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caramellise (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "dan707"
Je l'ai connu au petit bal de la marine, il dansait très bien le tango, j'ai eu deux enfants
En effet, il le dansait foutrement bien!
Et aussi le paso doble, pas Espagnol d'origine pour rien
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "caramellise"Citation de "apocope"Citation de "dan707"
Je l'ai connu au petit bal de la marine, il dansait très bien le tango, j'ai eu deux enfants
En effet, il le dansait foutrement bien!
Et aussi le paso doble, pas Espagnol d'origine pour rien
Une parade nuptiale procréatrice… Ton énoncé laissait entendre que c’est en dansant qu’il t’a engrossée.
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Citation de "apocope"Citation de "caramellise"Citation de "apocope"Citation de "dan707"
Je l'ai connu au petit bal de la marine, il dansait très bien le tango, j'ai eu deux enfants
En effet, il le dansait foutrement bien!
Et aussi le paso doble, pas Espagnol d'origine pour rien
Une parade nuptiale procréatrice… Ton énoncé laissait entendre que c’est en dansant qu’il t’a engrossée.
Il est vrai qu'il en est de certain raccourci dans une phrase qui prêterait à le comparer à certain raccourci de la distance entre deux êtres lors d'un mouvement de danse sensuel au plus proche de sa partenaire, pouvant favoriser l’ensemencement.
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dan707 (clôturé)
il y a 8 ans
BIZARRE C EST CARMEN QUI DISAIT CA ....ET JE ME RETROUVE AVEC SA PHRASE....
j'allais dans les bistrots belges écouter de la pop a cet age ,je trainais pas au bal de la marine...c'est quoi cette guinguette...mdrCitation de "apocope"Citation de "dan707"
Je l'ai connu au petit bal de la marine, il dansait très bien le tango, j'ai eu deux enfants
En effet, il le dansait foutrement bien!
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caramellise (clôturé)
il y a 8 ans
Ce n'était pas une guinguette le petit bal de la Marine, dans le X5 ème arrondissement à Paris
Mais une salle de bal avec un orchestre
Pas une boite de nuit
Et un parquet ciré, fallait pas déraper
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Citation de "caramellise"Complainte pour des innocents
En hommage aux morts de Dun Les Places, massacrés par des troupes nazies, les 26, 27, et28 juin 1944
Venus tout droit de barbarie,
Casqué, bottés, ivres de sang,
Ils inventaient des boucheries
Au nom du Reich agonisant.
Plus que pour faire "un diable à quatre"
Etaient venus le 26 juin
En mil neuf cent quarante quatre,
Environ trois mille assassins.
Pour quoi venus en Dun Les Places
Vermot, Vieux Dun, Mézoc de Froy
Ces noms étaient en bonne place
Dans le grand livre de l'effroi.
Tristement beau ! Tragique !
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Citation de "dan707"faudrait voir où fini le passé
jusqu'où on doit se souvenir
Jeanne d arc, les indiens d'amerique, les massacres de napoléon, atilla,.....
ya pas date de péremption????
Apres 45 ya aussi les massacres en Algerie, les tchechenes...
vous n en avez pas marre de vous souvenir de la .....
[quote login="maracoudjette"] ]
Ben non, on n'en a pas marre ! Ce sont des guerres, qu'on a marre, mais pas du devoir de mémoire !
Et vous avez oublié le génocide arménien, dans votre liste, la guerre du Vietnam, le Darfour, le Biafra, le Sud-Soudan, le régime militaire de Pinochet, la guerre des Malouines, le Kosovo, la guerre entre l'Érythrée et l'Éthiopie, le Génocide des Tutsis au Rwanda, le Katanga, la guerre indo-pakistanaise de 1947, etc ..
Alors, NON, on n'oubliera pas, car la guerre, elle, ne nous oublie pas !
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Citation de "dan707"je ne dois rien a personne miss
je n ai tué personne et suis d origine belge
alors le devoir de mémoire.....
ca me fait doucement rigoler
Ha oui ? Désolée de vous contredire .. mais de combien de Congolais les Belges (dont mon grand-oncle) ont-ils le sang sur les mains ?
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Citation de "caramellise"Aure poéme du même auteur
Vous, paysans, ouvriers, princes
Muets tambours de l'Espérance
Vous étiez l'âme des provinces
Et vous chantiez leur délivrance.
De-ci de-là, sur les sentiers
Qui menaient tous au même enfer
Par nuit sans lune vous partiez
Pour que demain soit mieux qu'hier.
Gars des Maquis, fiers saboteurs.
Gars de la plèbe ou gars rupins
Gens des réseaux, et vous, passeurs
Où sont restés tant de copains.
Votre âme était clouée en croix,
Plus d'un n'avait pas de souliers.
Autour de vous flottaient les voix
De vos absents, les fusillés.
O Patriotes sans licou.
Gueux qui saviez rentrer vos larmes
Pipes qu'on casse et casse-cou,
D'aucun luttaient presque sans armes
Les cris lointains de vos blessures
Avivent-ils nos souvenirs
Oui, quand on sait que l'herbe mûre
Donne sa graine à l'Avenir
Longtemps après, chers amis morts
Pour nous-témoins de vos misères Quoique l'ingrat vous juge à tort
Vous valez bien quelques prières
Superbe
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caramellise (clôturé)
il y a 8 ans
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caramellise (clôturé)
il y a 8 ans
Pour toi Sibelius, voici les témoignages de ceux qui sont morts maintenant de vieillesse
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