là????
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