Le futur est une conjugaison du verbe de notre existence à l'accent très dérangeant apposé par ce que nous ne feront pas de ce que la lucidité viendrait à nous souffler au coin de la conscience.
Il faudrait que corrélativement, un maximum d'êtres consentent à tirer le signal d'alarme pour descendre même, là, tout de suite, du train en marche, vers ce paysage qui présente les difficultés inhérentes à...ce que toute chose qui se veut perenne et en osmose, exige la contrepartie d'efforts consentis à ce que cela soit.
Citation de valentin14vanves
Quel( s ) modèle ( s ) de société voulons nous laisser à nos enfants et petits enfants avant de nous faire croquer par le grand méchant loup !
Progrès, innovation, quels sont ces mots barbares !
Citation de rienousipeu
Le futur est une conjugaison du verbe de notre existence à l'accent très dérangeant apposé par ce que nous ne feront pas de ce que la lucidité viendrait à nous souffler au coin de la conscience.
Il faudrait que corrélativement, un maximum d'êtres consentent à tirer le signal d'alarme pour descendre même, là, tout de suite, du train en marche, vers ce paysage qui présente les difficultés inhérentes à...ce que toute chose qui se veut perenne et en osmose, exige la contrepartie d'efforts consentis à ce que cela soit.
Bonsoir à toutes et à tous
Citation Citation de rienousipeu
« Le futur est une conjugaison du verbe de notre existence à l'accent très dérangeant apposé par ce que nous ne feront pas de ce que la lucidité viendrait à nous souffler au coin de la conscience. »
Le futur n’est pas un gros mot ou un exercice de style, il me semble que c’est l’un des points les plus importants pour les parents de savoir comment ils engagent leur progéniture et la descendance dans cet incertain, de les préparer, de les armer si possible, pour qu’ils puissent affronter les aléas de la vie dans les meilleures conditions possibles, enfin c’est je pense le devoir de tout parent que de s’en préo ccuper.
Citation Citation de rienousipeu
« Il faudrait que corrélativement, un maximum d'êtres consentent à tirer le signal d'alarme pour descendre même, là, tout de suite, du train en marche, vers ce paysage qui présente les difficultés inhérentes à...ce que toute chose qui se veut perenne et en osmose, exige la contrepartie d'efforts consentis à ce que cela soit. »
Tes desseins sont pessimistes voire sinistres, comme l’est une grande majorité de français semble t-il. La France cumule, le taux le plus élevé d’utilisation de psychotropes, de médicaments, d’alcool, explique nous Charles le pourquoi du comment ?
Un paradoxe lorsque les français possèdent le meilleur système de protection sociale, un système de santé « gratuit » parmi les meilleurs du monde, un système éducation gratuit, l’accès aux universités, grandes écoles très peu coûteux… Des pays nordiques ont l'excuse du manque de soleil, mais nous non, un pays que les étrangers nous envient et visitent.
D’aucuns devraient voyager dans notre monde si merveilleux ailleurs que chez nous, pour constater par eux-mêmes cet écart de niveau de vie dans la majorité des autres pays. De constater que des populations moins favorisées semblent plus heureuses que le quidam français bien plus protégé socialement.
Il nous manque peut-être le rêve, celui promis par exemple aux américains, pour changer les choses en France, quoique nos jeunes préfèrent davantage les « raves » et le « binge drinking », les trips dans un autre espace que le cosmos version naufragé coke en stock ou passer leur temps collés à leurs écrans et aux réseaux sociaux !
Au diable les Jules Verne et autres auteurs de SF, de conquête spatiale, de voyages vers mars, pour nous faire rêver à un avenir plus motivant, imaginer son futur et le construire, mieux vaut rester pour la plupart les fesses sur sa chaise à regarder désespérément son écran, son désert des tartares quotidien. Le français est-il pantouflard dans ses gènes ?
Modifié il y a 5 ans, le samedi 22 juin 2019 à 11:15
Un extrait de l’émission « La grande librairie » de septembvre 2017, consacrée à l’ouvrage de Yuval Noah Harari que j’adore « Homo Deus - Une brève histoire de l'avenir», à lire absolument, ses hypothèses formulées sur le futur de l’humanité, une suite de son précédent livre « Sapiens – Une brève histoire de l’humanité » (une « synthèse » de histoire de notre humanité). Une émission intéressante comme les interventions de Boris Cyrulnik et Marie Darrieuseq :
Un podcast de décembre 2018 dont le sujet est «Faut-il avoir peur de l'intelligence artificielle ? »
Un débat offrant une très bonne visibilité des enjeux de cette technologie et des conséquences sur nos modèles de société ainsi que l’absence d’anticipation et de prises de conscience sérieuses de nos gouvernances européennes face aux GAFAM et BATX :
Oui les enfants ! Après objectif Lune, maintenant objectif Mars ! Un jour peut-être vous irez !
Thomas Pesquet : objectif Mars
Disponible en replays sur Arte du 25/07/2019 au 08/10/2019
Un documentaire et des images exceptionnels avec des explications didactiques sur les principaux défis (Physiologiques, psychologiques, technologiques, logistiques...) à relever pour envoyer des humains sur Mars.
Durée 1h33mn40
« Pour envoyer des missions habitées sur Mars, de nombreux défis attendent encore la science. Un état des lieux passionnant dans les pas du spationaute Thomas Pesquet, de son séjour en orbite à son retour sur Terre. »
« Entre le 19 novembre 2016 et le 2 juin 2017, le Français Thomas Pesquet a passé cent quatre-vingt-seize jours à bord de l’ISS, la station spatiale internationale. Pour lui, comme pour les cinq autres membres de l’expédition 50/51, chaque jour a été rythmé par une multitude d’expériences scientifiques. Réalisées pour des laboratoires du monde entier, ces dernières visaient à repousser les limites imposées par la physiologie humaine aux missions lointaines dans l’espace. Car si, à l’instar de beaucoup de ses pairs, Thomas Pesquet rêve de fouler un jour le sol martien (2040 est en ligne de mire !), il reste encore à la science une longue liste de problèmes à résoudre avant de pouvoir envoyer des missions habitées sur la planète rouge. Du système de propulsion de la fusée aux dommages causés par l’apesanteur sur les organismes humains (décalcification osseuse, vieillissement accéléré des parois artérielles…), du recyclage des déchets à l’autonomie complète de la mission (combustible, nourriture, eau…) en passant par l’utilisation de la robotique ou la mise au point de nouveaux matériaux, notamment contre les radiations cosmiques, Alain Tixier et Vincent Perazio réalisent un passionnant tour d’horizon des travaux menés sur ces sujets en Europe, aux États-Unis et en Russie. »